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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Guy Piérauld Gustave Albert Médina Pastel Brigitte Chamak Yvonne Marion Game Lucie Campion Roger Van Hool Pierre Larget Emmanuel Dechartre Gérard Madelon Violla Odette Sean O'Neil Monsieur Bennett Olga Valéry Missis Bennet Jacqueline Jako-Mica La dame au chien Devy Erlih Le violoniste Henri Poirier Edouard Campion
Document sans nom
AU THÉÂTRE CE SOIR, DE PIERRE SABBAGH
LA FOIRE AUX SENTIMENTS
PIÈCE DE ROGER FERDINAND
MISE EN SCÈNE DE JEAN KERCHBRON
DÉCOR DE ROGER HARTH, COSTUMES DE DONALD CARDWELL
LE SUJET : Dans un petit hôtel d'une station balnéaire, la présence d'un client insolite et ses remarques insidieuses et désabusées bouleversent le bonheur tranquille des autres pensionnaires.
LE DÉBUT : Au matin d'une belle journée d'août, Pierre Larget est l'un des premiers clients de l'hôtel à être descendu prendre son petit déjeuner. Vêtu avec une sobre élégance, il semble étranger à tout ce qui l'entoure et se montre distant avec le personnel comme avec les autres clients. Gustave, le patron de l'hôtel, semble pourtant désireux d'engager la conversation. Après bien des hésitations il avoue à Larget que chacun se pose des questions à son sujet : son silence obstiné, son air absent intriguent et indisposent. Il lui suffirait pourtant d'adresser quelques mots à propos de tout et de rien aux pensionnaires, de participer à la vie de l'hôtel, enfin de se comporter simplement comme tout le monde. Larget acquiesce et, puisqu'on lui demande de parler, il va le faire. Il commence par se plaindre du service de l'hôtel avant d'entraîner Gustave sur un terrain plus métaphysique. Il le questionne sur le sens qu'il donne à son existence, sur ses aspirations, sur son devenir... Peu à peu. Gustave prend conscience, avec désolation, du vide de sa vie qui aboutira inéluctablement sur le néant. C'est démoralisé qu'il accueille M. Pastel, un autre client, artiste peintre, qui, avec bonne humeur, réclame son petit déjeuner...
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Albert Medina et Brigitte Chamak
Madelon Violla et Emmanuel Dechantre
Guy Piérauld Gustave Albert Médina Pastel Brigitte Chamak Yvonne Marion Game Lucie Campion Roger Van Hool Pierre Larget Emmanuel Dechartre Gérard Madelon Violla Odette Sean O'Neil Monsieur Bennett Olga Valéry Missis Bennet Jacqueline Jako-Mica La dame au chien Devy Erlih Le violoniste Henri Poirier Edouard Campion
AU THÉÂTRE CE SOIR, DE PIERRE SABBAGH
LA FOIRE AUX SENTIMENTS
PIÈCE DE ROGER FERDINAND
MISE EN SCÈNE DE JEAN KERCHBRON
DÉCOR DE ROGER HARTH, COSTUMES DE DONALD CARDWELL
LE SUJET : Dans un petit hôtel d'une station balnéaire, la présence d'un client insolite et ses remarques insidieuses et désabusées bouleversent le bonheur tranquille des autres pensionnaires.
LE DÉBUT : Au matin d'une belle journée d'août, Pierre Larget est l'un des premiers clients de l'hôtel à être descendu prendre son petit déjeuner. Vêtu avec une sobre élégance, il semble étranger à tout ce qui l'entoure et se montre distant avec le personnel comme avec les autres clients. Gustave, le patron de l'hôtel, semble pourtant désireux d'engager la conversation. Après bien des hésitations il avoue à Larget que chacun se pose des questions à son sujet : son silence obstiné, son air absent intriguent et indisposent. Il lui suffirait pourtant d'adresser quelques mots à propos de tout et de rien aux pensionnaires, de participer à la vie de l'hôtel, enfin de se comporter simplement comme tout le monde. Larget acquiesce et, puisqu'on lui demande de parler, il va le faire. Il commence par se plaindre du service de l'hôtel avant d'entraîner Gustave sur un terrain plus métaphysique. Il le questionne sur le sens qu'il donne à son existence, sur ses aspirations, sur son devenir... Peu à peu. Gustave prend conscience, avec désolation, du vide de sa vie qui aboutira inéluctablement sur le néant. C'est démoralisé qu'il accueille M. Pastel, un autre client, artiste peintre, qui, avec bonne humeur, réclame son petit déjeuner...
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