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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Pascale de Boysson Félicité Christiane Lénier Madame Aubin Patricia Renaud Virginie Charles Boda Paul Michel Montfort Théodore Jean Claude Vallavry Victor Alexandre Rignault Liebault André Lacombe Bourais Yvonne Hébert Mme Lourmeau Pierre Lafont Fabu Ibrahim Seck Le serviteur Nicole Maynard une jeune fille Marie France Boyer une jeune fille Marie Christine Auferil une jeune fille Edmond Cheni L'ami Jean Pierre Brodier off, le récitant
Document sans nom
"Un Coeur simple", l'un des "Trois Contes" de FLAUBERT adapté de façon inédite par Jacques MOURGEON et réalisé par Jean BESCONT. Ces derniers ont voulu faire un récit sans suspense, sans violence, très "intérieur". Les acteurs n'échangeront aucune réplique, pas de dialogue : rien que la voix du conteur qui dit le texte de FLAUBERT. Les images se trouvent là pour matérialiser la rêverie où peut entrainer la lecture d'une histoire douce-amère. C'est presque un récit de veillée. L'histoire se déroule à la fin du siècle dernier, à Pont-l'Evêque, Honfleur et Trouville. C'est, dit FLAUBERT, "le récit d'une vie obscure, celle d'une pauvre fille de campagne, dévote mais mystique, dévouée sans exaltation et tendre comme du pain frais. Elle aime successivement un homme, les enfants de sa maîtresse, un neveu puis son perroquet. Quand son perroquet est mort, elle le fait empailler et, mourant à son tour, elle confond le perroquet avec le Saint-Esprit. Cela n'est nullement ironique, mais au contraire très sérieux et très triste". Mots clés : adaptation d'oeuvre ; nouvelle littéraire (Un Coeur simple) ; conte ; Normandie ; Honfleur ; Trouville sur Mer ; employé de maison (servante) ; tendresse ; religion (piété) ; mise en scène (innovante) ; invention (innovation dans la réalisation) ; perroquet ; Pont l'Evêque-Calvados
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Pascale de Boysson Félicité Christiane Lénier Madame Aubin Patricia Renaud Virginie Charles Boda Paul Michel Montfort Théodore Jean Claude Vallavry Victor Alexandre Rignault Liebault André Lacombe Bourais Yvonne Hébert Mme Lourmeau Pierre Lafont Fabu Ibrahim Seck Le serviteur Nicole Maynard une jeune fille Marie France Boyer une jeune fille Marie Christine Auferil une jeune fille Edmond Cheni L'ami Jean Pierre Brodier off, le récitant
"Un Coeur simple", l'un des "Trois Contes" de FLAUBERT adapté de façon inédite par Jacques MOURGEON et réalisé par Jean BESCONT. Ces derniers ont voulu faire un récit sans suspense, sans violence, très "intérieur". Les acteurs n'échangeront aucune réplique, pas de dialogue : rien que la voix du conteur qui dit le texte de FLAUBERT. Les images se trouvent là pour matérialiser la rêverie où peut entrainer la lecture d'une histoire douce-amère. C'est presque un récit de veillée. L'histoire se déroule à la fin du siècle dernier, à Pont-l'Evêque, Honfleur et Trouville. C'est, dit FLAUBERT, "le récit d'une vie obscure, celle d'une pauvre fille de campagne, dévote mais mystique, dévouée sans exaltation et tendre comme du pain frais. Elle aime successivement un homme, les enfants de sa maîtresse, un neveu puis son perroquet. Quand son perroquet est mort, elle le fait empailler et, mourant à son tour, elle confond le perroquet avec le Saint-Esprit. Cela n'est nullement ironique, mais au contraire très sérieux et très triste". Mots clés : adaptation d'oeuvre ; nouvelle littéraire (Un Coeur simple) ; conte ; Normandie ; Honfleur ; Trouville sur Mer ; employé de maison (servante) ; tendresse ; religion (piété) ; mise en scène (innovante) ; invention (innovation dans la réalisation) ; perroquet ; Pont l'Evêque-Calvados
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