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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Marc Lesser Pierre Roquelaure Pierre Maguelon l'oncle Sylvie Herbert Amélie Max desrau un voisin Pierre Duncan un voisin Hélène Besancon une voisine Cadine Constant une voisine Jean Rupert le brigadier Patrick Roseres Emile Helena Hvostoff Marie-Marthe Marie Ange de Clercq Alberte Pierre Nougaro Amédée Jacques Serres Azéma Agnès Caminade la grand-mère de Pierre Didier Attar Louis Montastruc Paul Savatier le père de Pierre Pierre Kovacs André Millard Rose Thierry la tante
Document sans nom
Résumé : D'après le roman autobiographique de Pierre Gascar. Dans les années 30 l'apprentissage de la campagne par un petit citadin et la vie d'un village du Lot et Garonne à cette époque. Au bord du canal Saint-Martin, trois jeunes garçons s'amusent. L'un d'eux vit là les derniers instants d'une enfance insouciante, ignorant encore que sa mère vient de se suicider. On l'expédie au plus vite à la campagne, et les questions, s'il s'en pose, il les garde pour lui. L'oncle et la tante, un couple sans enfant, qui ont accepté de le prendre en pension, ne lui manifestent qu'une compassion sans chaleur et de courte durée. Quant à l'accueil de sa grand-mère, dont il est pourtant l'unique petit-fils, il est terrifiant, comme le regard qu'elle lui jette. Pierre n'a pas besoin de comprendre le patois, pour saisir l'acrimonie de ses réflexions. La vieille femme a reporté sur lui toute l'aversion, sinon la haine, que lui inspirait sa belle-fille. Pourtant, sans regimber, l'enfant s'adapte... Du moins en apparence. Il découvre la nature environnante, l'intimité du village, en même temps qu'une manière de vivre différente de celle qu'il a connue. Son apprentissage de l'existence est rude et les amitiés qu'il noue ne compensent pas la soif de tendresse dont il souffre en silence. Les interprètes en sont pour la plupart les habitants du village du Lédat où elle a été tournée. L'instituteur, le maire et le curé, entre autres, y jouent leur propre rôle. Mots clés : France ; années 1930 ; enfance (malheureuse) ; mère ; suicide ; campagne ; enfant ; village ; Lot et Garonne
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Marc Lesser Pierre Roquelaure Pierre Maguelon l'oncle Sylvie Herbert Amélie Max desrau un voisin Pierre Duncan un voisin Hélène Besancon une voisine Cadine Constant une voisine Jean Rupert le brigadier Patrick Roseres Emile Helena Hvostoff Marie-Marthe Marie Ange de Clercq Alberte Pierre Nougaro Amédée Jacques Serres Azéma Agnès Caminade la grand-mère de Pierre Didier Attar Louis Montastruc Paul Savatier le père de Pierre Pierre Kovacs André Millard Rose Thierry la tante
Résumé : D'après le roman autobiographique de Pierre Gascar. Dans les années 30 l'apprentissage de la campagne par un petit citadin et la vie d'un village du Lot et Garonne à cette époque. Au bord du canal Saint-Martin, trois jeunes garçons s'amusent. L'un d'eux vit là les derniers instants d'une enfance insouciante, ignorant encore que sa mère vient de se suicider. On l'expédie au plus vite à la campagne, et les questions, s'il s'en pose, il les garde pour lui. L'oncle et la tante, un couple sans enfant, qui ont accepté de le prendre en pension, ne lui manifestent qu'une compassion sans chaleur et de courte durée. Quant à l'accueil de sa grand-mère, dont il est pourtant l'unique petit-fils, il est terrifiant, comme le regard qu'elle lui jette. Pierre n'a pas besoin de comprendre le patois, pour saisir l'acrimonie de ses réflexions. La vieille femme a reporté sur lui toute l'aversion, sinon la haine, que lui inspirait sa belle-fille. Pourtant, sans regimber, l'enfant s'adapte... Du moins en apparence. Il découvre la nature environnante, l'intimité du village, en même temps qu'une manière de vivre différente de celle qu'il a connue. Son apprentissage de l'existence est rude et les amitiés qu'il noue ne compensent pas la soif de tendresse dont il souffre en silence. Les interprètes en sont pour la plupart les habitants du village du Lédat où elle a été tournée. L'instituteur, le maire et le curé, entre autres, y jouent leur propre rôle. Mots clés : France ; années 1930 ; enfance (malheureuse) ; mère ; suicide ; campagne ; enfant ; village ; Lot et Garonne
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