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Hubert Lassiat avec les lunettes
Maximilian Schell et Melina Mercouri
Maximilian Schell et Melina Mercouri
Maximilian Schell et Melina Mercouri
Petar Martinovitch et Toni Morena les policiers
Robert Morley et Maximilian Schell
Execution Sur le toit du musee
Melina Mercouri (v.f. sa propre voix) Elisabeth Lipp Peter Ustinov (v.f. sa propre voix) Arthur Simpson Maximilian Schell (v.f. voix de Howard Vernon) Walter Harper Robert Morley (v.f. voix de Duncan Elliott) Cedric Page Jess Hahn Hans Fischer Gilles Segal Giulio Akim Tamiroff Goven, le cuisinier Titos Wandis (= Titos Vandis) (v.f. voix de Henri Djanick) l'agent de la sûreté turc balafré Ege Ernart le commandant turc Ali Tufan Senih Orkan le 1er suiveur turc de Simpson Ahmet Danyal Topatan le 2d suiveur turc de Simpson Joe Dassin (v.f. sa propre voix) Joseph Despo Diamantidou Goula, la complice de Simpson Lucien Desagneaux l’homme avec Walter sur le pont à Paris (non crédité) Petar Martinovitch un policier turc (non crédité) Toni Morena un policier turc (non crédité) Selahattin Içsel un joueur de tavla à l’hôtel Hilton (non crédité) Faik Coskun un joueur de tavla à l’hôtel Hilton (non crédité) Jules Dassin le policier turc qui demande les papiers de voiture à Page (non crédité) Julie Dassin la policière qui se fait photographier à la fête (non crédité) Gilbert Servien un visiteur du musée (non crédité) André Tomasi le gardien du phare (non crédité) Albert Michel un gardien de nuit du musée (non crédité) Marc Arian le 1er policier turc qui contrôle la fête (non crédité) Hubert Lassiat un détenu (non crédité) Jean Blancheur un détenu (non crédité)
Distributeur : United Artists
Scénario et découpage : Mona Danischewsky
d’après le roman de Eric Ambler ‘’The light of the day’’ (‘’Lumière du jour’’)
Directeur de la photographie : Henri Alekan
Caméraman : Gilbert Chain
Assistants opérateurs : Max Lechevallier, René Chabal
Photographie seconde unité : Raymond Picon-Borel, Philippe Brun
Musique : Manos Hadjidakis
Décors : Max Douy
Assistant décorateur : Jacques Douy
Montage : Roger Dwyre
Assistants monteurs : Johnny Dwyre, Danielle Grimberg, Patrick Clément-Bayard
Ingénieur du son : William Robert Sivel
Assistant réalisateur : Tom Pevsner
Seconds assistants : Joseph Dassin, Ali Cakus, Stepan Melikyan
Script-girl : Lucie Lichtig
Ensemblier : André Labussière
Photographe : Roger Corbeau
Costumes : Denny Vachlioti
Maquillage : Amato Garbini
Directeur de production : André Cultet
assisté de Claude Hauser
Producteur associé : Roger Dwyre
Produit par Jules Dassin
Une production Filmways
Studios : Studios de Boulogne
Extérieurs : Grèce, Istambul
Couleurs par Technicolor
Enregistrement : Westrex – Recording system
Laboratoires : Franay L.T.C. Saint-Cloud
Trucages et génériques : Jean Fouchet F.L.
Date de sortie à Paris : 04/09/1964 aux cinémas Berlitz et Marignan
Nombre d’entrées à Paris : 484.227
Nombre d’entrées en France : 1.709.281
Note :
- Toutes les sources mentionnent l'apparition de Jules Dassin en policier turc mais il semble que personne n'ait jamais remarqué celle de Julie Dassin dans le rôle de la jeune policière qui se fait photographier à la fête. Il s'agit donc du seul film interprété par les 3 J de la famille Dassin, père, fils et fille.
Résumé : Elisabeth Lipp, une nymphomane voleuse professionnelle décide de dérober le plus précieux joyau du musée Topkapi à Istambul. Elle demande à un de ses amants de l'aider et celui-ci recrute des spécialistes non connus des services de police. Parfaitement préparé et exécuté en prenant de grands risques, le coup réussit magistralement mais c'est sans compter avec l'arrivée inopinée d'un oiseau qui leur vaut d'être tous incarcérés. Malgré tout, Elisabeth pense déjà à une autre opération du même genre ...
Avis : Dans ''Du rififi chez les hommes'', Jules Dassin nous montrait un casse qui est un modèle du genre dans le cadre d'un film noir devenu un grand classique. Avec ''Topkapi'' nous sommes dans une ambiance lumineuse, joyeuse, décontractée, ludique, ce qui n'empêche pas le morceau de bravoure d'être particulièrement ingénieux, soigné et captivant et de provoquer une attention soutenue, un régal. Chaque vision de ce film procure toujours autant de plaisir.
Jean-Pierre Pecqueriaux, Mai 2019