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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Karine Jeantet Françoise Chauvet Philippe Gasté Pierre Chauvet Denyse Roland Sylvie Flamand Michel Lemoine Michel Flamand Maelle Pertuzo Inna Roger Lumont le patron du studio-photo Paul Pavel le clochard Dominique Erlanger la prostituée Anne-Marie un mannequin Ursule Pauly un mannequin Kuelan Herce un mannequin Agnès Petit Yvette Jean-François Davy le poète Natalie Perrey la femme du poète Alice Arno une fille chez Flamand Muriel Suffren une fille chez Flamand Edgar Baum l'homme au bouquet de fleurs André Tomasi le démarcheur Patrice Marc Patrice, l'homme à la rue Joseph Gaubert le responsable du magasin Alex Métayer l'humoriste à la télévision
Document sans nom
SCENARIO Jean-François Davy ; IMAGE Philippe Théaudière ; MONTAGE Cécile Decugis ; SON Pierre Lorrain ; MUSIQUE Pierre Raph
Françoise et Pierre forment un couple confronté aux difficultés de l'existence. Photographe, il parvient difficilement à subvenir aux besoins du couple. Elle passe ses journées entre ménage et télévision. Pierre fait la connaissance de Sylvie. Michel, le mari de Sylvie laisse les amants à leurs ébats pour séduire Françoise...
Alors qu'il ne parvient pas à trouver le financement pour "Le Seuil du vide", Jean-François Davy décide de se tourner vers l'érotisme. Le réalisateur scénariste s'interroge sur la libération des moeurs de l'après 1968. Une liberté ne va pas de soi. Ses protagonistes ne trouvent guère de satisfactions dans le libertinage et reviennent à des rapports plus conventionnels. Sur le plan formel, Davy s'inspire ouvertement de la Nouvelle Vague et plus particulièrement de "Masculin féminin" de Godard. Il tourne en 16mm et son direct. Il s'offre les services de Cécile Decugis, monteuse d' "A bout de souffle". Insuffisant toutefois pour « retourner » la critique : « L' « auteur » qui semble avoir retenu certaines des leçons de la Nouvelle Vague et du dernier Truffaut (NDR "Domicile conjugal") a, fort de ce bagage, choisi la facilité et le confort à l'intention du public des salles spécialisées. La débauche n'est que provisoire... et elle rapporte. La morale est sauve. Karine Jeantet n'est pas laide, mais ce n'est pas une excuse. » - Jean-Jacques Dupuich, La Saison cinématographique 1972.
Le film fait de bonnes recettes et se vend bien à l'étranger. Davy peut se consacrer à un projet plus ambitieux sur le plan artistique, l'adaptation du roman d'André Ruellan "Le Seuil du vide".
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Karine Jeantet Françoise Chauvet Philippe Gasté Pierre Chauvet Denyse Roland Sylvie Flamand Michel Lemoine Michel Flamand Maelle Pertuzo Inna Roger Lumont le patron du studio-photo Paul Pavel le clochard Dominique Erlanger la prostituée Anne-Marie un mannequin Ursule Pauly un mannequin Kuelan Herce un mannequin Agnès Petit Yvette Jean-François Davy le poète Natalie Perrey la femme du poète Alice Arno une fille chez Flamand Muriel Suffren une fille chez Flamand Edgar Baum l'homme au bouquet de fleurs André Tomasi le démarcheur Patrice Marc Patrice, l'homme à la rue Joseph Gaubert le responsable du magasin Alex Métayer l'humoriste à la télévision
SCENARIO Jean-François Davy ; IMAGE Philippe Théaudière ; MONTAGE Cécile Decugis ; SON Pierre Lorrain ; MUSIQUE Pierre Raph
Françoise et Pierre forment un couple confronté aux difficultés de l'existence. Photographe, il parvient difficilement à subvenir aux besoins du couple. Elle passe ses journées entre ménage et télévision. Pierre fait la connaissance de Sylvie. Michel, le mari de Sylvie laisse les amants à leurs ébats pour séduire Françoise...
Alors qu'il ne parvient pas à trouver le financement pour "Le Seuil du vide", Jean-François Davy décide de se tourner vers l'érotisme. Le réalisateur scénariste s'interroge sur la libération des moeurs de l'après 1968. Une liberté ne va pas de soi. Ses protagonistes ne trouvent guère de satisfactions dans le libertinage et reviennent à des rapports plus conventionnels. Sur le plan formel, Davy s'inspire ouvertement de la Nouvelle Vague et plus particulièrement de "Masculin féminin" de Godard. Il tourne en 16mm et son direct. Il s'offre les services de Cécile Decugis, monteuse d' "A bout de souffle". Insuffisant toutefois pour « retourner » la critique : « L' « auteur » qui semble avoir retenu certaines des leçons de la Nouvelle Vague et du dernier Truffaut (NDR "Domicile conjugal") a, fort de ce bagage, choisi la facilité et le confort à l'intention du public des salles spécialisées. La débauche n'est que provisoire... et elle rapporte. La morale est sauve. Karine Jeantet n'est pas laide, mais ce n'est pas une excuse. » - Jean-Jacques Dupuich, La Saison cinématographique 1972.
Le film fait de bonnes recettes et se vend bien à l'étranger. Davy peut se consacrer à un projet plus ambitieux sur le plan artistique, l'adaptation du roman d'André Ruellan "Le Seuil du vide".
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