Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
A la memoire d un heros Bonaparte
Ludmilla TCHERINA Napoleon Bonaparte
Ludmilla TCHERINA Napoleon Bonaparte
Ludmilla TCHERINA Napoleon Bonaparte
Ludmilla TCHERINA Napoleon Bonaparte
Ludmilla TCHERINA Napoleon Bonaparte
Ludmilla TCHERINA Napoleon Bonaparte
Ludmilla TCHERINA Napoleon Bonaparte
Ludmilla TCHERINA Napoleon Bonaparte
Ludmilla TCHERINA Napoleon Bonaparte
Ludmilla TCHERINA Napoléon Bonaparte
A LA MEMOIRE D'UN HEROS
D'après un argument chorégraphique de Serge Lifar. Musique de Beethoven. Réalisation de Dirk Sanders avec Ludmilla TCHERINA
Durée = 17 minutes
Interprétation chorégraphique par Ludmilla TCHERINA du personnage de Napoléon BONAPARTE .
Napoléon est sur son lit de mort. Avant d'expirer, il revit les grands moments de son existence. Dans des décors inspirés par le surréalisme, et sur la musique de la « Symphonie héroïque », de Beethoven, les tableaux se succèdent. On sait que le compositeur, grand libéral et ennemi du gouvernement impérial, avait tout d'abord dédié cette symphonie au Premier Consul, qu'il considérait comme le héros idéal : « A la mémoire d'un héros. » Dédicace qu'il déclinera à l'annonce du couronnement de l'Empereur. Dans cette œuvre, il glorifie le personnage, chante ses combats, ses triomphes et célèbre ses funérailles. Ludmilla Tchérina, qui incarne Napoléon à tous les âges de sa vie, a créé ce ballet il y a vingt ans...
Ludmilla Tchérina fait danser Bonaparte : Ce ballet, Serge Lifar l'avait imaginé pour elle, sur la musique de la 3ème Symphonie, intitulée « Bonrparte » mais que Beethoven rebaptisa « Héroïque »lorsqu'il apprit le sacre de Napoléon. Ludmilla le créa sur la scène de l'Opéra de Monte-Carlo, et le dansa à Londres, à Moscou et aux Etats-Unis, où elle obtint, à dix-huit ans, un Oscar dans un festival de danse. Elle a demandé à Dirk Sanders de réaliser l'émission — une évocation plastique de Bonaparte en conservant la chorégraphie de Serge Lifar. Celui-ci n'a pas pu venir sur le plateau, il répétait à l'Opéra. Prochain rôle de Ludmilla à la TV : une possédée dans « Le Procès de Loudun », de Roger Kahane.