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Heloise 1991 Tchernia Serrault
Francoise Arnoul et Michel Serrault
Francoise Arnoul et Michel Serrault
Jean Rougerie et Michel Serrault
Michel Serrault et Francoise Arnoul
Michel Serrault Maurice Martin / Héloïse Françoise Arnoul Denise Martin Roger Carel Dr. Mérindol Pierre Doris Le clochard Jean Rougerie Client Jacqueline Danno La chanteuse Stéphane Hillel Ernest Martin Christiane Muller Sage-femme Andrée Champeaux Grand-mère dans le train Laure Mathurier Petite fille dans le train Anne-Marie Quentin Nonne Pierre Petit Joueur de piano Georges Barboteu Anatole Viroflay Gabriel Gobin M. Balivot Bernard Woringer Helmut Von Nordensee Yves Pignot Jean Rose Thiéry Minette Mathieu Dion Facteur Jacqueline Rouillard Lulu Robert Rollis Concierge Jean-Paul Tribout Bouchard Michèle Bardollet Ouvreuse Daniel Conrad Soldat Allemand Andrée Damant Mélanie Pierre Tchernia Narrateur
DANS LA COLLECTION « NOUVELLES DE MARCEL AYMÉ » PROPOSÉE PAR JEAN-PIERRE GLÉRIN : HÉLOISE
TELEFILM REALISE PAR PIERRE TCHERNIA D'APRÈS MARCEL AYME
ADAPTATION ET DIALOGUES DE PIERRE TCHERNIA
Pendant l'Occupation, tout en exerçant sa profession de photographe qui l'oblige parfois à accepter des officiers allemands pour clients. Maurice Martin se livre sans complexe au marché noir. Sa vie bourgeoise au côté de son épouse Denise parait bien réglée. Mais depuis quelque temps, en fin de journée. Maurice souffre de « vapeurs » et de légers picotements au niveau de la poitrine. Il n'y prend pas garde jusqu'au soir où à vingt heures exactement, il se transforme brutalement en femme. Nanti de seins opulents et d'une chevelure abondante, il a perdu ses attributs de mâle et demande à son épouse de l'appeler désormais Héloïse. Inutile d'imaginer la nuit d'insomnie que vivra le couple. Chacun des deux imagine les conditions de cette nouvelle vie. Denise rêve de trouver un amant. Héloïse aussi... Mais au matin. Maurice redevient un homme...
Ni vraiment concise ni vraiment légère, cette nouvelle de Marcel Aymé... On regarde, parce qu'on fait confiance au générique, et on rit plutôt au début. Dans une réalisation vieillote, Serrault est très bon, sous le regard de Françoise Arnoul, qui a de l'autorité.
Clap de fin pour Gabriel Gobin (1903–1998) dont la carrière avait commencé 43 ans plus tôt dans "Quai des orfèvres" 1947.