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05 - Marie France Pisier blonde
07 - Marie France Pisier brune
08 - Robert Hossein et Lila Kedrova
10 - Robert Hossein et Paul Preboist
18 - Marie France Pisier blonde
19 - Marquand Dutoit Jacquin Jr Zardi Attal
22 - Jean Lefebvre et Robert Dalban
24 - Simon Andreu touche a mort
25 - Les gangsters sont coinces et abattus
Robert Hossein Massa Marie-France Pisier Maria et la blonde qui ressemble à Maria Simon Andreu Luciano Jean Lefèbvre Tony Robert Dalban Albert André Toscano ‘’Flipper’’ Maurice Jacquin (= Maurice Jacquin Jr) l’homme qui suit Massa Roger Carel le patron du café Paul Préboist le coiffeur Serge Marquand le bras droit du ‘’Vieux’’ Willy Braque un homme de main du ‘’Vieux’’ Henri Attal un homme de main du ‘’Vieux’’ Dominique Zardi un homme de main du ‘’Vieux’’ Stivie Danik la strip-teaseuse Natacha Koumianou Stella Harari, la danseuse orientale du cabaret ‘’El Borracho’’ Sherry Young la danseuse noire à la soirée privée Lila Kedrova la mère Massa Roger Dutoit ‘’Le Vieux’’ Arlette Méry Gaby Jean Combal l'un des inspecteurs qui arrêtent Massa (non crédité)
Distributeur : COMACICO
Scénario et adaptation : Robert Hossein, Louis Martin, Claude Desailly
Dialogues : Georges et André Tabet
Directeur de la photographie : Jean Boffety
1er assistant opérateur : Christian Guillouet
2ème assistant opérateur : Jacques Lefrançois
Caméraman : Didier Tarot
Décors de François de Lamothe
Montage : Marie-Sophie Dubus
Assistante monteuse : Andrée Davanture
Musique originale : André Hossein
Chef d’orchestre : André Lafosse
Editions musicales Robert Salvet
Ingénieur du son : Louis Hochet
assisté de Jean-Claude Laureux
Premier assistant réalisateur : Tony Aboyantz
Assistants réalisateurs : Christian Raoux, Jean Mylonas
Script : Suzanne Durrenberger
Ensemblier : Fernand Bernardi
Régie générale : Pierre Cottance
Régie : Clo d’Olban, Claude Huyard
Chorégraphie : Jean Steuer
Photographe : Maurice Chapiron
Chefs maquilleurs : Pierre et Odette Berroyer
Habilleuses : Clo Ramoin, Dora Balabanov
Accessoiriste meubles : Rémi Bernardi
Accessoiriste plateau : Jean Boulet
Secrétaire de production : Fanchette Brie
Administrateur : Maurice Cadaze
Directeur de production : Guy Lacourt
Producteur délégué : Raymond Danon
Une co-production franco-italienne : Films Copernic – Paris
Filmerc - Rome
Studios : S.O.V.I.C. (La Victorine) – Nice
Extérieurs : Nice
Laboratoire : L.T.C. St. Cloud
Pellicule Kodak
Caméras Chevereau
Enregistrement Western Electric
Filmé en noir et blanc
Visa de contrôle cinématographique n°27.619
Durée : 79 min.
Date de sortie à Paris : 01/04/1964 aux cinémas Triomphe, Vedettes
Titre en Allemagne de l’ouest : Verflucht und vergessen
Date de sortie : 06/08/1965
Titre au Brésil : A Morte de um Matador
Titre français au Canada : La mort d'un tueur
Titre aux Etats-Unis : Death of a Killer
Titre en Grèce : Oi foniades
Titre en Hongrie : A bérgyilkos halála
Titre en Italie : Concerto per un assassino
Date de sortie : 25/09/1964Titre au Japon : ????????
Titre aux Pays-Bas : De wraak van een veroordeelde
Date de sortie : 01/04/1965
Titre au Portugal :A morte de um assassino
Avis :
Autant Robert Hossein fut un de nos plus brillants comédiens, autant ses réalisations ont été
de qualité inégale. Ce 8ème film offre peu d'intérêt, il ne se passe pas grand chose, le
scénario tient sur un timbre poste et on sent la volonté de réduire les dialogues à leur
minimum. D’ailleurs, la plupart des seconds rôles sont complètement muets et d’autres comme
Jean Lefèbvre et Robert Dalban ont eu royalement droit à une dizaine de mots, pas plus.
Hossein, le chapeau vissé sur la tête tout le long du film, visage impassible, use et abuse
de son regard inquiétant et ténébreux mais ne fait pas une composition éclatante. Reste le
plaisir de voir Marie-France Pisier dans un double rôle … mais qui parle peu !
Jean-Pierre Pecqueriaux, mars 2021.
L'anecdote est mince et Robert Hossein scénariste manque de souffle. Heureusement, le metteur en scène, en lui, est mieux inspiré. Avec ce film, il se délivre de ses hantises : l'amitié, la justice, l'amour impossible, la pureté de l'enfance. Les séquences de « flash-back » où Hossein se rappelle les lieux de sa jeunesse heureuse éclatent de blancheur, de luminosité. Le jugement de Dieu dans les arènes de Fréjus a la sobre beauté d'une tragédie grecque. La tendresse exagérée que le truand voue à sa sœur est traitée avec tact et efficacité, ainsi que l'amitié muette qui lie le tueur à ses deux lieutenants. Jean Lefebvre et Robert Dalban, dans ces rôles presque silencieux, sont excellents. La musique d'André Hossein ponctue avec rigueur cette marche du destin qui s'achemine lentement et inexorablement vers la mort. Quand Robert Hossein aura à sa disposition un scénario à la mesure de son talent de réalisateur, il sera mûr pour un grand film.