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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Louis XVI Jean DESAILLY Marie-Antoinette Simone VALERE Fersen Jacques TOJA Mornand Bernard VERON Madame Elisabeth Martine SARCEY Cléry Marcel CUVELIER Le général Thévenot Robert PARTY Madame Royale Françoise LEVASSEUR
Document sans nom
L'EPOQUE ET LE LIEU
La nuit du 13 au 14 février 1792, aux Tuileries, dans l'appartement de Marie-Antoinette.
L'AUTEUR
André Josset est un spécialiste des pièces historiques : « Elisabeth, la femme sans homme », « Les Borgia, famille étrange ». Sa pièce « La Nuit de nos adieux », a été montée au théâtre Montparnasse, en 1955, sous le titre « Le Bal des adieux ».
LE THEME
C'est une étude psychologique sur le roi Louis XVI, un des personnages les plus secrets et les plus méconnus de l'Histoire.
C'est aussi, et surtout, un drame profondément humain, celui de deux destins inéluctablement liés dans le malheur.
Une pièce d'André JOSSET
Réalisation de Georges LACOMBE
Décors de Marcel-Louis DIEULOT
Costumes de Rosine DELAMARE
Directeur de la photographie : Maurice BARRY
LE DEBUT :
La faible lumière du jour tombant filtre encore à travers les fenêtres donnant sur les jardins des Tuileries. Il est cinq heures
du soir. Le valet Cléry vient d'éteindre l'unique bougie qui brûlait derrière une croisée, comme un signal.
A ce moment, la reine Marie-Antoinette apparaît, portant un candélabre. Elle interpelle le valet : « Qui vous a permis d'éteindre cette bougie ? »
Cléry s'excuse : « C'est le roi qui me l'a commandé ! » La reine semble désemparée...
Soudain, une rumeur monte du Grand Degré de marbre. Armés jusqu'aux dents, les gardes nationaux envahissent l'escalier.
La reine soliloque : « M. Guérin serait déjà là, sans cet ordre du roi, cet ordre inconcevable !... »
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Louis XVI Jean DESAILLY Marie-Antoinette Simone VALERE Fersen Jacques TOJA Mornand Bernard VERON Madame Elisabeth Martine SARCEY Cléry Marcel CUVELIER Le général Thévenot Robert PARTY Madame Royale Françoise LEVASSEUR
L'EPOQUE ET LE LIEU
La nuit du 13 au 14 février 1792, aux Tuileries, dans l'appartement de Marie-Antoinette.
L'AUTEUR
André Josset est un spécialiste des pièces historiques : « Elisabeth, la femme sans homme », « Les Borgia, famille étrange ». Sa pièce « La Nuit de nos adieux », a été montée au théâtre Montparnasse, en 1955, sous le titre « Le Bal des adieux ».
LE THEME
C'est une étude psychologique sur le roi Louis XVI, un des personnages les plus secrets et les plus méconnus de l'Histoire.
C'est aussi, et surtout, un drame profondément humain, celui de deux destins inéluctablement liés dans le malheur.
Une pièce d'André JOSSET
Réalisation de Georges LACOMBE
Décors de Marcel-Louis DIEULOT
Costumes de Rosine DELAMARE
Directeur de la photographie : Maurice BARRY
LE DEBUT :
La faible lumière du jour tombant filtre encore à travers les fenêtres donnant sur les jardins des Tuileries. Il est cinq heures
du soir. Le valet Cléry vient d'éteindre l'unique bougie qui brûlait derrière une croisée, comme un signal.
A ce moment, la reine Marie-Antoinette apparaît, portant un candélabre. Elle interpelle le valet : « Qui vous a permis d'éteindre cette bougie ? »
Cléry s'excuse : « C'est le roi qui me l'a commandé ! » La reine semble désemparée...
Soudain, une rumeur monte du Grand Degré de marbre. Armés jusqu'aux dents, les gardes nationaux envahissent l'escalier.
La reine soliloque : « M. Guérin serait déjà là, sans cet ordre du roi, cet ordre inconcevable !... »
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