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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Pierre Santini Marcel Michel Robin l'instituteur Julien Verdier grand-père Quintric Luce Fabiole la grand-mère Berrou Andrée Tainsy Marguerite Mathieu Barbey Julien Berrou Geneviève Mnich Louise Berrou Germaine delbat grand mère Quintric Alexandre Rignault le grand-père Berrou Gildas Louarn Francis François Dyrek le grand Fresne Jean Daste le vieux aux lapins
Document sans nom
Résumé : Cette histoire, à la fois touchante et poétique a pour cadre un charmant village du Finistère, non loin d'Audierne. Dans la cour d'une ferme cossue, un homme fend du bois. Son fils, garçon insouciant d'une dizaine d'années, l'embrasse avant de prendre à bicyclette, accompagné de sa mère, le chemin de l'école. Mais une voiture qui roule trop vite met fin à bonheur simple et tranquille et laisse Julien sans père et Louise sans mari. Comment une femme et un enfant, parviendront-ils, seuls, à faire marcher une ferme ? Après les premiers mois de chagrin et d'abattement, la vie reprend le dessus. Julien tente d'assumer désormais le rôle de chef de famille en essayant d'imiter son père et de se conduire en homme. Mais sa mère est jeune et libre. Les hommes, jeunes et libres comme elle ne manquent pas et plus ou moins maladroitement, ils commencent à s'intéresser à cette jolie veuve. Julien toutefois ne l'entend pas de cette oreille : s'il finit par admettre qu'un mari serait nécessaire, il ne veut pas que ce soit n'importe qui et il se met donc en quête d'un "père" de son goût... Mots clés : veuf (veuve) ; vie rurale ; relation parent enfant (mère fils)
Critique post-diffusion : Dans la grisaille des programmes et l'abus des rediffusions, une véritable création prend l'allure d'un événement. Nous devions déjà au tandem Hervé Baslé-Jean L'Hôte « Les Trois Morts d'Emile Gauthier », couronné l'année dernière par le Prix de la Critique. Avec « Les Prétendants de madame Berrou », ils ont prouvé, encore une fois, qu'ils avaient un style bien à eux, fait de tendresse, de pudeur et d'humour.
Sur un thème classique — la jalousie d'un petit garçon à l'égard de sa mère, une jeune et jolie veuve — ils ont construit une histoire simple, pleine de charme et de notations justes. Le risque était de tomber dans l'attendrissement. Les auteurs ne l'ont pas toujours évité mais ils se sont très vite repris, aidés en cela par une équipe de comédiens remarquables.
Il est devenu banal de vanter le talent de Pierre Santini. Une fois de plus, il était parfait. Le mérite d'Hervé Baslé est d'avoir soigné sa distribution jusque dans les seconds rôles, souvent sacrifiés. Michel Robin, par exemple, a campé un inoubliable personnage d'instituteur. Le petit Mathieu Barbey donnait beaucoup de spontanéité et de fraîcheur au personnage de Julien. La découverte de la soirée, c'était pourtant Geneviève Mnich, une actrice pleine de sensibilité et de naturel qu'on aimerait revoir plus souvent. Une réussite de cette télévision d'auteurs qui a, hélas, tendance à disparaître
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Les pretendants de Madame Berrou
Pierre Santini Marcel Michel Robin l'instituteur Julien Verdier grand-père Quintric Luce Fabiole la grand-mère Berrou Andrée Tainsy Marguerite Mathieu Barbey Julien Berrou Geneviève Mnich Louise Berrou Germaine delbat grand mère Quintric Alexandre Rignault le grand-père Berrou Gildas Louarn Francis François Dyrek le grand Fresne Jean Daste le vieux aux lapins
Résumé : Cette histoire, à la fois touchante et poétique a pour cadre un charmant village du Finistère, non loin d'Audierne. Dans la cour d'une ferme cossue, un homme fend du bois. Son fils, garçon insouciant d'une dizaine d'années, l'embrasse avant de prendre à bicyclette, accompagné de sa mère, le chemin de l'école. Mais une voiture qui roule trop vite met fin à bonheur simple et tranquille et laisse Julien sans père et Louise sans mari. Comment une femme et un enfant, parviendront-ils, seuls, à faire marcher une ferme ? Après les premiers mois de chagrin et d'abattement, la vie reprend le dessus. Julien tente d'assumer désormais le rôle de chef de famille en essayant d'imiter son père et de se conduire en homme. Mais sa mère est jeune et libre. Les hommes, jeunes et libres comme elle ne manquent pas et plus ou moins maladroitement, ils commencent à s'intéresser à cette jolie veuve. Julien toutefois ne l'entend pas de cette oreille : s'il finit par admettre qu'un mari serait nécessaire, il ne veut pas que ce soit n'importe qui et il se met donc en quête d'un "père" de son goût... Mots clés : veuf (veuve) ; vie rurale ; relation parent enfant (mère fils)
Critique post-diffusion : Dans la grisaille des programmes et l'abus des rediffusions, une véritable création prend l'allure d'un événement. Nous devions déjà au tandem Hervé Baslé-Jean L'Hôte « Les Trois Morts d'Emile Gauthier », couronné l'année dernière par le Prix de la Critique. Avec « Les Prétendants de madame Berrou », ils ont prouvé, encore une fois, qu'ils avaient un style bien à eux, fait de tendresse, de pudeur et d'humour.
Sur un thème classique — la jalousie d'un petit garçon à l'égard de sa mère, une jeune et jolie veuve — ils ont construit une histoire simple, pleine de charme et de notations justes. Le risque était de tomber dans l'attendrissement. Les auteurs ne l'ont pas toujours évité mais ils se sont très vite repris, aidés en cela par une équipe de comédiens remarquables.
Il est devenu banal de vanter le talent de Pierre Santini. Une fois de plus, il était parfait. Le mérite d'Hervé Baslé est d'avoir soigné sa distribution jusque dans les seconds rôles, souvent sacrifiés. Michel Robin, par exemple, a campé un inoubliable personnage d'instituteur. Le petit Mathieu Barbey donnait beaucoup de spontanéité et de fraîcheur au personnage de Julien. La découverte de la soirée, c'était pourtant Geneviève Mnich, une actrice pleine de sensibilité et de naturel qu'on aimerait revoir plus souvent. Une réussite de cette télévision d'auteurs qui a, hélas, tendance à disparaître
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