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Agnes Lemercier et Barbara Moose
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Alain Plumey et Barbara Moose
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Alain Plumey et Barbara Moose
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Cathy Stewart
Diane Dubois
Dominique Aveline et Diane Dubois
Jack Gatteau et les chats
Jean Pierre Bouyxou
Jean Rollin et Diane Dubois
Virginie Caillat
Barbara Moose la femme de Jean-Pierre Alain Plumey le premier client Diane Dubois la femme du couple Dominique Aveline l'homme du couple Cathy Stewart une invitée Virginie Caillat une invitée Agnès Lemercier une invitée Jack Gatteau un invité Jean-Pierre Bouyxou Jean-Pierre Jean Rollin un invité Léonard le teckel
Réalisation : Robert Xavier (=Jean Rollin)
Scénario : Robert Xavier (=Jean Rollin)
Assistant réalisateur : Jean-Pierre Bouyxou
Image : Georges Julien (=Georgy Fromentin)
Caméra : René Lequesne
Musique : Michel Roy
Montage : Gilbert Kikoïne
Maquillage : Jean-René Dufrénoy
Chef électricien : Jean Renard
Générique dessiné par Jean-Pierre Bouyxou
Production : Jean Rollin - Les Films ABC
Distribution : France Continental Films
Date de sortie : 11 avril 1979
Autres titres : Remplisez-moi... les trois trous (titre de sortie) / L’épouse en manque (VHS) / Pulsions secrètes (VHS)
Jean-Pierre, représentant du champagne Duglan, expérimente une nouvelle méthode pour agrandir sa clientèle. Il envoie, au hasard, des bouteilles vide. Les gens qui reçoivent ces bouteilles peuvent les rapporter chez lui. En échange, ils en recevrons d’autres, bien remplies celles-là. Les premiers intéressées, qui arrivent alors que Jean-Pierre est parti chercher une caisse d’échantillons, tombent sur sa ravissante femme déjà bien éméchée..
CRITIQUE(S):
« Gentil petit porno, avec tous les ingrédients du genre. Sans originalité, sinon celle de situer l‘ « action » (!) dans le huis clos d’une maison retirée (…) Une séquence intéressante et réussie, celle d’ouverture (!), où l’on voit la belle Cathy Stewart (…) Jouant des effets dune lumière naturelle éclatante, les plans sont remarquablement composés, laissant croire qu’on va assister à un porno différent des autres. Malheureusement, le premier visiteur arrive peu après, et c’en est fini de la recherche de talent. » - Gilles Colpart, La Saison cinématographique 1979
« Ce film ultra fauché, mais plutôt correctement manufacturé, est un nouvel exemple de ce que peut donner le porno lorsqu’il se mêle d’esprit libertaire fantaisiste. Unité de temps et de lieu sont les seules concessions aux règles de la dramaturgie classique, vite balayées par l’improvisation des acteurs - avec une mention spéciale pour Alain Plumey et Barbara Moose derrière le bar - et une post-synchro cacophonique délirante, submergeant la partouze finale. (…) » - Edgard Baltzer, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, sous la direction de Christophe Bier, Serious Publishing, 2011.
Stéphane Bruyère, Septembre 2017
