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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Jany Holt Anne Odette Joyeux Elfy de Saint-Hélié Alain Cuny Hervé Gabrielle Dorziat la comtesse de Saint-Helie André Lefaur Eustache Dauphin dit Monseigneur - le faux Louis XVII Claude Sainval Albéric de Marignac Marguerite Pierry Fébronie Dauphin André Alerme le colonel Aimé Clariond l'évêque Charles Vissières Toussaint, le domestique Jean Diéner Joseph, le domestique Jean Cocteau le baron Julius Carol Jacques Ory Hervé enfant Marie Magali Elfy de Saint-Hélié enfant Mercédès Brare Anne enfant Marcel Pérès Léopold Marguerite de Morlaye une invitée
Document sans nom
SCENARIO Louis Chavance et Serge de Poligny ; DIALOGUES Jean Cocteau ; IMAGE Roger Hubert ; OPERATEUR Marc Fossard ; MONTAGE Jean Feyte ; SON René Forget ; DECORS Jacques Krauss ; COSTUMES Christian Dior ; MUSIQUE Louis Beydts ; ASSISTANT REALISATEUR André Versein ; SCRIPT Chiffon Guillou ; REGISSEUR Lucien Pinoteau ; DIRECTEUR DE PRODUCTION Robert Florat ; PRODUCTION Aimé Frapin et Jean Séfert - Consortium de Productions de Films ; Sortie le 16 Juin 1943
La comtesse de Saint-Helie vient, en compagnie de sa fille Elfy et d’Anne, la sœur de lait de celle-ci, rendre visite à son oncle, le baron Julius Carol, un originale qui refuse de quitter ses ruines ouvertes au quatre vents. Toussaint, le vieux domestique, l’accueille et lui annonce la disparition du baron. Selon ses dires, le maître des lieux a fait quelques apparitions fantomatiques avant de tirer définitivement sa révérence. Peut-être s’est-il réincarné dans son chat Carol… La comtesse ne prend pas aux sérieux les divagations du vieil homme et s’installe dans le château « moderne » en contrebas. Elfy et Anne grandissent en compagnie d’Hervé, le neveu de Toussaint, qui bien longtemps avant leur arrivée avait fait du domaine le royaume de ses jeux d’enfant. Devenues adultes, les deux jeunes femmes éprouvent des sentiments amoureux pour Hervé. La condition d’Elfy lui interdit d’épouser un domestique. D’ailleurs, un autre parti se présente. Un bel officier, Albéric de Marignac, gagne ses faveurs. Mais le jeune homme est sans le sous…
CRITIQUE(S) :
« Avec une poésie douloureuse qui lui est propre, Serge de Poligny sait peindre de façon attachante ces personnages d’exclus que leur situation sociale, un héritage lourd à porter ou les secrets de leur vie intime embarrassent jusqu’au désespoir. D’une manière assez moderne, (…) se côtoient dans son œuvre des personnages très divers, et authentiques dans leur diversité. Des créatures cocasses et insolites voisinent avec d’autres, graves ou tragiques » - Jacques Lourcelles, Dictionnaire du cinéma ; Les films, coll. Bouquins, 1992.
« Alain Cuny et Jany Holt sortaient des brumes du rêve et des contes de revenants, pour trouver la lumière la vie. » - Jacques Siclier
« LE BARON FANTOME joue au film d’épouvante. Son château s’inspire des gravures qui ornent les romans d’Ann Radcliffe. Des oubliettes s’ouvrent, la lune joue sur l’étang, il y a des toiles d’araignée et des nuits d’orage et des enterrés vifs qui tombent en poudre au moindre souffle. Les pirouettes de Cocteau changent soudain les rictus en sourires. Son fluide métamorphose Anne - ma sœur Anne - Jany, plus mystérieuse que jamais, en la plus tendre des amoureuses. (…) Elle souffle sur les maléfices, pour vivre et aimer. Sa finesse, sa malice l’emportent (…) » - Olivier Barrot et Raymond Chirat, Noir & Blanc, 250 acteurs du cinéma français 1930-1960, Flammarion, 2000
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Andre Lefaur et Marguerite Pierry
Mercedes Brare et Marie Magali
Odette Joyeux et Claude Sainval
Jany Holt Anne Odette Joyeux Elfy de Saint-Hélié Alain Cuny Hervé Gabrielle Dorziat la comtesse de Saint-Helie André Lefaur Eustache Dauphin dit Monseigneur - le faux Louis XVII Claude Sainval Albéric de Marignac Marguerite Pierry Fébronie Dauphin André Alerme le colonel Aimé Clariond l'évêque Charles Vissières Toussaint, le domestique Jean Diéner Joseph, le domestique Jean Cocteau le baron Julius Carol Jacques Ory Hervé enfant Marie Magali Elfy de Saint-Hélié enfant Mercédès Brare Anne enfant Marcel Pérès Léopold Marguerite de Morlaye une invitée
SCENARIO Louis Chavance et Serge de Poligny ; DIALOGUES Jean Cocteau ; IMAGE Roger Hubert ; OPERATEUR Marc Fossard ; MONTAGE Jean Feyte ; SON René Forget ; DECORS Jacques Krauss ; COSTUMES Christian Dior ; MUSIQUE Louis Beydts ; ASSISTANT REALISATEUR André Versein ; SCRIPT Chiffon Guillou ; REGISSEUR Lucien Pinoteau ; DIRECTEUR DE PRODUCTION Robert Florat ; PRODUCTION Aimé Frapin et Jean Séfert - Consortium de Productions de Films ; Sortie le 16 Juin 1943
La comtesse de Saint-Helie vient, en compagnie de sa fille Elfy et d’Anne, la sœur de lait de celle-ci, rendre visite à son oncle, le baron Julius Carol, un originale qui refuse de quitter ses ruines ouvertes au quatre vents. Toussaint, le vieux domestique, l’accueille et lui annonce la disparition du baron. Selon ses dires, le maître des lieux a fait quelques apparitions fantomatiques avant de tirer définitivement sa révérence. Peut-être s’est-il réincarné dans son chat Carol… La comtesse ne prend pas aux sérieux les divagations du vieil homme et s’installe dans le château « moderne » en contrebas. Elfy et Anne grandissent en compagnie d’Hervé, le neveu de Toussaint, qui bien longtemps avant leur arrivée avait fait du domaine le royaume de ses jeux d’enfant. Devenues adultes, les deux jeunes femmes éprouvent des sentiments amoureux pour Hervé. La condition d’Elfy lui interdit d’épouser un domestique. D’ailleurs, un autre parti se présente. Un bel officier, Albéric de Marignac, gagne ses faveurs. Mais le jeune homme est sans le sous…
CRITIQUE(S) :
« Avec une poésie douloureuse qui lui est propre, Serge de Poligny sait peindre de façon attachante ces personnages d’exclus que leur situation sociale, un héritage lourd à porter ou les secrets de leur vie intime embarrassent jusqu’au désespoir. D’une manière assez moderne, (…) se côtoient dans son œuvre des personnages très divers, et authentiques dans leur diversité. Des créatures cocasses et insolites voisinent avec d’autres, graves ou tragiques » - Jacques Lourcelles, Dictionnaire du cinéma ; Les films, coll. Bouquins, 1992.
« Alain Cuny et Jany Holt sortaient des brumes du rêve et des contes de revenants, pour trouver la lumière la vie. » - Jacques Siclier
« LE BARON FANTOME joue au film d’épouvante. Son château s’inspire des gravures qui ornent les romans d’Ann Radcliffe. Des oubliettes s’ouvrent, la lune joue sur l’étang, il y a des toiles d’araignée et des nuits d’orage et des enterrés vifs qui tombent en poudre au moindre souffle. Les pirouettes de Cocteau changent soudain les rictus en sourires. Son fluide métamorphose Anne - ma sœur Anne - Jany, plus mystérieuse que jamais, en la plus tendre des amoureuses. (…) Elle souffle sur les maléfices, pour vivre et aimer. Sa finesse, sa malice l’emportent (…) » - Olivier Barrot et Raymond Chirat, Noir & Blanc, 250 acteurs du cinéma français 1930-1960, Flammarion, 2000
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