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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Joëlle Coeur Monica Gilda Arancio Jackie Marie-Hélène Règne Willy Braque Fred, le premier bandit François Brincourt le détective Reine Thirion l'assistante du détective Pierre Julien le second bandit Jean Rollin le voleur
Document sans nom
SCENARIO Jacques Orth ; IMAGE Jean-Jacques Renon ; CAMERA Claude Bécognée ; SON Jacques Orth ; MONTAGE Michel Patient ; SCRIPTE Natalie Perrey ; PRODUCTION Jacques Orth (Avia Films) et Jean Rollin (Les Films ABC) ;
Monica et Jackie, deux amies campeuses, s'introduisent dans une villa qui semble abandonnée pour y passer la nuit. L'endroit sert en fait de planque à une bande de malfaiteurs...
Après l'échec cuisant de La Rose de fer Jean Rollin est contraint de se tourner vers un cinéma plus « commercial ». S'ils ne lui gagnent pas les faveurs des critiques, Jeunes filles impudiques et Tout le monde il en a deux (signés du pseudonyme transparent de Michel Gentil) s'avérerons d'excellentes affaires pour leurs producteurs respectifs...
« Il y a des degrés à tout : Dans un domaine où la concurrence est rude, ce film réussit à battre tous les records de crétinerie (quant au sujet) et de médiocrité (quant à la réalisation). On peut évidemment supposer que Jean Rollin, réalisateur qui avait donné quelques espérances avec ses premiers films, ait joué la carte du second degré, du canular, de la parodie : mais il se trompe alors de public (...) » - Jacques Zimmer, La saison cinématographique, 1974
« (...) Cette impécunieuse petite chose flirte suavement avec le serial. On n'y voit aucun vampire mais des gangsters d'opérette aux ordres d'une femme aussi belle que cruelle qui n'hésite pas à employer la torture pour délier leur langues à ces demoiselles imprudente. La noble dame. » - Edgard Baltzer, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques, 2011.
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Gilda Arancio et Francois Brincourt
Gilda Arancio et Joelle Coeur nues
Marie Helene Regne et Willy Braque
Joëlle Coeur Monica Gilda Arancio Jackie Marie-Hélène Règne Willy Braque Fred, le premier bandit François Brincourt le détective Reine Thirion l'assistante du détective Pierre Julien le second bandit Jean Rollin le voleur
SCENARIO Jacques Orth ; IMAGE Jean-Jacques Renon ; CAMERA Claude Bécognée ; SON Jacques Orth ; MONTAGE Michel Patient ; SCRIPTE Natalie Perrey ; PRODUCTION Jacques Orth (Avia Films) et Jean Rollin (Les Films ABC) ;
Monica et Jackie, deux amies campeuses, s'introduisent dans une villa qui semble abandonnée pour y passer la nuit. L'endroit sert en fait de planque à une bande de malfaiteurs...
Après l'échec cuisant de La Rose de fer Jean Rollin est contraint de se tourner vers un cinéma plus « commercial ». S'ils ne lui gagnent pas les faveurs des critiques, Jeunes filles impudiques et Tout le monde il en a deux (signés du pseudonyme transparent de Michel Gentil) s'avérerons d'excellentes affaires pour leurs producteurs respectifs...
« Il y a des degrés à tout : Dans un domaine où la concurrence est rude, ce film réussit à battre tous les records de crétinerie (quant au sujet) et de médiocrité (quant à la réalisation). On peut évidemment supposer que Jean Rollin, réalisateur qui avait donné quelques espérances avec ses premiers films, ait joué la carte du second degré, du canular, de la parodie : mais il se trompe alors de public (...) » - Jacques Zimmer, La saison cinématographique, 1974
« (...) Cette impécunieuse petite chose flirte suavement avec le serial. On n'y voit aucun vampire mais des gangsters d'opérette aux ordres d'une femme aussi belle que cruelle qui n'hésite pas à employer la torture pour délier leur langues à ces demoiselles imprudente. La noble dame. » - Edgard Baltzer, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques, 2011.