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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Lino VENTURA Albert Fourbieux Eva BARTOK Barbara Hannes MESSEMER Serge Laurent TERZIEFF Kopetsky Gert FROEBE le photographe Blanche Suzy PRIM Mme César Guy TREJAN Armand, le gendarme Lucien RAIMBOURG M.César Gil VIDAL Maurice de Tercy Ginette PIGEON Lucette, sa fiancée René WORMS le notaire Annick ALLIERES la bonne de M. César Fernand BERCHER M. de Tercy Lucien CALLAMAND le parrain de Lucette Paul BISCIGLIA Octave, l'amant de Mme César
Document sans nom
Réalisé en 1958 par le cinéaste hongrois Geza Radvanyi, "Douze heures d'horloge" est l'adaptation par Jean-Louis Roncoroni d'une pièce radiophonique, "La Belle", écrite par le fameux duo Pierre Boileau - Thomas Narcejac. C'est le comédien René Lefèvre qui signa les dialogues. Le directeur de la photographie est Henri Alekan et la musique est signée... Léo Ferré !
Douze heures d'horloge, c'est la durée de l'action du film, à savoir le temps qui reste à trois détenus évadés de prison au matin du 14 juillet avant de s'embarquer clandestinement dans un petit port du midi et quitter la France. L'un des évadés, Kopetsky, est blessé ; il charge ses deux complices, Serge et Albert, de retrouver Barbara, la femme qu'il aime et à qui il a confié la somme nécessaire à payer les faux papiers qui faciliteront leur départ. Serge retrouve Barbara mais celle-ci lui avoue qu'elle n'aime plus Kopetsky et ne partira pas avec eux ; de plus, son patron, Blanche, photographe et maître-chanteur, lui a volé l'argent de Kopetsky afin de la garder près de lui. Serge tombe amoureux de Barbara. Albert, de son côté, se rend chez Madame César, la patronne d'un café, qui doit fournir les faux papiers. Armand, un gendarme malheureux en amour, se prend d'amitié pour Albert et ne le lâche plus, ce qui ne va pas faciliter l'évasion !
Comme on s'en doute, l'histoire ne se conclura pas par un "happy end"... Le film a été produit par la comédienne Suzy Prim par le biais de sa société Estela Films ; c'est aussi son dernier rôle conséquent à l'écran où on ne la reverra que trois fois, sa dernière scène étant face à Jean-Paul Belmondo dans "Le corps de mon ennemi" en 1976 ; ici, à soixante ans passés, elle affiche encore un beau tempérament puisqu'on la voit mettre dans son lit tous les jeunes gens qui passent, à commencer par Lino Ventura !
Jean-Paul Briant, avril 2020
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Annick Allieres et Lino Ventura
Ventura avec Suzy Prim et Guy Trejan
Lino VENTURA Albert Fourbieux Eva BARTOK Barbara Hannes MESSEMER Serge Laurent TERZIEFF Kopetsky Gert FROEBE le photographe Blanche Suzy PRIM Mme César Guy TREJAN Armand, le gendarme Lucien RAIMBOURG M.César Gil VIDAL Maurice de Tercy Ginette PIGEON Lucette, sa fiancée René WORMS le notaire Annick ALLIERES la bonne de M. César Fernand BERCHER M. de Tercy Lucien CALLAMAND le parrain de Lucette Paul BISCIGLIA Octave, l'amant de Mme César
Réalisé en 1958 par le cinéaste hongrois Geza Radvanyi, "Douze heures d'horloge" est l'adaptation par Jean-Louis Roncoroni d'une pièce radiophonique, "La Belle", écrite par le fameux duo Pierre Boileau - Thomas Narcejac. C'est le comédien René Lefèvre qui signa les dialogues. Le directeur de la photographie est Henri Alekan et la musique est signée... Léo Ferré !
Douze heures d'horloge, c'est la durée de l'action du film, à savoir le temps qui reste à trois détenus évadés de prison au matin du 14 juillet avant de s'embarquer clandestinement dans un petit port du midi et quitter la France. L'un des évadés, Kopetsky, est blessé ; il charge ses deux complices, Serge et Albert, de retrouver Barbara, la femme qu'il aime et à qui il a confié la somme nécessaire à payer les faux papiers qui faciliteront leur départ. Serge retrouve Barbara mais celle-ci lui avoue qu'elle n'aime plus Kopetsky et ne partira pas avec eux ; de plus, son patron, Blanche, photographe et maître-chanteur, lui a volé l'argent de Kopetsky afin de la garder près de lui. Serge tombe amoureux de Barbara. Albert, de son côté, se rend chez Madame César, la patronne d'un café, qui doit fournir les faux papiers. Armand, un gendarme malheureux en amour, se prend d'amitié pour Albert et ne le lâche plus, ce qui ne va pas faciliter l'évasion !
Comme on s'en doute, l'histoire ne se conclura pas par un "happy end"... Le film a été produit par la comédienne Suzy Prim par le biais de sa société Estela Films ; c'est aussi son dernier rôle conséquent à l'écran où on ne la reverra que trois fois, sa dernière scène étant face à Jean-Paul Belmondo dans "Le corps de mon ennemi" en 1976 ; ici, à soixante ans passés, elle affiche encore un beau tempérament puisqu'on la voit mettre dans son lit tous les jeunes gens qui passent, à commencer par Lino Ventura !
Jean-Paul Briant, avril 2020
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