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Un sang d'encre
Claude Loursais - 1958
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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Raymond Souplex Inspecteur Bourrel Jean Daurand Inspecteur Dupuy Claire Maurier Geneviève Bourgoin Jacques Mauclair Marcel Bourgoin Gabriel Gobin Bouvines Léonce Corne Etienne Massiac Jacques Joignant Gilbert Peyraud Germaine Delbat Mme Bourgoin mère Serge Bento Michel Lezoux Jean Michaud Paul Varrèze Jean Clarieux Le bougnat Yvon Sarray Dr. Robert Gérard Dournel Le télégraphiste
Document sans nom
SCENARIO: Henri Grangé et Claude Loursais - D'APRES UNE IDEE DE: Fred Kassak - DIALOGUES: Henri Grangé
RESUME : « Qu’est-ce que tu dirais d’une bonne femme qui se suicide au revolver dans ses draps ? » Cette question que l’inspecteur Dupuy pose à Bourrel est le point de départ de cette nouvelle enquête. Pourquoi Geneviève Bourgoin s’est-elle suicidée ? Son mari, Marcel Bourgoin, était justement absent ce soir-là. Les Bourgoin… Un couple qui ne sauve même plus les apparences. Geneviève, propriétaire de l’imprimerie, a épousé le meilleur employé. Marcel y a trouvé son compte. Pour lui, le travail, l’imprimerie, passent avant le reste. Pour tromper son ennui, Geneviève sort avec un avocat, Paul Varrèze, sans que son mari s’en offusque. Cette situation aurait pu se poursuivre. Seulement voilà : Geneviève souhaite divorcer et Marcel n’est pas d’accord. C’est donc le corps d’une femme gisant dans son lit, un revolver en main, que découvre l’inspecteur Dupuy alerté par Marcel Bourgoin. Encore une fois, Bourrel va devoir faire preuve de perspicacité, de patience et de caractère. D’imprimerie, bien sûr.
BON DIEU ! MAIS C’EST BIEN SUR… Un numéro 8 sous forme de pèlerinage puisque l’intrigue de cette émission fut inspirée par le romancier Fred Kassak (alias Pierre Humblot), auteur du tout premier épisode de la série « La clé de l’énigme. » Spécialiste du roman policier, primé en cette même année 58 pour son livre « On n’enterre pas le dimanche », Kassak collaborera à douze reprises à l’émission de Claude Loursais. Ce nouvel opus plutôt bien mené et d’une durée supérieure à 90 minutes – la plus longue émission depuis les débuts de la série - promène Bourrel dans une imprimerie - Date de diffusion : 9 Décembre 1958.
ÉLÉMENTS D’ENQUÊTE :
Dans cet épisode, nous découvrons que la photographie est un hobby de l’inspecteur Dupuy. Il prend d’ailleurs lui-même les photos de la scène de crime.
L’art de soigner les détails. Dans la séquence pré-générique, on notera l’erreur des informations données par le comédien Jacques Mauclair au téléphone. « Marcel Gourdon, rue de l’abbé Bourgoin » au lieu de « Marcel Bourgoin, rue de l’abbé Gourdon. »
Au rayon des abonnés ou futurs abonnés
:
Serge Bento (Michel Lezoux) : seconde participation (sur 16) après « D’une pierre deux coups » (épisode 02).
Gérard Dournel (le télégraphiste) : seconde participation (sur 13) après « Réactions en chaîne » (épisode 04). Dans les deux émissions, le pauvre n’est pas gâté. Rôles mineurs en fond de plan. Ce qui, avec la définition d’image de l’époque, revient à dire qu’on le discerne vaguement. Au moins dans celui-ci, il parle !
Léonce Corne (Etienne Massiac) : première participation (sur 5).
Jean Clarieux (le bougnat) : première participation (sur 8).
Claire Maurier (Geneviève Bourgoin) : première participation (sur 3).
Germaine Delbat (Mme Bourgoin) : première participation (sur 4).
Gabriel Gobin (Bouvines) : première participation (sur 8).
Jacques Joignant (Gilbert Peyraud) : première participation (sur 8).
Jacques Mauclair (Marcel Bourgoin) : première participation (sur 2).
Yvon Sarray (Dr. Robert) : première participation (sur 5 ou sur 6, d’après certaines filmos du comédien qui lui attribuent le rôle d’un agent dans l’épisode 07 « Tableau de chasse ». Mais, personnellement, je ne l’ai pas identifié).
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Les cinq dernières minutes : Un sang d'encre
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jacques mauclair et germaine delbat
le premier de nous deux qui rira
Raymond Souplex Inspecteur Bourrel Jean Daurand Inspecteur Dupuy Claire Maurier Geneviève Bourgoin Jacques Mauclair Marcel Bourgoin Gabriel Gobin Bouvines Léonce Corne Etienne Massiac Jacques Joignant Gilbert Peyraud Germaine Delbat Mme Bourgoin mère Serge Bento Michel Lezoux Jean Michaud Paul Varrèze Jean Clarieux Le bougnat Yvon Sarray Dr. Robert Gérard Dournel Le télégraphiste
SCENARIO: Henri Grangé et Claude Loursais - D'APRES UNE IDEE DE: Fred Kassak - DIALOGUES: Henri Grangé
RESUME : « Qu’est-ce que tu dirais d’une bonne femme qui se suicide au revolver dans ses draps ? » Cette question que l’inspecteur Dupuy pose à Bourrel est le point de départ de cette nouvelle enquête. Pourquoi Geneviève Bourgoin s’est-elle suicidée ? Son mari, Marcel Bourgoin, était justement absent ce soir-là. Les Bourgoin… Un couple qui ne sauve même plus les apparences. Geneviève, propriétaire de l’imprimerie, a épousé le meilleur employé. Marcel y a trouvé son compte. Pour lui, le travail, l’imprimerie, passent avant le reste. Pour tromper son ennui, Geneviève sort avec un avocat, Paul Varrèze, sans que son mari s’en offusque. Cette situation aurait pu se poursuivre. Seulement voilà : Geneviève souhaite divorcer et Marcel n’est pas d’accord. C’est donc le corps d’une femme gisant dans son lit, un revolver en main, que découvre l’inspecteur Dupuy alerté par Marcel Bourgoin. Encore une fois, Bourrel va devoir faire preuve de perspicacité, de patience et de caractère. D’imprimerie, bien sûr.
BON DIEU ! MAIS C’EST BIEN SUR… Un numéro 8 sous forme de pèlerinage puisque l’intrigue de cette émission fut inspirée par le romancier Fred Kassak (alias Pierre Humblot), auteur du tout premier épisode de la série « La clé de l’énigme. » Spécialiste du roman policier, primé en cette même année 58 pour son livre « On n’enterre pas le dimanche », Kassak collaborera à douze reprises à l’émission de Claude Loursais. Ce nouvel opus plutôt bien mené et d’une durée supérieure à 90 minutes – la plus longue émission depuis les débuts de la série - promène Bourrel dans une imprimerie - Date de diffusion : 9 Décembre 1958.
ÉLÉMENTS D’ENQUÊTE :
Dans cet épisode, nous découvrons que la photographie est un hobby de l’inspecteur Dupuy. Il prend d’ailleurs lui-même les photos de la scène de crime.
L’art de soigner les détails. Dans la séquence pré-générique, on notera l’erreur des informations données par le comédien Jacques Mauclair au téléphone. « Marcel Gourdon, rue de l’abbé Bourgoin » au lieu de « Marcel Bourgoin, rue de l’abbé Gourdon. »
Au rayon des abonnés ou futurs abonnés
:
Serge Bento (Michel Lezoux) : seconde participation (sur 16) après « D’une pierre deux coups » (épisode 02).
Gérard Dournel (le télégraphiste) : seconde participation (sur 13) après « Réactions en chaîne » (épisode 04). Dans les deux émissions, le pauvre n’est pas gâté. Rôles mineurs en fond de plan. Ce qui, avec la définition d’image de l’époque, revient à dire qu’on le discerne vaguement. Au moins dans celui-ci, il parle !
Léonce Corne (Etienne Massiac) : première participation (sur 5).
Jean Clarieux (le bougnat) : première participation (sur 8).
Claire Maurier (Geneviève Bourgoin) : première participation (sur 3).
Germaine Delbat (Mme Bourgoin) : première participation (sur 4).
Gabriel Gobin (Bouvines) : première participation (sur 8).
Jacques Joignant (Gilbert Peyraud) : première participation (sur 8).
Jacques Mauclair (Marcel Bourgoin) : première participation (sur 2).
Yvon Sarray (Dr. Robert) : première participation (sur 5 ou sur 6, d’après certaines filmos du comédien qui lui attribuent le rôle d’un agent dans l’épisode 07 « Tableau de chasse ». Mais, personnellement, je ne l’ai pas identifié).
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