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Christine Aurel et Bernard Verley
Christine Aurel et Sylvie Meyer
Christine Aurel et Sylvie Meyer
Guy Bonnafoux et Jacqueline Laurent
Olga Valery et Jacqueline Laurent
Peut etre Catherine Bidault a droite
Sylvie Meyer et Christine Aurel
Sylvie Meyer Béatrice / Julie Bernard Verley Jean-François Toulouse Olga Valéry Mme Renée, la patronne du bordel Christine Aurel Martine, l'amie de Béatrice Betty Beer Nadine Catherine Bidault Luce Berthommé Danièle Nicole Cavalier Gillian Gill Mme Raymonde la lingère du bordel Gisèle Grimm L'amie de la mère Francine Hébert Karine Jeantet Cécile Jacqueline Laurent Myriam Karin Meyer Maria Doris Thomas Nicole Brigitte Borghese Marie-Paule Eva Damien La mère Bernard Tixier Tony, dit Le marquis Féodor Atkine Gérard, le mari de Martine Albert Baron Le père la sucette Daniel Bellus L'homme au café Jack Berard Le client évêque Jean Blancheur Le vieux client au monocle Guy Bonnafoux Le fétichiste des culottes blanches Jean Cantel Jean-Paul Duval Wilfrid Durry Herbert Fiala Ange Gazielli Philippe Hery Tola Koukoui Le client noir André Parisi Nicolas Piéry Jeff Zimmerman Pierre Danny Le conseiller ministériel James Arch Lui-même Claudine Beccarie La jeune femme faisant le gruyère à l'auberge du roi Arthur Martine Cendrie Béatrice à 13 ans Jacqueline Clément Guy Montagné Le barman du club échangiste Patricia Strebel Bernard Sabot
Etonnant film que je prendrai au premier degré : Le décor est celui d’une maison close à la Madame Claude des années 60-70. Les filles ne sont pas forcées d’y entrer et c’est çà qu’il faut retenir. La mère maquerelle est jouée par Olga Valery une actrice respectable qui avait commencé sa carrière à l’époque du muet. La scène ou elle accueille l’héroïne du film jouée pas Sylvie Meyer vaut son pesant de cacahuètes ! Non, seulement le langage employé par la tenancière est on ne peut plus crû, mais la fille se met nue de chez nue ! Et pendant tout le film ce sera pareil, pour un oui ou pour un non, les filles se déshabillent entièrement, comme par exemple la ravissante Jacqueline Laurent qui ne nous cache rien de son anatomie alors qu’elle change juste de pantalon ! Ce film et « Les volets clos » de Brialy qui se passe aussi dans un bordel c’est le jour et la nuit. Brialy a fait un film de parlote, et Jouffa un catalogue des spécialités des maisons closes, tout y passe, évidement le sadomasochisme est pratiqué sous diverses formes, les pratiques buccales sont certes suggérées, mais avec des vieux schnocks çà peut choquer, il me semble aussi qu’il y a une scène d’échanges de « liquides » (j’ai pas tout compris), le film aurait pu être porno, çà c’est joué à peu (on était dans l’âge d’or du X). Non, ce qui était étonnant c’est le parcours « tranquille » de cette étudiante en philo qui rentre en maison close comme on rentre à l’usine, sans état d’âme, et sa copine, une autre ravissante actrice : Christine Aurel, tâte aussi de la chose à la fin du film, personnellement je ne trouve pas çà très réaliste, mais bon, encore une fois, prenons çà simplement. Et ne faisons aucun rapprochement avec le scandaleux monde de la prostitution tel qu’il existe de nos jours, avec filles violées, pas payées, des esclaves quoi !
Quand à la fin du film, passons, la conversion de la jeune fille au boudhisme n’est pas plus reluisante que son passage dans cette finalement accueillante maison de tolérance :)
Autre titre : Les concessions d'une enfant du siècle