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Alain Nobis et Charles Audisio
Charles Dubois perche a gauche
Frank Sutart de profil au centre
Georges Dupuis croix jaune Gaston Meunier croix verte
Hubert de Lapparent et Jacques François
Jean Philippe Puymartin et Jean Pierre Riviere
Maurice Ronet et Jacques Francois
Veronique Delbourg et Jean Philippe Puymartin
Maurice Ronet Le général Georges Boulanger Christiane Minazzoli La duchesse Marie d’Uzès Maurice Biraud Arthur Dillon Philippe Clay Paul Déroulède Jean-Claude Bouillon Georges Laguerre Hubert de Lapparent Alfred Naquet Alix de Konopka Marguerite de Bonnemains Jacques François Henri Rochefort Dominique Briand Douglas Hamilton Raoul Curet Ernest Constans Véronique Delbourg Emilienne d’Alençon Valérie Dréville La femme de chambre Jean-Yves Gautier René de Passagrain Fernand Guiot Arthur Meyer Jacqueline Jehanneuf Mme de la Trémoille François Lalande Le commissaire Clément Pierre Nègre Cassagnac Alain Nobis Le chef cuisinier Jean-Philippe Puymartin Jacques d’Uzès Paul Bisciglia Un maître d’hôtel au ‘’Café Durand’’ Arnaud Boisseau Le 1er groom Cyril Brisse Casimir, un jeune marmiton André Chazel Un membre du parti socialiste au ‘’Café Durand’’ Charles Dubois Un partisan du boulangisme perché sur l’arbre Marius Gaidon Un maître d’hôtel au ‘’Café Durand’’ Fabrice Josso Un jeune marmiton dans les cuisines du ‘’Café Durand’’ Jean Le Mouël Un marmiton dans les cuisines du ‘’Café Durand’’ Jean-Pierre Rivière Un maître d’hôtel au ‘’Café Durand’’ Jacques Robiolles Le chef du service d’ordre Henri Viscogliosi Un maître d’hôtel au ‘’Café Durand’’ Raoul Ambiehl Un partisan du boulangisme au ‘’Café Durand’’ Charles Audisio Un marmiton dans les cuisines du ‘’Café Durand’’ Christian Bor « L’Alsacien », un marmiton dans les cuisines du ‘’Café Durand’’ Pierre Françay Un partisan du boulangisme au ‘’Café Durand’’ Albert Lerner Un maître d’hôtel au ‘’Café Durand’’ Roland Malet Un maître d’hôtel au ‘’Café Durand’’ André Pacholski Un partisan du boulangisme au ‘’Café Durand’’ Jacques Pisias Un garde du corps de Boulanger [crédité Firmin Pisias] Robert Renaudin Un maître d’hôtel au ‘’Café Durand’’ Jacques Stéphany Un partisan du boulangisme au ‘’Café Durand’’ Frank Stuart Un partisan du boulangisme au ‘’Café Durand’’ Georges Vasseur Un maître d’hôtel au ‘’Café Durand’’ René Aranda Un partisan du boulangisme au ‘’Café Durand’’ (non crédité) Georges Dupuis Un partisan du boulangisme au ‘’Café Durand’’ (non crédité) Gaston Meunier Un partisan du boulangisme au ‘’Café Durand’’ (non crédité) Jo Charrier Un partisan du boulangisme au ‘’Café Durand’’ (non crédité) Étienne Jaumillot Un membre du parti bonapartiste au ‘’Café Durand’’ (non crédité) Jean-Paul Blonday Un membre du parti bonapartiste au ‘’Café Durand’’ (non crédité) Alfred Baillou Un marmiton dans les cuisines du ‘’Café Durand’’ (non crédité) Jean-Jacques Merle Un partisan du boulangisme au ‘’Café Durand’’ (non crédité) Claude Valmont Un partisan du boulangisme au ‘’Café Durand’’ (non crédité)
France, 1981 [TV]
Réalisation : Hervé Bromberger
Scénario et dialogues : Frédéric Grendel et Hervé Bromberger
Directeur de la photographie : Michel Carré
Cameramen : Jean-Bernard Aurouet
Ingénieurs du son : Jean-Claude Piron et Alain Villeval
Illustration sonore : Betty Willemetz
Musique additionnelle : "En revenant d'la revue" interprété par Georgius
Montage : Martine Lebon et Marguerite Gregorz
Mixage : Henri Guillossou
Décors : Émile Ghigo
Accessoiristes : Bertrand Pineau et Jacques Kalkotourian
Assistants réalisateurs : Sébastien Grall et Frédérique Noiret
Script-girl : Marie Saby
Production : T.F.1.
Tournage : en 1981
Durée : 89 minutes
Diffusion : 04/03/1982
Résumé : Le Café Durand bat son plein en cette soirée de janvier 1889. Dans le hall du restaurant, maîtres-d'hôtel, partisans et journalistes fourmillent pour assister aux élections du département de la Seine. Tous sont venus pour supporter Georges Boulanger, général et ministre de la guerre. Dès les premiers résultats, les prévisions sont encourageantes et finalement, c'est la victoire : 244 000 voix pour le boulangisme contre 160 000 pour le parti adverse. Les cris de joie de l'assistance, mêlés aux clameurs de la foule scandent "À l'Élysée !". Encouragé par son état-major à commettre un coup d'État, Boulanger, probablement sous l'influence de sa maîtresse, Marguerite de Bonnemains, qui l'attend dans un salon voisin, décide finalement de suivre la voie plus démocratique des élections législatives. Les badauds amassés sur la Place de la Madeleine, et déçus de la décision de Boulanger, désertent les abords du restaurant. La suite de l'histoire se révèlera bien morose puisque l'opposition profitera de cette baisse de popularité pour discréditer la politique du général. Sous les menaces d'un ordre d'arrestation pour atteinte à l'ordre public, Boulanger s'exilera à Bruxelles où il finira par se donner la mort.
Cette réalisation pour la télévision, signée Hervé Bromberger, nous replonge parfaitement dans l'ambiance enflammée de cette soirée du 27 janvier 1889. Arpentant le Café Durand en long et en large au rythme soutenu des serveurs, nous entrons dans l'intimité de ces salons privés abritant tantôt les amours de Boulanger et de sa maîtresse, tantôt l'attente insupportable des nombreux partisans.
Maurice Ronet, imperturbable, est merveilleux dans son jeu tout en introspection. L'État-major est quant à lui composé d'une distribution de prestige : Philippe Clay, Maurice Biraud, Jacques François et Hubert de Lapparent.
Un coup de chapeau particulier à Alain Nobis en chef cuistot estropié, à la fois émouvant et facétieux. N'oublions pas Christiane Minazzoli, pète-sec, face à la sage Alix de Konopka.
Ajouts : Mathieu Delannoy, Avril 2023