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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Monica Vitti Eva Maurice Ronet François Robert Hossein Julien Claudio Brook John Bert Albert Simono (as Simono) Lucien Raimbourg Monique Mélinand Simone Bach Robert Rollis Sabine Sun Colette Gérard Antonio Passalia Stéphane Stéphane François de Lannurien Gérard Lartigau Tommy Fredy Meier Jacques Ciron André Badin (uncredited) Stéphane Bouy (uncredited) Claude Chabrol Un liftier Yves Massard Bit part (uncredited)
Document sans nom
LA FEMME ÉCARLATE
UN FILM DE JEAN VALERE (1968)
SCENARIO ET ADAPTATION DE JEAN VALERE
DIALOGUES DE PAUL GEGAUFF
L'EPOQUE ET LE LIEU En 1968, à Paris.
LE THEME Décidée à mettre fin à ses jours, une jeune et jolie femme s'accorde, avant de mourir, une semaine de folle vie parisienne.
LE DEBUT Ruinée par son amant, Julien, à qui elle avait confié, à Nice, la gestion de l'usine de parfums dont elle avait hérité de ses parents, Eva, trente ans, échoue à Paris, seule et décidée à se tuer. Mais au moment d'en finir, la haine la reprend. Elle sait que le vendredi suivant, Julien passera par Paris. Avant de disparaître, elle veut se venger : elle tuera Julien et, jusque-là, s'offrira tous ses caprices. Après avoir vendu ses bijoux place Vendôme afin de vivre princièrement ses huit derniers jours d'existence Eva s'installe dans une suite de l'hôtel Hilton. Elle achète une voiture, hante, femme écarlate, tout de rouge vêtue, les boutiques les plus sophistiquées de le capitale et réunit autour d'elle une véritable cour. «Elle ose même aborder, dans la rue, un homme qui, surpris par cette éclatante inconnue, se laisse inviter au restaurant de la tour Eiffel. François a trente ans, du charme et un métier passionnant : chasseur d'épaves..
CRITIQUE Une Monica Vitti vivante, émouvante et changeante, est la raison d'être de ce film ambigu, qui repose entièrement sur elle. On peut regretter que Jean Valère, bien parti pour réaliser une comédie à l'américaine, ait volontairement renoncé à l'unité de ton qui convenait pour cela. De très jolis moments, toutefois.
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Monica Vitti Eva Maurice Ronet François Robert Hossein Julien Claudio Brook John Bert Albert Simono (as Simono) Lucien Raimbourg Monique Mélinand Simone Bach Robert Rollis Sabine Sun Colette Gérard Antonio Passalia Stéphane Stéphane François de Lannurien Gérard Lartigau Tommy Fredy Meier Jacques Ciron André Badin (uncredited) Stéphane Bouy (uncredited) Claude Chabrol Un liftier Yves Massard Bit part (uncredited)
LA FEMME ÉCARLATE
UN FILM DE JEAN VALERE (1968)
SCENARIO ET ADAPTATION DE JEAN VALERE
DIALOGUES DE PAUL GEGAUFF
L'EPOQUE ET LE LIEU En 1968, à Paris.
LE THEME Décidée à mettre fin à ses jours, une jeune et jolie femme s'accorde, avant de mourir, une semaine de folle vie parisienne.
LE DEBUT Ruinée par son amant, Julien, à qui elle avait confié, à Nice, la gestion de l'usine de parfums dont elle avait hérité de ses parents, Eva, trente ans, échoue à Paris, seule et décidée à se tuer. Mais au moment d'en finir, la haine la reprend. Elle sait que le vendredi suivant, Julien passera par Paris. Avant de disparaître, elle veut se venger : elle tuera Julien et, jusque-là, s'offrira tous ses caprices. Après avoir vendu ses bijoux place Vendôme afin de vivre princièrement ses huit derniers jours d'existence Eva s'installe dans une suite de l'hôtel Hilton. Elle achète une voiture, hante, femme écarlate, tout de rouge vêtue, les boutiques les plus sophistiquées de le capitale et réunit autour d'elle une véritable cour. «Elle ose même aborder, dans la rue, un homme qui, surpris par cette éclatante inconnue, se laisse inviter au restaurant de la tour Eiffel. François a trente ans, du charme et un métier passionnant : chasseur d'épaves..
CRITIQUE Une Monica Vitti vivante, émouvante et changeante, est la raison d'être de ce film ambigu, qui repose entièrement sur elle. On peut regretter que Jean Valère, bien parti pour réaliser une comédie à l'américaine, ait volontairement renoncé à l'unité de ton qui convenait pour cela. De très jolis moments, toutefois.
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