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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Luis Mariano Juan de Ayala Carmen Sevilla Violetta Simone Valère Eugénie de Montijo Colette Régis La mère d'Eugénie Louis Arbessier Napoléon III Lucien Blondeau Le Grand chambellan de l'Empereur Raymond Girard Prosper Mérimée Marie Sabouret Mme de Pierrefeu Lucien Nat Le conspirateur assassin Micheline Francey Clotilde, la patronne des cousettes Maria Riquelme Anaïs, une cousette Véra Norman Mirette, une cousette Paul Faivre L'aubergiste Raphaël Patorni Un cavalier lors de la chasse Camille Guérini Le Docteur Jackie Blanchot Un ami de Juan en Espagne René Hell Le cocher Angustias Albaicin Rafael Arcos Francisco Bernal Joseph Chaumel Rafael Nogales Joaquin Pujol Manuel Requena Alfonso Rojas Mateo Guitart Felix Fernandez Aurora de Alba Lolita de Silva Maruja Heredia
Document sans nom
Violettes Impériales est, disons le carrément, une opérette-conte de fée.
Sur des valses entraînantes que tout le monde a fredonnées ou a entendu fredonnées, signées Francis Lopez, l'histoire se déroule sous le Second Empire.
L'intrigue
Napoléon III vient tout juste de transformer la République pour se proclamer Empereur des Français.
En Espagne, l'écrivain français Prosper Mérimée qui vient de terminer l'écriture de Carmen, annonce l'événement à la gracieuse Eugénie de Montijo. Celle-ci est très troublée : une jeune gitane Violetta, a lu dans sa main qu'elle porterait une couronne.
Serait-ce celle de France ? Eugénie entreprend le voyage vers Paris avec sa mère. Leur chaperon ? Juan de Ayala un cousin, un bel espagnol, qui sait chanter, qui monte superbement à cheval et qui séduit très facilement les femmes. Il y a quelques jours, il s'est même battu dans une auberge, pour corriger un homme qui avait manqué de respect à la ravissante vendeuse de violettes.
Elle s'appelle Violetta, chante, danse à merveille mais elle est sage comme une image.
Nous sommes à Paris... Eugénie et sa mère sont dans un grand hôtel mais hélas leurs bagages sont introuvables...Une invitation de l'empereur à un bal, le soir même, leur est portée.
Eugénie si heureuse sur le coup, réalise la catastrophe ! Pas de belle robe ... donc pas de bal...Juan qui est un peu amoureux de sa cousine lui promet de trouver une solution... Il se verrait bien l'épouser... Eugénie, connaaissant le caractère si volage de son cousin retarde sa réponse pour dans un an !
Juan achète de quoi coudre la plus belle robe que l'on puisse imaginer, mais il lui faut trouver des cousettes ! Il réussit à persuader tout un atelier de petites mains qui étaient réunies pour fêter l'anniversaire de Mirette, l'une des leurs. Pour remercier ses petites fées il leur chante un air entraînant "Le Miracle de Paris".
Au bal de l'empereur, Eugénie est bien la plus belle pour aller danser... Elle a la plus jolie robe à crinoline que l'on puisse rêver. Madame de Pierrefeu, intrigante et ennemie politique de l'empereur est jalouse devant cette jeune espagnole qui est le point de mire de toute la cour d'autant que l'empereur paraît avoir le coup de foudre après avoir dansé un quadrille avec Eugénie.
La prophétie de Violetta se réalise et pour la remercier, la toute nouvelle impératrice la fait venir à la Cour à Paris. Juan la revoit donc et de plus en plus conquis, lui chante que "l'amour est un bouquet de violeeeeeeettes..." Mais la petite gitane tient bon ! Elle sait qu'il veut simplement s'amuser. D'ailleurs, elle en a la confirmation, en entendant en larmes derrière une porte : Moi épouser Violetta ? non ...
Mme de Pierrefeu joue un jeu dangereux. Après avoir tenté en vain de compromettre l'impératrice, elle complote un attentat pour tuer la souveraine lors de son prochain déplacement
Elle en est puni puisqu'elle est tuée par un complice qui ne veut laisser aucun témoin ; mais Violetta a tout vu et elle prend la place de sa bienfaitrice. C'est elle qui ira vers la mort.
L'attentat a lieu ; Violetta est très gravement blesssée. Juan rongé de remords réalise combien son amour pour la jeune fille est profond.
Les amoureux se retrouvent en Espagne et l'histoire se termine par un mariage dans la plus pure tradition des Contes de fées.
Ce film a rencontré un très grand succès à sa sortie ; les airs passaient en boucle à la radio, Luis Mariano et Carmen Sevilla faisaient la une des tabloïds qui les fiançaient en attendant de les marier. Le mariage n'aura lieu que dans le film mais les deux artistes resteront liés par une solide amitié.
Donatienne Roby, Novembre 2017
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La plus belle pour aller danser
Lucien Blondeau et Louis Arbessier
Luis avec Vera Norman et Maria Riquelme
Violetta se sacrifie pour l imperatrice
Luis Mariano Juan de Ayala Carmen Sevilla Violetta Simone Valère Eugénie de Montijo Colette Régis La mère d'Eugénie Louis Arbessier Napoléon III Lucien Blondeau Le Grand chambellan de l'Empereur Raymond Girard Prosper Mérimée Marie Sabouret Mme de Pierrefeu Lucien Nat Le conspirateur assassin Micheline Francey Clotilde, la patronne des cousettes Maria Riquelme Anaïs, une cousette Véra Norman Mirette, une cousette Paul Faivre L'aubergiste Raphaël Patorni Un cavalier lors de la chasse Camille Guérini Le Docteur Jackie Blanchot Un ami de Juan en Espagne René Hell Le cocher Angustias Albaicin Rafael Arcos Francisco Bernal Joseph Chaumel Rafael Nogales Joaquin Pujol Manuel Requena Alfonso Rojas Mateo Guitart Felix Fernandez Aurora de Alba Lolita de Silva Maruja Heredia
Violettes Impériales est, disons le carrément, une opérette-conte de fée.
Sur des valses entraînantes que tout le monde a fredonnées ou a entendu fredonnées, signées Francis Lopez, l'histoire se déroule sous le Second Empire.
L'intrigue
Napoléon III vient tout juste de transformer la République pour se proclamer Empereur des Français.
En Espagne, l'écrivain français Prosper Mérimée qui vient de terminer l'écriture de Carmen, annonce l'événement à la gracieuse Eugénie de Montijo. Celle-ci est très troublée : une jeune gitane Violetta, a lu dans sa main qu'elle porterait une couronne.
Serait-ce celle de France ? Eugénie entreprend le voyage vers Paris avec sa mère. Leur chaperon ? Juan de Ayala un cousin, un bel espagnol, qui sait chanter, qui monte superbement à cheval et qui séduit très facilement les femmes. Il y a quelques jours, il s'est même battu dans une auberge, pour corriger un homme qui avait manqué de respect à la ravissante vendeuse de violettes.
Elle s'appelle Violetta, chante, danse à merveille mais elle est sage comme une image.
Nous sommes à Paris... Eugénie et sa mère sont dans un grand hôtel mais hélas leurs bagages sont introuvables...Une invitation de l'empereur à un bal, le soir même, leur est portée.
Eugénie si heureuse sur le coup, réalise la catastrophe ! Pas de belle robe ... donc pas de bal...Juan qui est un peu amoureux de sa cousine lui promet de trouver une solution... Il se verrait bien l'épouser... Eugénie, connaaissant le caractère si volage de son cousin retarde sa réponse pour dans un an !
Juan achète de quoi coudre la plus belle robe que l'on puisse imaginer, mais il lui faut trouver des cousettes ! Il réussit à persuader tout un atelier de petites mains qui étaient réunies pour fêter l'anniversaire de Mirette, l'une des leurs. Pour remercier ses petites fées il leur chante un air entraînant "Le Miracle de Paris".
Au bal de l'empereur, Eugénie est bien la plus belle pour aller danser... Elle a la plus jolie robe à crinoline que l'on puisse rêver. Madame de Pierrefeu, intrigante et ennemie politique de l'empereur est jalouse devant cette jeune espagnole qui est le point de mire de toute la cour d'autant que l'empereur paraît avoir le coup de foudre après avoir dansé un quadrille avec Eugénie.
La prophétie de Violetta se réalise et pour la remercier, la toute nouvelle impératrice la fait venir à la Cour à Paris. Juan la revoit donc et de plus en plus conquis, lui chante que "l'amour est un bouquet de violeeeeeeettes..." Mais la petite gitane tient bon ! Elle sait qu'il veut simplement s'amuser. D'ailleurs, elle en a la confirmation, en entendant en larmes derrière une porte : Moi épouser Violetta ? non ...
Mme de Pierrefeu joue un jeu dangereux. Après avoir tenté en vain de compromettre l'impératrice, elle complote un attentat pour tuer la souveraine lors de son prochain déplacement
Elle en est puni puisqu'elle est tuée par un complice qui ne veut laisser aucun témoin ; mais Violetta a tout vu et elle prend la place de sa bienfaitrice. C'est elle qui ira vers la mort.
L'attentat a lieu ; Violetta est très gravement blesssée. Juan rongé de remords réalise combien son amour pour la jeune fille est profond.
Les amoureux se retrouvent en Espagne et l'histoire se termine par un mariage dans la plus pure tradition des Contes de fées.
Ce film a rencontré un très grand succès à sa sortie ; les airs passaient en boucle à la radio, Luis Mariano et Carmen Sevilla faisaient la une des tabloïds qui les fiançaient en attendant de les marier. Le mariage n'aura lieu que dans le film mais les deux artistes resteront liés par une solide amitié.
Donatienne Roby, Novembre 2017
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