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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Louis Jouvet Itchoua, le chef des contrebandiers Paul Cambo Line Noro Franchita, sa mère Gabrielle Fontan Pilar sa vieille nourrice Madeleine Ozeray Gracieuse, amoureuse de Ramuntcho Françoise Rosay Dolorès sa mère Jacques Erwin Arrochkoa son frère Odile Rameau Pantchika, fiancée d'Arrochkoa Raymone La voisine de Dolorès René Génin Le curé Nino Constantini Le brigadier, rival amoureux de Ramuntcho Jean Brochard BourlinguetJean Temerson L'aubergiste Blanche Denège La mère supérieure du couvent Suzanne Nivette Une soeur Michèle Alfa Une soeur Georges Saillard Le capitaine à Saïgon LuangVan-Yen Un vietnamien Jean Heuzé Un officier Paul Dutourrier Un contrebandier Luis Mariano Un chanteur (à confirmer - non repéré)
Document sans nom
« Ramuntcho » c’est avant tout le titre d’un des plus célèbres romans de Pierre Loti, avec « Pêcheurs d’Islande ». Cette fois c’est le Pays Basque qui est honoré, car l’auteur vouait un attachement certain à cette belle région . C’est aussi le nom du personnage principal, Ramuntcho, le séduisant jeune contrebandier qui tombe fou amoureux de Gracieuse, une des plus jolies filles du village.
Cette histoire aura inspiré les cinéastes à plusieurs reprises :
La version de Jacques de Baroncelli en 1919 (cinéma muet) ; un court métrage de 30 minutes avec René Lorsay dans le rôle -titre.
Celle que nous évoquons sortie en 1938, réalisée par René Barberis.
Et enfin celle de Pierre Schloendoerffer en 1959, avec François Guérin dans le rôle-titre.
Le film « le mariage de Ramuntcho » - 1947 de Max de Vaucorbeil, n’est pas une adaptation du roman de Pierre Loti.
Revenons à l’intrigue :
Hélas, rien n’est facile pour les amoureux : Dolorès (Françoise Rosay), la mère de Gracieuse (Madeleine Ozeray), refuse absolument cette union. De vieilles rancoeurs reviennent qui datent de longtemps entre elle et Francheta,(Line Noro) la mère de Ramuntcho (Paul Cambo). Il faut dire aussi que ce dernier, tout comme les autres jeunes du village se livre à la contrebande (chevaux, alcools, cigarettes) sous les ordres d’Itchoua, le chef, (Louis Jouvet); Dolorès ne veut pas d’un tel gendre et tient à ce que sa fille épouse le jeune brigadier, gardien de la loi (Nino Constantini).
Les jeunes sont désespérés d’autant que malgré toutes les précautions, les contrebandiers ont failli se faire prendre. Le brigadier veut arrêter Ramuntcho… Itchoua mesure le danger pour son jeune ami et lui conseille de s’engager… « Pars loin ! » Ce sera l’Indochine. Gracieuse, désespérée, se retire dans un couvent pour attendre son amoureux ; elle ne reçoit aucune lettre. On découvre que la Mère Supérieure (Blanche Denège) intercepte tout courrier émanant de Ramuntcho, sur ordre de Dolorès. Découragée, la jeune fille envisage de prendre le voile définitivement et se réfugie dans la prière.
Ramuntcho revient au pays pour recevoir le dernier soupir de sa mère. Il décide d’aller voir Gracieuse au couvent et la découvre en prière, avec l’habit de religieuse. Des idées folles passent dans sa tête ! Pourquoi ne pas l’enlever et l’emmener vers d’autres cieux ? Mais voyant la piété de Gracieuse, devenue Soeur Angélique, il renonce, envisageant de commencer une autre vie ailleurs.
Si le film s’arrêtait ici, il respecterait le roman de Pierre Loti.
Pour une raison qui nous est inconnue, la production ou les scénaristes ont souhaité une happy-end un peu tirée par les cheveux.
Gracieuse, après avoir vu Ramuntcho, est tellement troublée qu’elle a un grave malaise. La mère Supérieure et les sœurs prennent enfin conscience que Gracieuse aime toujours Ramuntcho. Arrochkoa (Jacques Erwin) va chercher sa sœur et la ramène vers son amoureux…
Donatienne Roby, Mars 2023
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Jean Temerson et Jean Brochard
Louis Jouvet Itchoua, le chef des contrebandiers Paul Cambo Line Noro Franchita, sa mère Gabrielle Fontan Pilar sa vieille nourrice Madeleine Ozeray Gracieuse, amoureuse de Ramuntcho Françoise Rosay Dolorès sa mère Jacques Erwin Arrochkoa son frère Odile Rameau Pantchika, fiancée d'Arrochkoa Raymone La voisine de Dolorès René Génin Le curé Nino Constantini Le brigadier, rival amoureux de Ramuntcho Jean Brochard BourlinguetJean Temerson L'aubergiste Blanche Denège La mère supérieure du couvent Suzanne Nivette Une soeur Michèle Alfa Une soeur Georges Saillard Le capitaine à Saïgon LuangVan-Yen Un vietnamien Jean Heuzé Un officier Paul Dutourrier Un contrebandier Luis Mariano Un chanteur (à confirmer - non repéré)
« Ramuntcho » c’est avant tout le titre d’un des plus célèbres romans de Pierre Loti, avec « Pêcheurs d’Islande ». Cette fois c’est le Pays Basque qui est honoré, car l’auteur vouait un attachement certain à cette belle région . C’est aussi le nom du personnage principal, Ramuntcho, le séduisant jeune contrebandier qui tombe fou amoureux de Gracieuse, une des plus jolies filles du village.
Cette histoire aura inspiré les cinéastes à plusieurs reprises :
La version de Jacques de Baroncelli en 1919 (cinéma muet) ; un court métrage de 30 minutes avec René Lorsay dans le rôle -titre.
Celle que nous évoquons sortie en 1938, réalisée par René Barberis.
Et enfin celle de Pierre Schloendoerffer en 1959, avec François Guérin dans le rôle-titre.
Le film « le mariage de Ramuntcho » - 1947 de Max de Vaucorbeil, n’est pas une adaptation du roman de Pierre Loti.
Revenons à l’intrigue :
Hélas, rien n’est facile pour les amoureux : Dolorès (Françoise Rosay), la mère de Gracieuse (Madeleine Ozeray), refuse absolument cette union. De vieilles rancoeurs reviennent qui datent de longtemps entre elle et Francheta,(Line Noro) la mère de Ramuntcho (Paul Cambo). Il faut dire aussi que ce dernier, tout comme les autres jeunes du village se livre à la contrebande (chevaux, alcools, cigarettes) sous les ordres d’Itchoua, le chef, (Louis Jouvet); Dolorès ne veut pas d’un tel gendre et tient à ce que sa fille épouse le jeune brigadier, gardien de la loi (Nino Constantini).
Les jeunes sont désespérés d’autant que malgré toutes les précautions, les contrebandiers ont failli se faire prendre. Le brigadier veut arrêter Ramuntcho… Itchoua mesure le danger pour son jeune ami et lui conseille de s’engager… « Pars loin ! » Ce sera l’Indochine. Gracieuse, désespérée, se retire dans un couvent pour attendre son amoureux ; elle ne reçoit aucune lettre. On découvre que la Mère Supérieure (Blanche Denège) intercepte tout courrier émanant de Ramuntcho, sur ordre de Dolorès. Découragée, la jeune fille envisage de prendre le voile définitivement et se réfugie dans la prière.
Ramuntcho revient au pays pour recevoir le dernier soupir de sa mère. Il décide d’aller voir Gracieuse au couvent et la découvre en prière, avec l’habit de religieuse. Des idées folles passent dans sa tête ! Pourquoi ne pas l’enlever et l’emmener vers d’autres cieux ? Mais voyant la piété de Gracieuse, devenue Soeur Angélique, il renonce, envisageant de commencer une autre vie ailleurs.
Si le film s’arrêtait ici, il respecterait le roman de Pierre Loti.
Pour une raison qui nous est inconnue, la production ou les scénaristes ont souhaité une happy-end un peu tirée par les cheveux.
Gracieuse, après avoir vu Ramuntcho, est tellement troublée qu’elle a un grave malaise. La mère Supérieure et les sœurs prennent enfin conscience que Gracieuse aime toujours Ramuntcho. Arrochkoa (Jacques Erwin) va chercher sa sœur et la ramène vers son amoureux…
Donatienne Roby, Mars 2023
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