Aucune vidéo à voir ou à télécharger sur ce site dont l'unique objet est de rendre hommage aux comédiens français, le lien Amazon permettant de se procurer légalement les oeuvres que je présente ici uniquement en photo
Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Jean-Louis Trintignant Georges Desvignes Pierre Fresnay Armand Vallin Barbara Lass Ania Michel de Ré Monsieur Tourtet Jean-Paul Roussillon Monsieur Boutin Gérard Darrieu Monsieur Billois Julien Carette Le grand-père Billois Brigitte Barbier Madame Boutin Hubert Deschamps Raymond Dumas, le promoteur immobilier Françoise Fleury Mademoiselle Lebrun, le professeur d'enseignement ménager Maurice Coussonneau Un habitant du Parc de La Faisanderie Françoise Hornez Madame Blot France Asselin Madame Billois Robert Le Fort (comme Lefort) Monsieur Palette Virginie Merlin Mina André Dino Monsieur Gerbois, un conseiller municipal Micheline Gary Madame Tourtet (non créditée) Gérard Hernandez Pablo, un ouvrier espagnol (non crédité) Jean-Paul Moulinot Monsieur Achard, le PDG de la société immobilière (non crédité) Michèle Méritz Une habitante du Parc de La Faisanderie (non créditée) Pierre Duncan Un déménageur Chatelard (non crédité) Lucien Barjon Un employé du service de l'hygiène (non crédité) Antoine Marin Arthur Verge, l'huissier de justice (non crédité) Marc Arian Un employé du service de l'hygiène et un badaud (non crédité) Louis Lalanne Un ouvrier espagnol (non crédité) André Badin Un client au BAR-TABAC et à la crémerie Billois (non crédité) Robert Deslandes Un agent de police (non crédité) Marius Gaidon Un agent de police (non crédité) Lucienne Marchand Germaine Palette (selon Télé 7 Jours)
Document sans nom
Distributeur : Gaumont
Une co-production Ulysse Productions et les Films Saint-James
Visa de contrôle cinématographique n°22.532
Scénario de Jacques Lanzmann, Robert Ménégoz et Pierre Roustang
Dialogues de Jacques Lanzmann
Adaptation de Robert Ménégoz et Jean Chapot
Directeur de la photographie : Jean Penzer
Cameraman : Pierre Goupil
1er assistant opérateur : Alain Levent
Assistants réalisateurs : Pierre Cosson et Jean Chapot
Décors : Georges Lévy
Ingénieur du son : Jean Labussière
Musique : Marcel Landowski
Monteuse : Ginette Boudet
Assistante monteuse : Claire Giniewski
Enregistrement Radio-Cinéma
Système sonore Western
Pellicule Gevaert
Laboratoires C.T.M. (Gennevilliers)
Script-girl : Marie-José Kling
Studios : Paris Studio Cinéma
Extérieurs : Fresnes (voir ci-dessous)
Régisseur général : André Hoss
Directeur de production : Jules Desurmont
Producteur délégué : Pierre Roustang
Filmé en noir et blanc
Durée : 86 minutes
Date de sortie à Paris : 27/05/60
Nombre d'entrées en France : 395 422
Résumé: En 1959, en pleine période du relogement des banlieues parisiennes à Paris, une société immobilière s'empare de la commune de Carrière-sous-Bois et commence la construction de plusieurs immeubles. Le chantier débute et les bâtiments sortent de terre. Le projet s'exécute rapidement et les locataires, satisfaits, s'installent dans leurs nouveaux appartements. Il faut dire que le Parc de la Faisanderie, la 'ville nouvelle' en question, offre de nombreux avantages : une exposition au soleil idéale, un train pour Paris tous les 1/4 d'heures, des commerces de proximité et même un centre social qui regroupe la garderie et le centre d'enseignement ménager... que demander de mieux ? (scène d'anthologie avec Hubert Deschamps en promoteur immobilier).
Seulement, le travail de finition s'éternise et les habitants de la Faisanderie commencent à se plaindre. La cause de ce retard ? Armand Vallin, un sexagénaire qui a toujours vécu dans la commune et qui s'obstine à sauvegarder le peu de terrain qu'il lui reste. Bien sûr, les menaces sont courantes et la cohabitation est très difficile. Il passe devant les assises mais gagne le procès. Les relations déjà très mauvaises entres les nouveaux maîtres des lieux et le vieil homme enraciné deviennent encore plus redoutables. Les commerçants lui coupent les vivres et les enfants de la cité bombardent des projectiles de toutes sortes dans son jardin. Mais le vieux ne cède toujours pas et va jusqu'à sympathiser avec les ouvriers espagnols qui travaillent sur le chantier de la Faisanderie. Il faut attendre la venue du Service d'Hygiène pour que l'avenir du petit pavillon soit définitivement menacé. Pendant la phase d'expropriation, Armand Vallin décide d'enquêter sur les institutions qui le chassent sans scrupules et découvre que le promoteur immobilier chargé du projet menait un double jeu.
Notes:
-Guy Bedos qui est cité sur plusieurs cites n'apparait malheureusement pas dans le film.
-Robert Ménégoz, grand résistant français, signe avec 'La Millième fenêtre' son troisième long-métrage. Il a réalisé plusieurs courts-métrages mais sa filmographie semble être restée un peu inaperçue.
-Le chantier de la Résidence du Clos-la-Garenne à Fresnes servit de décor au film. Le gros oeuvre de ces grandes barres d'immeubles fut terminé fin 1958. Le premier locataire s'installe le 1er décembre de la même année. Ainsi, dans le film, on s'aperçoit que la plupart des figurants ne sont autres que les habitants de la Résidence. (source Mairie de Fresnes)
-Il reste à identifier l'identité exacte de Lucienne Marchand.
Dans la même lignée que 'Terrain Vague' de Marcel Carné en 1960, 'La Millième fenêtre' dresse un tableau intéressant de la vie des cités parisiennes de l'époque. Le film expose une série de profils très originaux des locataires de ces grandes tours de béton.
Une contestation intelligente avec des dialogues efficaces et virulents.
Mathieu Delannoy, Juillet 2020
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Andre Dino aux lunettes noires
Brigitte Barbier et JP Roussillon
Jean-Louis Trintignant Georges Desvignes Pierre Fresnay Armand Vallin Barbara Lass Ania Michel de Ré Monsieur Tourtet Jean-Paul Roussillon Monsieur Boutin Gérard Darrieu Monsieur Billois Julien Carette Le grand-père Billois Brigitte Barbier Madame Boutin Hubert Deschamps Raymond Dumas, le promoteur immobilier Françoise Fleury Mademoiselle Lebrun, le professeur d'enseignement ménager Maurice Coussonneau Un habitant du Parc de La Faisanderie Françoise Hornez Madame Blot France Asselin Madame Billois Robert Le Fort (comme Lefort) Monsieur Palette Virginie Merlin Mina André Dino Monsieur Gerbois, un conseiller municipal Micheline Gary Madame Tourtet (non créditée) Gérard Hernandez Pablo, un ouvrier espagnol (non crédité) Jean-Paul Moulinot Monsieur Achard, le PDG de la société immobilière (non crédité) Michèle Méritz Une habitante du Parc de La Faisanderie (non créditée) Pierre Duncan Un déménageur Chatelard (non crédité) Lucien Barjon Un employé du service de l'hygiène (non crédité) Antoine Marin Arthur Verge, l'huissier de justice (non crédité) Marc Arian Un employé du service de l'hygiène et un badaud (non crédité) Louis Lalanne Un ouvrier espagnol (non crédité) André Badin Un client au BAR-TABAC et à la crémerie Billois (non crédité) Robert Deslandes Un agent de police (non crédité) Marius Gaidon Un agent de police (non crédité) Lucienne Marchand Germaine Palette (selon Télé 7 Jours)
Distributeur : Gaumont
Une co-production Ulysse Productions et les Films Saint-James
Visa de contrôle cinématographique n°22.532
Scénario de Jacques Lanzmann, Robert Ménégoz et Pierre Roustang
Dialogues de Jacques Lanzmann
Adaptation de Robert Ménégoz et Jean Chapot
Directeur de la photographie : Jean Penzer
Cameraman : Pierre Goupil
1er assistant opérateur : Alain Levent
Assistants réalisateurs : Pierre Cosson et Jean Chapot
Décors : Georges Lévy
Ingénieur du son : Jean Labussière
Musique : Marcel Landowski
Monteuse : Ginette Boudet
Assistante monteuse : Claire Giniewski
Enregistrement Radio-Cinéma
Système sonore Western
Pellicule Gevaert
Laboratoires C.T.M. (Gennevilliers)
Script-girl : Marie-José Kling
Studios : Paris Studio Cinéma
Extérieurs : Fresnes (voir ci-dessous)
Régisseur général : André Hoss
Directeur de production : Jules Desurmont
Producteur délégué : Pierre Roustang
Filmé en noir et blanc
Durée : 86 minutes
Date de sortie à Paris : 27/05/60
Nombre d'entrées en France : 395 422
Résumé: En 1959, en pleine période du relogement des banlieues parisiennes à Paris, une société immobilière s'empare de la commune de Carrière-sous-Bois et commence la construction de plusieurs immeubles. Le chantier débute et les bâtiments sortent de terre. Le projet s'exécute rapidement et les locataires, satisfaits, s'installent dans leurs nouveaux appartements. Il faut dire que le Parc de la Faisanderie, la 'ville nouvelle' en question, offre de nombreux avantages : une exposition au soleil idéale, un train pour Paris tous les 1/4 d'heures, des commerces de proximité et même un centre social qui regroupe la garderie et le centre d'enseignement ménager... que demander de mieux ? (scène d'anthologie avec Hubert Deschamps en promoteur immobilier).
Seulement, le travail de finition s'éternise et les habitants de la Faisanderie commencent à se plaindre. La cause de ce retard ? Armand Vallin, un sexagénaire qui a toujours vécu dans la commune et qui s'obstine à sauvegarder le peu de terrain qu'il lui reste. Bien sûr, les menaces sont courantes et la cohabitation est très difficile. Il passe devant les assises mais gagne le procès. Les relations déjà très mauvaises entres les nouveaux maîtres des lieux et le vieil homme enraciné deviennent encore plus redoutables. Les commerçants lui coupent les vivres et les enfants de la cité bombardent des projectiles de toutes sortes dans son jardin. Mais le vieux ne cède toujours pas et va jusqu'à sympathiser avec les ouvriers espagnols qui travaillent sur le chantier de la Faisanderie. Il faut attendre la venue du Service d'Hygiène pour que l'avenir du petit pavillon soit définitivement menacé. Pendant la phase d'expropriation, Armand Vallin décide d'enquêter sur les institutions qui le chassent sans scrupules et découvre que le promoteur immobilier chargé du projet menait un double jeu.
Notes:
-Guy Bedos qui est cité sur plusieurs cites n'apparait malheureusement pas dans le film.
-Robert Ménégoz, grand résistant français, signe avec 'La Millième fenêtre' son troisième long-métrage. Il a réalisé plusieurs courts-métrages mais sa filmographie semble être restée un peu inaperçue.
-Le chantier de la Résidence du Clos-la-Garenne à Fresnes servit de décor au film. Le gros oeuvre de ces grandes barres d'immeubles fut terminé fin 1958. Le premier locataire s'installe le 1er décembre de la même année. Ainsi, dans le film, on s'aperçoit que la plupart des figurants ne sont autres que les habitants de la Résidence. (source Mairie de Fresnes)
-Il reste à identifier l'identité exacte de Lucienne Marchand.
Dans la même lignée que 'Terrain Vague' de Marcel Carné en 1960, 'La Millième fenêtre' dresse un tableau intéressant de la vie des cités parisiennes de l'époque. Le film expose une série de profils très originaux des locataires de ces grandes tours de béton.
Une contestation intelligente avec des dialogues efficaces et virulents.
Mathieu Delannoy, Juillet 2020
Vous pouvez déposer un commentaire :