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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Margareth Jeannette Jean-Pierre Armand François Serena Jacqueline Frédérique Moreau Brigitte Alain Plumey Robert
Document sans nom
Réalisation : Claude Bernard-Aubert (sous le nom de Burd Tranbaree)
Scénario et dialogues : Claude Bernard-Aubert
Chef opérateur : Pierre Fatori
Assistant opérateur : Jean Fatori
Montage : Gabriel Rongier
Musique : Alain Goraguer
Assistante réalisateur : Cécile Richeman
Productiion : Claude Bernard-Aubert - Shangrila Productions / Francis Mischkind - FFCM
Sortie le 7 mai 1980
Deux couple passent un week-end dans une maison de campagne. Détente et libertinage au programme avec la petite bonne pour arbitre des ébats.
CRITIQUE(S) :
« Malgré une idée de départ peu originale et la totale disponibilité sexuelle des protagoniste, qui ôte bien des surprise, Tranbaree signe ici une oeuvre attachante pleine de verdeur et de nonchalance. Le soin évident apporté à la photo, à la mise en scène, à la direction d’acteurs rend sensible aussi bien la douceur acide du petit matin quand on se lève trop tôt pour aller pêcher, que le mœlleux des draps où l’on se recouche en frissonnant, ou encore la complicité qui se tisse dans une cuisine en préparant un repas. Dommage que l’utilisation systématique du gros plan émousse l’émotion du spectateur. Quand à Serena, déjà remarquée dans LE DROIT DE CUISSAGE, elle apparaît ici dans toute sa splendeur. » - Bruno Minard, La Saison cinématographique 1980.
« Les dialogues se veulent ironiques : ils sont débiles. On aurait d'ailleurs pu s'en passer puisque le scénario est réellement inexistant (…) Le film est porté par Serena, androgyne très nature quoique naturellement sophistiquée (…) Le film plaira peut-être aux nihilistes d'une part, au public urbain d'autre part. » - Alain Minard, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques, 2011.
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2016.
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Frederique Moreau et Margareth
Jean Pierre Armand et Alain Plumey
Jean Pierre Armand et Margareth
Margareth Jeannette Jean-Pierre Armand François Serena Jacqueline Frédérique Moreau Brigitte Alain Plumey Robert
Réalisation : Claude Bernard-Aubert (sous le nom de Burd Tranbaree)
Scénario et dialogues : Claude Bernard-Aubert
Chef opérateur : Pierre Fatori
Assistant opérateur : Jean Fatori
Montage : Gabriel Rongier
Musique : Alain Goraguer
Assistante réalisateur : Cécile Richeman
Productiion : Claude Bernard-Aubert - Shangrila Productions / Francis Mischkind - FFCM
Sortie le 7 mai 1980
Deux couple passent un week-end dans une maison de campagne. Détente et libertinage au programme avec la petite bonne pour arbitre des ébats.
CRITIQUE(S) :
« Malgré une idée de départ peu originale et la totale disponibilité sexuelle des protagoniste, qui ôte bien des surprise, Tranbaree signe ici une oeuvre attachante pleine de verdeur et de nonchalance. Le soin évident apporté à la photo, à la mise en scène, à la direction d’acteurs rend sensible aussi bien la douceur acide du petit matin quand on se lève trop tôt pour aller pêcher, que le mœlleux des draps où l’on se recouche en frissonnant, ou encore la complicité qui se tisse dans une cuisine en préparant un repas. Dommage que l’utilisation systématique du gros plan émousse l’émotion du spectateur. Quand à Serena, déjà remarquée dans LE DROIT DE CUISSAGE, elle apparaît ici dans toute sa splendeur. » - Bruno Minard, La Saison cinématographique 1980.
« Les dialogues se veulent ironiques : ils sont débiles. On aurait d'ailleurs pu s'en passer puisque le scénario est réellement inexistant (…) Le film est porté par Serena, androgyne très nature quoique naturellement sophistiquée (…) Le film plaira peut-être aux nihilistes d'une part, au public urbain d'autre part. » - Alain Minard, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques, 2011.
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2016.
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