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Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Joelle Coeur Igmar et Michel Lemoine
Martine Azencot et Manu Pluton
Michel Lemoine et Joelle Coeur
Michel Lemoine et Joelle Coeur
Michel Lemoine et Joelle Coeur
Michel Lemoine et Stephane Lorry
Nathalie Zeiger et Robert de Laroche
Michel Lemoine Boris Zaroff Joëlle Coeur Anne de Boisryvault Howard Vernon Karl / son père Martine Azencot Joëlle, la nouvelle secrétaire Nathalie Zeiger Muriel Robert de Laroche Francis Stéphane Lorry Stéphane, l'auto-stoppeuse Patricia Mionnet Jeanne, laservante Sophie Grynholc la secrétaire Manu Pluton l'homme statue Igmar le dogue allemand
SCENARIO Michel Lemoine ; IMAGE Philippe Théaudière ; SON François Carré ; MONTAGE Bob Wade ; MUSIQUE Guy Bonnet et Roland Romanelli ;
« (...) Rarement pellicule a autant imprimé l'image de son créateur. Non seulement Michel Lemoine écrit, coproduit et met en scène LES WEEK-ENDS MALEFIQUES DU COMTE ZAROFF, mais il y dirige également l'acteur Michel Lemoine jouant un schizophrène (deux Michel supplémentaires donc) (...) Incorrigible Narcisse, Michel Lemoine se noie dans son propre film (...) le film laisse filtrer un certain charme gothique pop (...) » - François Cognard, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques, 2011.
« (...) Quant aux WEEK-ENDS MALEFIQUES DU COMTE ZAROFF, c'est pour Michel Lemoine, réalisateur, scénariste comédien et coproducteur un vrai chemin de croix. Complètement interdit par la censure pour « incitation à la nécrophilie », mais néanmoins primé à Sitgès, le film est mutilé de quarante-cinq minutes, retitré Sept femmes pour un sadique, et ne sera diffusé que via le DVD. Dommage, car Lemoine avait tenté, sans moyens, d'insuffler à un genre bien somnolent en France, son énergie et son enthousiasme. » - Robert de Laroche, Dictionnaire du cinéma d'épouvante, 2007.
Le molosse Igmar que Zaroff lache sur ses victimes était en fait le chien de Martine Azencot. Alors qu'il devait la poursuive, l'actrice l'encouragait par des « Viens Igmar, viens mon bébé, viens jouer avec maman ». Cf. Entretient avec Robert de Laroche sur Nanarland http://www.nanarland.com/Chroniques/chronique-weekendsmalefiquesducomtezaroff-les-week-ends-malefiques-du-comte-zaroff.html