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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
François Deguelt l’inspecteur Garnier Raymond Souplex le commissaire Serval Renée Cosima Catherine Muller Noël Roquevert le commandant Henri Muller Paulette Dubost Hélène Serval Kim Kyo Pierre Doris l’inspecteur Bourdier Daniel Emilfork le chef des pompes funèbres Gilbert Gil Paul Roubaix Jean Tissier le jardinier Jean Daurand l’inspecteur Sabatier Guy Piérauld l’inspecteur Martin [crédité Guy Pierrault] Lucien Raimbourg Muller, le père de Catherine Francine Allard la pompiste Henri de Chaptal Christian Dunil Claude Sorel la femme de chambre François Dyrek un tueur Jacques de Lannoy Isa Rambaud la bonne Max Théol’s
Document sans nom
France, 1963
Production : Marc Bossu, Max Theol’s & Jean Tribolo, pour Association Européenne de Films
Distribution : Les Films Jacques Leitienne
Réalisation : Jean Maley
Scénario : Jean-Michel Cabin [= Jean Maley]
Adaptation : Jean Maley, Marc Bossu & Michel Dubosc
Dialogues : Michel Dubosc
Directeur de la photographie : Claude Robin
Cameraman : Paul-Louis Souvestre
Assistant opérateur : Nicolas Citovitch
Musique : Camille Sauvage, à l’harmonica Alain Raisner (Editions Musicales Présence)
Chansons du film : Paroles de François Deguelt et Christian Jolet, musique de Francis Baxter et Camille Sauvage, enregistrées par François Deguelt sur disques Pathé Marconi
Ingénieurs du son : Jean Lecoq & Georges Mardiguian
Mixage : Jacques Bonpunt
Montage : Gabriel Rongier
Assistante monteuse : Ludmila d’Artec
Accessoiriste et effets spéciaux : Jean Boulet
Bruitage : Albert Platzman
Chef maquilleur : Boris de Banow et Roger Chanteau
Décorateur : Jean Abribat
Tapissier : Maurice Mougine
Chef Machiniste : Marius Berger
Chef électricien : Marcel Mairesse
Directeur des bagarres : Henri Lambert
Régisseur général : Pierre Lefait
Chef comptable : Andrée Leguay
Photographe de plateau : Marcel Ortola
Directeurs de production : Raymond Blondy & Marc Bossu
Directeur artistique : Max Theol’s
Administrateur : Albert Usson
Pellicule Agfa – Noir et blanc.
N.P. 20 – Ultra rapide – Isopan Record
Laboratoires Franay L.T.C. St. Cloud
Effets spéciaux : Lax
Durée : 82 mn
Visa : 27391
Début de tournage : 11 février 1963
Sortie à Paris le 11 mars 1964 à l’Astor et au Ritz.
Il s’agit du deuxième long-métrage de Jean Maley après Seul à corps perdu (1961) et probablement de la première apparition du comédien François Dyrek.
Sous l’impulsion des Films Jacques Leitienne, qui distribuait avec succès des krimis outre-Rhin, les auteurs ont certainement voulu conjuguer le succès télévisuel des 5 Dernières minutes et la notoriété de Raymond Souplex avec l’atmosphère angoissante des adaptations d’Edgar Wallace. Il manque malheureusement les trouvailles baroques d’un Alfred Vohrer, malgré un premier meurtre réussi et une galerie de suspects ambigus. Souplex retrouve son fidèle Jean Daurand des 5 Dernières Minutes, Doris et Piérauld amusent la galerie mais le chanteur François Deguelt n’a aucun charisme pour porter cette petite série B. L’intrigue s’épaissit dans un mystère languissant. A l’époque l’Office Catholique du Cinéma réservait cette bande strictement aux adultes en raison d’une « atmosphère pénible […] entretenue volontairement par la cruauté des images et l’acuité pénible des sons ». Comme toujours, Daniel Emilfork apporte par sa seule gestuelle une poésie fascinante. Il dirige une curieuse officine de pompes funèbres qui sert de couverture à un gang de tueurs patibulaires. A noter aussi une qualité dans le réalisme des bagarres, dirigées par l’ancien boxeur Henri Lambert.
(Christophe Bier)
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Daniel Emilfork dans la fete foraine
Daniel Emilfork et ses couronnes mortuaires
Raymond Souplex et Renee Cosima
François Deguelt l’inspecteur Garnier Raymond Souplex le commissaire Serval Renée Cosima Catherine Muller Noël Roquevert le commandant Henri Muller Paulette Dubost Hélène Serval Kim Kyo Pierre Doris l’inspecteur Bourdier Daniel Emilfork le chef des pompes funèbres Gilbert Gil Paul Roubaix Jean Tissier le jardinier Jean Daurand l’inspecteur Sabatier Guy Piérauld l’inspecteur Martin [crédité Guy Pierrault] Lucien Raimbourg Muller, le père de Catherine Francine Allard la pompiste Henri de Chaptal Christian Dunil Claude Sorel la femme de chambre François Dyrek un tueur Jacques de Lannoy Isa Rambaud la bonne Max Théol’s
France, 1963
Production : Marc Bossu, Max Theol’s & Jean Tribolo, pour Association Européenne de Films
Distribution : Les Films Jacques Leitienne
Réalisation : Jean Maley
Scénario : Jean-Michel Cabin [= Jean Maley]
Adaptation : Jean Maley, Marc Bossu & Michel Dubosc
Dialogues : Michel Dubosc
Directeur de la photographie : Claude Robin
Cameraman : Paul-Louis Souvestre
Assistant opérateur : Nicolas Citovitch
Musique : Camille Sauvage, à l’harmonica Alain Raisner (Editions Musicales Présence)
Chansons du film : Paroles de François Deguelt et Christian Jolet, musique de Francis Baxter et Camille Sauvage, enregistrées par François Deguelt sur disques Pathé Marconi
Ingénieurs du son : Jean Lecoq & Georges Mardiguian
Mixage : Jacques Bonpunt
Montage : Gabriel Rongier
Assistante monteuse : Ludmila d’Artec
Accessoiriste et effets spéciaux : Jean Boulet
Bruitage : Albert Platzman
Chef maquilleur : Boris de Banow et Roger Chanteau
Décorateur : Jean Abribat
Tapissier : Maurice Mougine
Chef Machiniste : Marius Berger
Chef électricien : Marcel Mairesse
Directeur des bagarres : Henri Lambert
Régisseur général : Pierre Lefait
Chef comptable : Andrée Leguay
Photographe de plateau : Marcel Ortola
Directeurs de production : Raymond Blondy & Marc Bossu
Directeur artistique : Max Theol’s
Administrateur : Albert Usson
Pellicule Agfa – Noir et blanc.
N.P. 20 – Ultra rapide – Isopan Record
Laboratoires Franay L.T.C. St. Cloud
Effets spéciaux : Lax
Durée : 82 mn
Visa : 27391
Début de tournage : 11 février 1963
Sortie à Paris le 11 mars 1964 à l’Astor et au Ritz.
Il s’agit du deuxième long-métrage de Jean Maley après Seul à corps perdu (1961) et probablement de la première apparition du comédien François Dyrek.
Sous l’impulsion des Films Jacques Leitienne, qui distribuait avec succès des krimis outre-Rhin, les auteurs ont certainement voulu conjuguer le succès télévisuel des 5 Dernières minutes et la notoriété de Raymond Souplex avec l’atmosphère angoissante des adaptations d’Edgar Wallace. Il manque malheureusement les trouvailles baroques d’un Alfred Vohrer, malgré un premier meurtre réussi et une galerie de suspects ambigus. Souplex retrouve son fidèle Jean Daurand des 5 Dernières Minutes, Doris et Piérauld amusent la galerie mais le chanteur François Deguelt n’a aucun charisme pour porter cette petite série B. L’intrigue s’épaissit dans un mystère languissant. A l’époque l’Office Catholique du Cinéma réservait cette bande strictement aux adultes en raison d’une « atmosphère pénible […] entretenue volontairement par la cruauté des images et l’acuité pénible des sons ». Comme toujours, Daniel Emilfork apporte par sa seule gestuelle une poésie fascinante. Il dirige une curieuse officine de pompes funèbres qui sert de couverture à un gang de tueurs patibulaires. A noter aussi une qualité dans le réalisme des bagarres, dirigées par l’ancien boxeur Henri Lambert.
(Christophe Bier)
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