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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Tania Busselier Martine Catherine Castel une soubrette Marie-Pierre Castel une soubrette Martine Grimaud Sophie Charlie Schreiner Pierre John Oury François Eva Khris femme du premier couple François Ghersi homme du premier couple Eva Quang Eva Vic Samama Victor Joceyne Clairis Jocelyne Jean Solesme Jean Jean Clairis le mari de Sophie Jean-Paul Bride l'hôtelier Jean Rollin le chef cuisinier Jean-Pierre Bouyxou M. Dugenoux, l'éditeur
Document sans nom
Réalisation : Michel Gentil (= Jean Rollin)
Assistant réalisateur : Jean-Pierre Bouyxou
Scénario : Jean Luret, Jean Rollin
Dialogues : Jean Rollin
Image : Oscar lapin (= Jean-Jacques Renon)
Caméra : Patrick Meunier
Assistant opérateur : Vincent Chappey
Musique : Didier William Le Pauw
Montage : Gérard Le Du
Maquillage : Catherine Castel
Régie : Jean-Pierre Sammut
Photographe de plateau : Hubert Toyot, Jérôme Fandor (= Jean-Pierre Bouyxou)
Producteur exécutif : Jean-Paul Bride
Production : Jean Luret - Les Films du Berry
Distribution : Avia films
Date de sortie : 7 avril 1976
Autre titre : La Romancière lubrique
Martine, auteur de romans érotiques vient s’installer quelques jours dans la maison de campagne de son éditeur. Mais l’imagination lui manque. Les soubrettes mises à sa disposition trouvent la solution au problème. Elles font passer la maison pour une annexe de l’hôtel voisin et détournent plusieurs couples de leur destination. Martine n’a plus qu’a s’inspirer des ébats de la petite collectivité improvisée…
CRITIQUE(S):
« Intéressante est l‘idée de base, celle d‘une jeune femme auteur de livres érotiques identifiant peu à peu sa propre réalité à son univers fictif. Mais évidemment, l‘expérience suscitée par la romancière ne donne lieu qu‘à l‘exhibitionnisme gratuit, de rigueur pour un produit pornographique de série. Factice et ridicule est l‘embryon de scénario, qui ne consiste qu‘en la présentation du personnage et la réalisation de son idée pour rassembler autour d‘elle les cobayes nécessaires. Tout le reste n‘est que séquences érotiques, sans la moindre continuité anecdotique, ni la moindre progression narrative, séquences qui n‘ont de significatif que de marquer une avancée du « hard » dans la production pornographique française. » - Gilles Colpart, La Saison cinématographique 1976
« (…) Jean Rollin trouve dans le porno naissant un terrain nouveau pour y interférer de manière ludique, décontractée parfois jusqu’à la désinvolture brouillonne, son univers anarchisant et ses obsessions féministes. Mais très vite il va laisser la bride sur le coup à son frère d’esprit Jean-Pierre Bouyxou, qui cumule les postes de scénariste, assistant réalisateur, photographe de plateau, conseillé artistique et animalier, gagman et accessoirement acteur. Le huis clos en question, tourné en une semaine, ce qui est démentiel quand on pense que les autres le seront parfois en une demi-journée, est certainement le meilleur de la série sur le plan technique, et le plus représentatif du style de la maison (…) » - Edgard Baltzer, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, sous la direction de Christophe Bier, Serious Publishing, 2011.
Stéphane Bruyère, Novembre 2017
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Catherine et Marie Pierre Castel
Jean Paul Bride et Jean Rollin
Tania Busselier Martine Catherine Castel une soubrette Marie-Pierre Castel une soubrette Martine Grimaud Sophie Charlie Schreiner Pierre John Oury François Eva Khris femme du premier couple François Ghersi homme du premier couple Eva Quang Eva Vic Samama Victor Joceyne Clairis Jocelyne Jean Solesme Jean Jean Clairis le mari de Sophie Jean-Paul Bride l'hôtelier Jean Rollin le chef cuisinier Jean-Pierre Bouyxou M. Dugenoux, l'éditeur
Réalisation : Michel Gentil (= Jean Rollin)
Assistant réalisateur : Jean-Pierre Bouyxou
Scénario : Jean Luret, Jean Rollin
Dialogues : Jean Rollin
Image : Oscar lapin (= Jean-Jacques Renon)
Caméra : Patrick Meunier
Assistant opérateur : Vincent Chappey
Musique : Didier William Le Pauw
Montage : Gérard Le Du
Maquillage : Catherine Castel
Régie : Jean-Pierre Sammut
Photographe de plateau : Hubert Toyot, Jérôme Fandor (= Jean-Pierre Bouyxou)
Producteur exécutif : Jean-Paul Bride
Production : Jean Luret - Les Films du Berry
Distribution : Avia films
Date de sortie : 7 avril 1976
Autre titre : La Romancière lubrique
Martine, auteur de romans érotiques vient s’installer quelques jours dans la maison de campagne de son éditeur. Mais l’imagination lui manque. Les soubrettes mises à sa disposition trouvent la solution au problème. Elles font passer la maison pour une annexe de l’hôtel voisin et détournent plusieurs couples de leur destination. Martine n’a plus qu’a s’inspirer des ébats de la petite collectivité improvisée…
CRITIQUE(S):
« Intéressante est l‘idée de base, celle d‘une jeune femme auteur de livres érotiques identifiant peu à peu sa propre réalité à son univers fictif. Mais évidemment, l‘expérience suscitée par la romancière ne donne lieu qu‘à l‘exhibitionnisme gratuit, de rigueur pour un produit pornographique de série. Factice et ridicule est l‘embryon de scénario, qui ne consiste qu‘en la présentation du personnage et la réalisation de son idée pour rassembler autour d‘elle les cobayes nécessaires. Tout le reste n‘est que séquences érotiques, sans la moindre continuité anecdotique, ni la moindre progression narrative, séquences qui n‘ont de significatif que de marquer une avancée du « hard » dans la production pornographique française. » - Gilles Colpart, La Saison cinématographique 1976
« (…) Jean Rollin trouve dans le porno naissant un terrain nouveau pour y interférer de manière ludique, décontractée parfois jusqu’à la désinvolture brouillonne, son univers anarchisant et ses obsessions féministes. Mais très vite il va laisser la bride sur le coup à son frère d’esprit Jean-Pierre Bouyxou, qui cumule les postes de scénariste, assistant réalisateur, photographe de plateau, conseillé artistique et animalier, gagman et accessoirement acteur. Le huis clos en question, tourné en une semaine, ce qui est démentiel quand on pense que les autres le seront parfois en une demi-journée, est certainement le meilleur de la série sur le plan technique, et le plus représentatif du style de la maison (…) » - Edgard Baltzer, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, sous la direction de Christophe Bier, Serious Publishing, 2011.
Stéphane Bruyère, Novembre 2017
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