Godefinger ou Certaines chattes n'aiment pas le mou
Jean-Pierre Fougea - 1975
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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Dora Doll Brother mistress Claude Melki Max Duval, private detective Gilda Arancio Frédérique Barral Claudine Beccarie prostituée Tania Busselier Jacques Couderc Jurgens Doeres Eva Kwang Michel Leeb Magda Mundari (comme Magda Mondari) Pierre Orcel Albert Plantier Jacques Point Marianne Rémont Alphonse Beni (non crédité) Elvira Djinns (non crédité) M.N. Louvet (non crédité) Nicole Raillard (non crédité) Fabienne Tonnel (non crédité)
Document sans nom
C’est l’histoire d’un détective, aussi minable que cochon, qui aimerait mettre la main sur un héritage convoité par une mère maquerelle.
Film érotique (mais pas pornographique) réalisé sous le pseudo de Bob Logan par Jean-Pierre Fougea, producteur de comédie franchouillarde notoire (Attends les yeux, deux imbéciles heureux, Et la tendresse bordel !, Elle voit des nains partout, Le bonheur a encore frappé), et grand éditeur d’ouvrages sérieux, spécialisés dans les techniques et finances du cinéma, dans les années 90-2000, Godefinger concentre à peu près toutes les qualités et les défauts des comédies érotiques de l’époque. Un scénario policier prétexte pour des scènes déshabillées, où la femme est intégralement dénudée (et se livre au baiser saphique ou à la masturbation), une musique langoureuse à la Francis Lay façon Un homme et une femme, un piètre jeu d’acteurs et un montage abusif, des moments de comédies pures avec grimaces de Michel Leeb (dont c'est le premier film)... la course à la statuette d’une mère maquerelle qui lance ses 4 mômes obsédés du gourdin à la recherche du trésor de leur salaud de père, tourne au naufrage intégral... Mais attention, on nage en plein nanar seventies, celui qui ravira les aficionados d’un cinéma aujourd’hui totalement disparu. Outre la référence évidente au James Bond Goldfinger (de par la présence d’un godemichet argenté), on citera aussi L’arrière-train sifflera trois fois de Jean-Marie Pallardy. Tout un programme donc...
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Dora Doll Brother mistress Claude Melki Max Duval, private detective Gilda Arancio Frédérique Barral Claudine Beccarie prostituée Tania Busselier Jacques Couderc Jurgens Doeres Eva Kwang Michel Leeb Magda Mundari (comme Magda Mondari) Pierre Orcel Albert Plantier Jacques Point Marianne Rémont Alphonse Beni (non crédité) Elvira Djinns (non crédité) M.N. Louvet (non crédité) Nicole Raillard (non crédité) Fabienne Tonnel (non crédité)
C’est l’histoire d’un détective, aussi minable que cochon, qui aimerait mettre la main sur un héritage convoité par une mère maquerelle.
Film érotique (mais pas pornographique) réalisé sous le pseudo de Bob Logan par Jean-Pierre Fougea, producteur de comédie franchouillarde notoire (Attends les yeux, deux imbéciles heureux, Et la tendresse bordel !, Elle voit des nains partout, Le bonheur a encore frappé), et grand éditeur d’ouvrages sérieux, spécialisés dans les techniques et finances du cinéma, dans les années 90-2000, Godefinger concentre à peu près toutes les qualités et les défauts des comédies érotiques de l’époque. Un scénario policier prétexte pour des scènes déshabillées, où la femme est intégralement dénudée (et se livre au baiser saphique ou à la masturbation), une musique langoureuse à la Francis Lay façon Un homme et une femme, un piètre jeu d’acteurs et un montage abusif, des moments de comédies pures avec grimaces de Michel Leeb (dont c'est le premier film)... la course à la statuette d’une mère maquerelle qui lance ses 4 mômes obsédés du gourdin à la recherche du trésor de leur salaud de père, tourne au naufrage intégral... Mais attention, on nage en plein nanar seventies, celui qui ravira les aficionados d’un cinéma aujourd’hui totalement disparu. Outre la référence évidente au James Bond Goldfinger (de par la présence d’un godemichet argenté), on citera aussi L’arrière-train sifflera trois fois de Jean-Marie Pallardy. Tout un programme donc...
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