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  • Jacques Marin

    Naissance : 1919
    Décès : 2001
     
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    Jacques Marin
    Années 40

    1945
    Jacques Marin
     
    Les enfants du paradis

    1947
    Jacques Marin
     
    Mandrin

    1948
    Jacques Marin
     
    L'assassin est à l'ecoute

    Années 50

    1950
    Jacques Marin
     
    Dieu a besoin des hommes

    1951
    Jacques Marin
     
    Ils étaient cinq

    1952
    Jacques Marin
     
    Nous sommes tous des assassins

    1952
    Jacques Marin
     
    La fête à Henriette

    1953
    Jacques Marin
     
    Avant le déluge

    1953
    Jacques Marin
     
    J'y suis... J'y reste !

    1954
    Jacques Marin
     
    Papa, maman, la bonne et moi

    1954
    Jacques Marin
     
    Sur le banc

    1954
    Jacques Marin
     
    La belle au bois dormant

    1954
    Jacques Marin
     
    French cancan

    1955
    Jacques Marin
     
    Ça va barder

    1955
    Jacques Marin
     
    L'amant de lady Chatterley

    1955
    Jacques Marin
     
    Le dossier noir

    1955
    Jacques Marin
     
    Des gens sans importance

    1955
    Jacques Marin
     
    Cette sacrée gamine

    1955
    Jacques Marin
     
    La Madelon

    1955
    Jacques Marin
     
    Papa, maman, ma femme et moi...

    1955
    Jacques Marin
     
    Gas-oil

    1956
    Jacques Marin
     
    Mon curé chez les pauvres

    1956
    Jacques Marin
     
    Le sang à la tête

    1956
    Jacques Marin
     
    Marie-Antoinette reine de France

    1956
    Jacques Marin
     
    La traversée de Paris

    1956
    Jacques Marin
     
    Paris, Palace Hôtel

    1956
    Jacques Marin
     
    Notre-Dame de Paris

    1957
    Jacques Marin
     
    À Paris tous les deux

    1957
    Jacques Marin
     
    Les misérables

    1957
    Jacques Marin
     
    Montparnasse 19

    1957
    Jacques Marin
     
    Une femme de province

    1957
    Jacques Marin
     
    Le rouge est mis

    1958
    Jacques Marin
     
    Trois jours à vivre

    1958
    Jacques Marin
     
    Les tricheurs

    1958
    Jacques Marin
     
    La caméra e...
    L'orphelin d...

    1958
    Jacques Marin
     
    Le désordre et la nuit

    1958
    Jacques Marin
     
    Les femmes sont marrantes...

    1958
    Jacques Marin
     
    Guinguette

    1958
    Jacques Marin
     
    Le joueur

    1958
    Jacques Marin
     
    Le miroir à deux faces

    1958
    Jacques Marin
     
    Si c'était vous : Jeune fille de provinc...

    1958
    Jacques Marin
     
    Le temps des oeufs durs

    1958
    Jacques Marin
     
    En cas de malheur

    1959
    Jacques Marin
     
    En votre âm...
    L’affaire Tr...

    1959
    Jacques Marin
     
    En votre âm...
    L'affaire Da...

    1959
    Jacques Marin
     
    Archimède le clochard

    1959
    Jacques Marin
     
    Maigret et l'affaire Saint-Fiacre

    1959
    Jacques Marin
     
    Croquemitoufle

    1959
    Jacques Marin
     
    Vol de nuit

    1959
    Jacques Marin
     
    Pantalaskas

    Années 60

    1960
    Jacques Marin
     
    Le rideau rouge : Colette Renard

    1960
    Jacques Marin
     
    L'homme à l'oreille cassée

    1960
    Jacques Marin
     
    Au coeur de la ville

    1960
    Jacques Marin
     
    Le théâtre ...
    Lazarillo

    1960
    Jacques Marin
     
    La grammaire

    1960
    Jacques Marin
     
    Cyrano de Bergerac

    1960
    Jacques Marin
     
    Les vieux de la vieille

    1960
    Jacques Marin
     
    Le rideau rouge : Georges Ulmer

    1960
    Jacques Marin
     
    La française et l'amour

    1961
    Jacques Marin
     
    Les Mystères de Paris

    1961
    Jacques Marin
     
    Le monocle noir

    1961
    Jacques Marin
     
    La justice du corregidor

    1961
    Jacques Marin
     
    Le président

    1961
    Jacques Marin
     
    Le cave se rebiffe

    1961
    Jacques Marin
     
    Arrêtez les tambours

    1962
    Jacques Marin
     
    Les cinq de...
    Le tzigane e...

    1962
    Jacques Marin
     
    Le glaive et la balance

    1962
    Jacques Marin
     
    Le poulet

    1962
    Jacques Marin
     
    Le théâtre ...
    Gavroche

    1962
    Jacques Marin
     
    L'inspecteu...
    L'inconnu du...

    1962
    Jacques Marin
     
    Le gentleman d'Epsom

    1962
    Jacques Marin
     
    Les cinq de...
    Un mort à la...

    1963
    Jacques Marin
     
    Un coup dans l'aile

    1963
    Jacques Marin
     
    La caméra e...
    La vérité su...

    1963
    Jacques Marin
     
    Collin's and Co

    1963
    Jacques Marin
     
    Le théâtre ...
    La case de l...

    1964
    Jacques Marin
     
    Jean-Marc ou la vie conjugale

    1964
    Jacques Marin
     
    Le train

    1964
    Jacques Marin
     
    Les beaux yeux d'Agatha

    1965
    Jacques Marin
     
    Une nuit sans lendemain

    1965
    Jacques Marin
     
    Les bons vivants

    1965
    Jacques Marin
     
    Fantômas se déchaîne

    1966
    Jacques Marin
     
    Paris au mois d'août

    1966
    Jacques Marin
     
    Les globe-trotters (saison 1)

    1966
    Jacques Marin
     
    Les centurions

    1966
    Jacques Marin
     
    Rouletabille : Le parfum de la dame en n...

    1967
    Jacques Marin
     
    Deslouettes...
    L'auberge es...

    1967
    Jacques Marin
     
    Le plus vieux métier du monde

    1967
    Jacques Marin
     
    Allô police
    L'affaire du...

    1967
    Jacques Marin
     
    Bon appétit monsieur

    1968
    Jacques Marin
     
    Peinture fraiche

    1969
    Jacques Marin
     
    Trois hommes sur un cheval

    1969
    Jacques Marin
     
    La fiancée du pirate

    Années 70

    1970
    Jacques Marin
     
    Mourir d'aimer

    1971
    Jacques Marin
     
    Jo

    1971
    Jacques Marin
     
    Le Père Noël est en prison

    1971
    Jacques Marin
     
    Cash cash

    1971
    Jacques Marin
     
    Le cinéma de papa

    1971
    Jacques Marin
     
    Le petit matin

    1971
    Jacques Marin
     
    Le drapeau noir flotte sur la marmite

    1972
    Jacques Marin
     
    Pont-Dormant

    1972
    Jacques Marin
     
    Les chemins de fer

    1973
    Jacques Marin
     
    La porteuse de pain

    1973
    Jacques Marin
     
    Mais où est donc passée la septième comp...

    1974
    Jacques Marin
     
    Vos gueules les mouettes

    1974
    Jacques Marin
     
    Impossible pas français

    1974
    Jacques Marin
     
    Les murs ont des oreilles

    1974
    Jacques Marin
     
    Les Affaires sont les affaires

    1974
    Jacques Marin
     
    Malaventure : Aux innocents les mains pl...

    1974
    Jacques Marin
     
    Pétrus

    1975
    Jacques Marin
     
    Il était une gare

    1975
    Jacques Marin
     
    Catherine et Compagnie

    1975
    Jacques Marin
     
    Trésor party

    1975
    Jacques Marin
     
    Opération "Lady Marlène"

    1975
    Jacques Marin
     
    Le pèlerinage

    1975
    Jacques Marin
     
    Flic story

    1975
    Jacques Marin
     
    Bons baisers de Hong Kong

    1976
    Jacques Marin
     
    L'année sainte

    1976
    Jacques Marin
     
    Comme du bon pain

    1976
    Jacques Marin
     
    Sacrés fantômes

    1976
    Jacques Marin
     
    Le jour de gloire

    1976
    Jacques Marin
     
    Marathon Man

    1977
    Jacques Marin
     
    Le mille-pattes fait des claquettes

    1978
    Jacques Marin
     
    L'horoscope

    1978
    Jacques Marin
     
    Les Deux vierges

    1978
    Jacques Marin
     
    Volpone

    1978
    Jacques Marin
     
    Général... nous voilà…!

    1979
    Jacques Marin
     
    Grandison

    Années 80

    1980
    Jacques Marin
     
    Les amours ...
    Prince ou pi...

    1980
    Jacques Marin
     
    La plume

    1980
    Jacques Marin
     
    Décibel

    1981
    Jacques Marin
     
    Te marre pas... C'est pour rire !

    1986
    Jacques Marin
     
    Lili petit à petit

    1987
    Jacques Marin
     
    Marie Perve...
    Salade russe

    1988
    Jacques Marin
     
    Tel père, t...
    Un époux dan...

    1989
    Jacques Marin
     
    Tel père, t...
    Mieux vaut s...

    Années 90

    1990
    Jacques Marin
     
    Maguy
    L'éventaire ...

    1990
    Jacques Marin
     
    Détective gentleman

    Document sans titre

    Jacques MARIN

    Petite taille, petite bedaine, petite moustache : il ne lui manquait que le petit béret - qu’il porta quelquefois - et voilà comment Jacques Marin devint, pour les producteurs américains des années 60 et 70, le cliché parfait du français moyen, jovial ou râleur. Une épouse britannique aidant, il maîtrisait – avec une pointe d’accent français – la langue de Shakespeare et c’est ainsi qu’il connut le privilège d’être dirigé par John Huston ou William Wyler et de côtoyer des stars de la trempe d’Errol Flynn, Audrey Hepburn ou Marlon Brando. Toutefois on ne saurait oublier sa contribution au cinéma français, à commencer par un record de 18 films tournés dans le sillage de Jean Gabin.

    Après avoir fréquenté la classe d’André Brunot au Conservatoire, le jeune Jacques Marin ne se fait guère repérer dans les films des années 40, même si on l’aperçoit fugacement dans « Les enfants du paradis » (1945) ou, encore fluet, en laquais à perruque dans « Mandrin » (1947) ou en pêcheur de l’île de Sein dans « Dieu a besoin des hommes » (1950). Il a deux scènes dans « Jeux interdits » (1951) où il joue le frère du petit Georges Poujouly. Il tourne beaucoup à partir de 1953 mais on ne s’en rend pas toujours compte : ivrogne au comptoir dans « L’amant de Lady Chatterley » (1955), gardien de la Bastille dans « Si Paris nous était conté » (1955) ou conducteur du bus sous lequel se jette BB dans « La vérité » (1960), il bénéficie rarement de longues tirades. Dans une scène de « J’y suis… J’y reste ! » (1953), il joue parfaitement le rôle de l’ahuri qui rapporte un bébé qui ne lui appartient pas. En bon voisin, il trinque avec Robert Lamoureux dans « Papa, Maman, la bonne et moi » (1954) et il a bien raison car ils se retrouveront régulièrement – entre autres pour une énième aventure de la Septième Compagnie où il jouera l’épicier collabo – mais aussi à l’affiche de « Jo », pour un grand succès théâtral dix ans plus tard. L’un de ses personnages de prédilection semble alors le patron de restau ou le garçon de café. Vingt ans après, il tient encore l’Auberge de Mère l’Oie où Emile Buisson se fait coffrer par l’inspecteur Borniche dans « Flic story » (1975). Pour une bonne trentaine de rôles, il intègre la police ou la gendarmerie, comme simple agent, inspecteur ou commissaire, aimable ou bourru à la demande. Sa bonhomie n’est parfois qu’apparente : on ne l’attendait pas en policier brutal, spécialiste du passage à tabac et c’est pourtant ainsi qu’il paraît dans « Le dossier noir » (1955) d’André Cayatte, cinéaste qui l’engage à six reprises, de « Nous sommes tous des assassins » (1952) à « Mourir d’aimer » (1970).   

    Une apparition en spectateur du « French Cancan » (1954) de Jean Renoir inaugure vingt ans de contribution régulière aux films de Gabin. A dire vrai, il s’agit encore souvent de rôles brefs : un gendarme dans « Gas-oil » (1955) et « Les vieux de la vieille » (1960), un routier aux mains baladeuses dans « Des gens sans importance » (1955),  un agent de police dans « Le sang à la tête » (1956) et « Le rouge est mis » (1957), un garçon de café trop bavard dans « Le désordre et la nuit » (1958) sans parler de ses apparitions dans « En cas de malheur » (1958) ou « Maigret et l’affaire Saint-Fiacre » (1959). On le remarque davantage dans « La traversée de Paris » (1956) dont le premier quart d’heure se passe dans son bistrot où se rencontrent Gabin et Bourvil. Il sera encore Mimile, un comparse d’« Archimède le clochard » (1957), l’inspecteur Larpin de la Brigade des mœurs dans « Le cave se rebiffe » (1961), le turfiste Raoul du « Gentleman d’Epsom » (1962) et dans « L’année sainte » (1976), le dernier Gabin, le gardien de prison Moreau. Un seul film met les deux comédiens sur un pied d’égalité : « Le drapeau noir flotte sur la marmite » (1971) signé Audiard où Gabin récompense son fidèle compagnon en lui donnant le rôle d’Antoine Simonet, un modeste chef de train qui construit avec des allumettes une maquette de goélette, gagne un premier prix au Salon des Cheminots et décide de construire un vrai voilier ; n’y connaissant rien, il fait appel à l’oncle Ploubaz qui passe pour un vieux loup de mer et le mènera tout droit à la catastrophe : l’un des plaisirs de ce film charmant est d’entendre Jacques Marin appeler Gabin « Tonton » ! 

    Logiquement, ses cinéastes de prédilection seront les réalisateurs attitrés du « Vieux » : Le Chanois, Delannoy, Verneuil, Autant-Lara pour quatre films chacun et, encore mieux, Gilles Grangier pour treize films. Il semble plus à sa place dans « Porte des Lilas » (1957) de René Clair ou « Les tricheurs » (1958) de Carné que du côté de la Nouvelle Vague mais rencontre quelques cinéastes atypiques comme Norbert Carbonnaux pour qui il croque une amusante silhouette de pêcheur à la ligne dans « Le temps des œufs durs » (1959) ou Nelly Kaplan qui fait de lui Félix Lechat, l’épicier de « La fiancée du pirate » (1969), qui délaisse son épouse pour les charmes de Bernadette Lafont.

    Jacques Marin débute sa carrière américaine par un petit rôle dans « Les vendanges » (1957) avec Michèle Morgan et Mel Ferrer. Outre Huston et Wyler, il sera dirigé par Richard Fleischer, John Frankenheimer, Blake Edwards et même Gene Kelly pour qui il campe le pilier de bar qui harcèle « Gigot, le clochard de Belleville » (1962). Si Marlon Brando, son partenaire dans « La nuit du lendemain » (1968), lui parut « un acteur impressionnant mais un peu cinglé », il apprécia particulièrement ses rencontres avec Audrey Hepburn, Gregory Peck ou Anthony Quinn, « un homme charmant » avec qui il tourna trois films. En tête de son palmarès, retenons « Charade » (1963) de Stanley Donen : pour la critique du New York Herald Tribune, en Inspecteur Edouard Grandpierre, « Jacques Marin is delightful ». On se souvient de son rôle de chef de gare et résistant dans « Le train » (1963), du gardien-chef du musée dans « Comment voler un million de dollars » (1966) ou encore du Major Duvalle, agent de renseignements gaffeur, dans « Darling Lili » (1970). Trois films produits par Darryl Zanuck en firent le partenaire de Juliette Greco : « Les racines du ciel » (1958), « Drame dans un miroir » (1958) et « Le grand risque » (1960) où il tient un hôtel miteux en Afrique, le premier cité lui laissant le souvenir d’un tournage épuisant et d’une rencontre avec un « Errol Flynn au bout du rouleau, souvent ivre. » Les rôles deviennent plus conséquents avec le temps, en particulier dans deux productions Disney : Capitaine Brieux, il conçoit un ballon dirigeable partant à la recherche de « L’île sur le toit du monde » (1974) ; dans « La coccinelle à Monte Carlo » (1977), il joue l’inspecteur Bouchet qui enquête sur le vol d’un extraordinaire diamant. C’est lui aussi qui double le Shérif de Nottingham dans le dessin animé « Robin des Bois » (1973), une autre facette de son talent puisqu’il ne cessa de donner sa voix aux comédiens anglo-saxons à la morphologie voisine de la sienne, de Danny de Vito à Richard Attenborough.

    Parallèlement à sa carrière au cinéma, Jacques Marin brûle les planches sous la direction de Jacques Mauclair, Pierre Mondy ou Jean Anouilh. A partir des années 70, c’est à Lyon, au Théâtre des Célestins, qu’il se produisit le plus fréquemment, paraissant dans « L’avare », « Topaze » ou « Knock » dans les mises en scène de Jean Meyer. Très présent sur le petit écran, il joue le pleutre Montfleury, le comédien ridiculisé par Cyrano de Bergerac dans la belle version de Claude Barma. Commissaire matois, il affronte un Piéplu roublard dans une adaptation des « Mystères de Paris ». On le retrouve bien sûr dans les fictions policières des années 60 - « Les cinq dernières minutes » et « L’inspecteur Leclerc enquête » - comme dans « Le parfum de la dame en noir » signé Yves Boisset. Petit chef concupiscent, il excelle en méchant de mélodrame dans un célèbre feuilleton, « La porteuse de pain » (1973), ce qui ne l’empêche pas à la même époque de s’amuser à interpréter des sketches comiques pour l’émission « Sérieux s’abstenir ». 

    Dans la dernière ligne droite de sa carrière, Jacques Marin ne fit pas toujours preuve d’un grand discernement. Marin-pêcheur guetté par le naufrage, il s’échoue dans la Bretagne caricaturale de « Vos gueules les mouettes ! » (1974 et, pire encore, chez Jacques Besnard qui mitonne alors une trilogie de navets, du « Jour de gloire » (1976) – son rôle est très original : un bistrotier à béret ! - à « Te marre pas… c’est pour rire ! » (1981). Fort heureusement, il mène mieux sa barque lorsqu’il s’agit de films américains : il se fait égorger dans l’excellent « Marathon man » (1976), risque le même sort dans « La grande cuisine » (1978) et clôt sa carrière avec « A star for two » (1991) dont les têtes d’affiche sont tout de même Anthony Quinn et Lauren Bacall. Le 16 mai 1994, Gérard Courant le filme quatre minutes, tranquille et souriant sous le soleil de Cannes, pour un épisode de son « Cinématon » : c’est là sa dernière apparition à l’écran, amicale et bienveillante, à l’image de son caractère. 

    Jean-Paul Briant

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