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Babita Soren et Claude Dauphin
Janine Darcey et Claude Dauphin
Andre Brunot Madeleine Geoffroy et Louis Jouvet
Anita Daene et Sanda Dancovici ou inverse 1er rang
Madeleine Lambert et Odette Joyeux
Roland Pietri et Denise Berley
X1 Soeur de Louise Made Siame et Helene Dassonville
Claude Dauphin François Polti Janine Darcey Isabelle Didier Odette Joyeux Coecilia Prieur Louis Jouvet Lambertin André Brunot M. Grenaison Madeleine Geoffroy Fernande Grenaison Mady Made Denise Marcel Dalio le juge d'instruction Julien Carette Lurette Roger Blin Dominique Sylvie Clémence Madeleine Lambert Élisabeth Prieur Babita Sauren Nora Storm Yves Brainville Sylvestre Michel Vitold Gabriel Nina Sinclair Gisèle, une élève Gaby Andreu Mireille, une élève Hélène Dassonville Louise, une élève Paula Dehelly Micheline, une élève Denise Berley Séverine, une élève Anita Daene une élève Sanda Dancovici une élève Bernard Blier Pescani, un élève André Roussin Giflard, un élève Roland Piétri un élève Dennery un élève Paul Escoffier le directeur du conservatoire Robert Pizani Jérôme, un professeur Odette Talazac un professeur Robert Moor Albert, le concierge Henri Busquet l'appariteur Georges Pally Marty, le patron du café Noël Roquevert Pignolet Marcel Lupovici un candidat tragédien Made Siamé la mère de Louise Gabrielle Fontan une mère provinciale Marcelle Monthil la chaisière du parc Albert Broquin le crieur de journaux Titys l'huissier du juge Paul Delauzac un ami d'Élisabeth
Isabelle vit chez son oncle et sa tante et travaille dans la blanchisserie familiale. A l'insu de ceux-ci, elle réussit le concours d'entrée au conservatoire d'art dramatique. Son oncle, qui tente de contrarier cette vocation est vigoureusement remis à sa place par Lambertin, le professeur de la jeune fille. Une idylle se noue entre Isabelle et François, contrariée par la jalousie de Coecilia, une autre éléve, elle aussi amoureuse du jeune homme.
SCENARIO André Cayatte et Henri Jeanson ; IMAGE Christian Matras et Robert Juillard ; MONTAGE Yvonne Martin ; DECORS Alexandre Trauner et Jacques Krauss ; MUSIQUE Georges Auric ;
« L'amour du théâtre et l'enthousiasme des apprentis comédiens baignent ce film, où les relations amoureuses entre les jeunes protagonistes sont moins fortes que le regard quasi documentaire sur l'ambiance et les rites du conservatoire. Les leçons données par Louis Jouvet sont très proches de ce qu'elles étaient dans la réalité, et le grand acteur se plaît à déclamer les dialogues acérés d'Henri Jeanson dans quelques scènes savoureuses comme la fameuse visite à la blanchisserie, qui reste un morceau d'anthologie. » - Gérard Lenne, Dictionnaire mondial des films, Larousse, 1991
« Dans ce film célèbre se côtoient le meilleur et le pire. Le pire, ce sont les intrigues sentimentales conventionnelles et ennuyeuses vécues par les personnages, le côté « Musset raté » du scénario. On notera quand même la spontanéité touchante de Janine Darcey, bien dirigée par Allégret. Le meilleur, c'est l'exposé assez précis du travail effectué par ces apprentis comédiens et la présence de Jouvet en professeur d'art dramatique. On le voit donnant son cours et siégeant au concours de fin d'année. dans ces séquences-là, le film communique une impression de réalisme absolu. (...) son rôle tout entier fascine par un aspect proprement documentaire. » - Jacques Lourcelle, Dictionnaire du cinéma : les films, coll. Bouquins, 1992
"Un festival d'acteurs dans leurs tout premiers rôles !" BDFF, 2015