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Antonio Vilar et Karamoko Cisse
Giuliano Gemma Gerard Barray Gil Vidal
Henri Guegan avec la tunique marron
Karamoko Cisse Rafael Albaicins Antonio Vilar
Rico Lopez et Yvan Chiffre a gauche
Anna Karina Shéhérazade, princesse d‘Iskander Gérard Barray Renaud de Villecroix Antonio Vilar (voix de René Arrieu) le calife Haroun-al-Rachid Giuliano Gemma (voix de Jean-Claude Michel) Didier Marilu Tolo Shirin, princesse de Bassorah Fausto Tozzi (voix de Marcel Bozzuffi) Zaccar Gil Vidal Thierry Fernando Rey (voix de Jean-Paul Moulinot) Al-Fahki Joëlle Latour Amira Raphaël Albaicin (= Rafael Albaicin) (voix de Jacques Thébault) le chef de la garde du calife Karamoko Cisse (voix de Med Hondo) Mezrour, le bourreau du calife Maria Calvi (voix de Nelly Benedetti) Djemila, princesse du Caire José Calvo (voix de Georges Atlas) Moulouk, le roi des mendiants Félix Fernandez (voix de Pasquali) le montreur d’ombres chinoises Maria Granada Leïla, la jeune fille mourante dans le désert José Manuel Martin Abdallah Jorge Mistral (voix de Georges Aminel) le grand vizir Barmak Rico Lopez un homme de Zaccar/un homme du calife/un mercenaire d'Abdallah Henri Guégan un soldat franc/un mercenaire d'Abdallah Aldo Sambrell Ahmed, le faux condamné à mort empoisonné Jean-Luc Godard l’acrobate qui marche sur les mains Yvan Chiffre un homme du calife/un soldat franc Antoine Baud un homme du calife Raoul Billerey un homme du calife/un mercenaire d’Abdallah André Cagnard un mercenaire d’Abdallah
Distributeur : CINEDIS
Scénario original et adaptation : Marc Gilbert-Sauvajon et Pierre Gaspard-Huit
Dialogue de Marc Gilbert-Sauvajon
Directeur de la photographie : Christian Matras
Décors et costumes de Georges Wakhevitch
2ème équipe dirigée par Jacques Bourdon
1er assistant réalisateur : Pierre Lary
Assistant réalisateur : Larbi Ben Choukroun
Caméraman : André Domage
Conseiller technique caméra : Bernard Stebich
1er assistant opérateur : Ernest Bourreaud
Décorateur : Raymond Gabutti
Costumière : Jacqueline Moreau
Chef-maquilleuse : Jacky Reynal
Administrateur-comptable : Maurice Otte
Script-girl : Olga Demollière
Secrétaire : Odette Laeupplée
Chorégraphie de Janine Charrat
Conseiller équestre : François Nadal
Maître d’armes : Claude Carliez
Chef-monteuse : Louisette Hautecoeur
Assistante monteuse : Arlette Lalande
Administration : Jean Van Praag et Robert Demollière
Directeurs de production adjoints : Ulrich Picard et Jacqueline Dudilleux
Musique originale de André Hossein
Orchestre dirigé par André Lafosse
Editions musicales : Ricordi
Ingénieur du son : Antoine Petitjean
Perchman : Jacques Bissière
Son : Simo et Studio Geneix
Filmé avec le procédé Superpanorama 70 des laboratoires français
Caméras M.C.S. 70 Modern Cinema Systems
Couleurs par Eastmancolor
Visa de contrôle cinématographique n°26.297
Directeur de la production : Henri Baum
Une co-production franco-hispano-italienne :
Speva Films – Ciné Alliance – Fimsonor – Paris
Tecisa – Madrid
Dear Film Produzione – Rome
Produit par Michel Safra et Serge Silberman
Durée : 118 min.
Date de sortie à Paris : 10/05/1963 aux cinémas Français, Miramar, Moulin-Rouge
Nombre d’entrées à Paris : 234.508
Nombre d’entrées en France : 1.375.848
Titre en Allemagne de l’ouest : Sheherazade - Der goldene Löwe von Bagdad
Date de sortie : 09/08/1963
Titre au Brésil : O Califa de Bagdá
Titre au Canada : Scorching Sands
Titre au Danemark : Flugten fra Bagdad
Date de sortie : 02/12/1963
Titre en Espagne : Scherezade
Date de sortie : 03/06/1963
Titre aux Etats-Unis : Scheherazade
Date de sortie : 12/05/1965
Titre en Grèce : Scheherazade
Titre en Italie : La schiava di Bagdad
Date de sortie : 05/09/1963
Titre au Mexique : Scherazada
Date de sortie : 21/07/1966
Titre en Pologne : Szeherezada
Titre au Portugal : Shéhérazade
Date de sortie : 24/04/1964
Note :
- D’aucuns pourront douter de la présence de Jean-Luc Godard dans le rôle fugitif de l’homme qui marche sur les mains et pourtant c’est bien lui; d’ailleurs, dans un entretien pour la télévision avec Jacques Doniol-Valcroze le 06/01/1965 il en a fait la démonstration éblouissante, révélant même que cette performance acrobatique fut l’objet d’un pari avec Brigitte Bardot lors du tournage du Mépris (extrait de l’émission visible sur le Net).
Résumé : Chargé par l’empereur Charlemagne d’une mission auprès du calife Haroun-al-Rachid, Renaud de Villecroix à la tête d’une troupe de chevaliers et soldats francs sauve la princesse Shéhérazade des griffes de pillards. Immédiatement c’est le coup de foudre entre les 2 jeunes gens mais la princesse devant se présenter devant le calife en vue de devenir éventuellement son épouse, Renaud se doit de la laisser partir. A Bagdad, Shéhérazade passe brillamment les épreuves imposées et c‘est elle qui est choisie. Mais Shirin, une des prétendantes évincées complote avec Barmak, le grand vizir afin de renverser le calife. Elle s’arrange pour que Shéhérazade et Renaud soient surpris ensemble par le calife lequel décide alors de faire exécuter la princesse et intime à Renaud l’ordre de retourner dans son pays. Celui-ci délivre la princesse et part avec elle, ses compagnons désavouant son geste. Après plusieurs jours dans le désert Renaud est mal en point et les différents villages refusant de leur porter secours, Shéhérazade n’a d’autre ressource que de revenir à Bagdad. Renaud est soigné et une fois rétabli il se résigne à repartir pour la France. Barmak, aidé par des mercenaires donne l’assaut au palais, le calife et Shéhérazade parviennent à s’enfuir mais la princesse est capturée. Réussissant à s’échapper elle rencontre Renaud et sa troupe. Alors que le calife est sur le point de succomber, les francs arrivent en renfort, l’ennemi est vaincu et Barmak éliminé. Mortellement blessé et constatant que l’amour qui lie les 2 amants est plus fort que tout, le calife décide de leur accorder la liberté.
Jean-Pierre Pecqueriaux
Décembre 2018