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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Joëlle Coeur Valérie Marie-France Morel Sophie Brigitte Borghese Malvina Annie Belle Brigitte Alain Bastin Fred Jean-Paul Hazy Paul Jenny Trochu Jenny, la fausse bonne Virgina Loup Catarina, la bonne Catherine Castel une complice de Malvina Marie-Pierre Castel une complice de Malvina Minia Malove Frida, une complice de Malvina Marcel Richard Karl, un complice de Malvina
Document sans nom
SCENARIO Jean Rollin Lionel Wallman et Natalie Perrey ; IMAGE Claude Bécognée ; SON Robert Deraedt ; MONTAGE Olivier Grégoire ; SCRIPTE Natalie Perrey ; PRODUCTION Lionel Wallman (Nordia Films) et Josette Trachsler (CTI) ;
Valérie invite son amie Sophie à partager le grand appartement que lui a prêté son cousin parti en Amérique. Alors que Valérie est endormie, deux jeunes femmes s'introduisent dans l'appartement et enlèvent Sophie...
Tourné à l'économie, le film devient un franc succès d'exploitation après que son distributeur Jacques Orth ait pris l'initiative de le ressortir sous le titre plus accrocheur de "Bacchanales sexuelles".
« (...) On peut avancer avec prudence que l'auteur traite son sujet au niveau du deuxième degré rigolard. Son intention est malheureusement trahie par une mise en scène des plus insignifiante et le jeu déplorable des acteurs dont l'amateurisme éclate à chaque réplique. Rien n'est plus monotone que cette succession de tableautins galants qui ne s'élèvent jamais au-dessus du scopitone égrillard. Le metteur en scène a tout simplement oublié de raconter une histoire. » - Jacques Zimmer, La saison cinématographique, 1975
« (...) Troisième et dernière incursion hélas de Joëlle Coeur dans l'univers rollinien, (...) le film n'est pas un chef-d'oeuvre mais se voit sans ennui grâce entre autre à la présence de la belle. (...) c'est surtout la générosité de Brigitte Borghèse en grande sectatrice qui envahit le film (...) » - Edgard Baltzer, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques, 2011.
« (...) Jean Rollin utilise son pseudo : Michel Gentil. Pourtant, son style et sa marque de fabrique éclate à chaque plan. En dehors du château, des plans interminables mais esthétiques, on retrouve l'univers des anciens feuilletons français, à tel point que l'on s'attend à voir apparaître Musidora à chaque glissement de tentures. » - Monster bis : Jean Rollin
« Claude Bécognée (...) m'avait obligé à rester pendant qu'il filmait les scènes osées avec Joëlle Coeur. D'habitude, j'allais prendre un café au bistrot du coin. Mais là, je n'avais pas pu me défiler, et je dus assister aux scènes le rouge au front car j'étais extrêmement pudique et coincé à cette époque. D'autant plus que le film se tournait dans notre appartement, que ma femme nous regardait de temps en temps sans la moindre gêne (...) » - Jean Rollin, MoteurCoupez ; mémoires d'un cinéaste singulier, 2008
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Brigitte Borghese et Joelle Coeur
Joelle Coeur et Marie France Morel
Marie Pierre Castel et Catherine Castel
Joëlle Coeur Valérie Marie-France Morel Sophie Brigitte Borghese Malvina Annie Belle Brigitte Alain Bastin Fred Jean-Paul Hazy Paul Jenny Trochu Jenny, la fausse bonne Virgina Loup Catarina, la bonne Catherine Castel une complice de Malvina Marie-Pierre Castel une complice de Malvina Minia Malove Frida, une complice de Malvina Marcel Richard Karl, un complice de Malvina
SCENARIO Jean Rollin Lionel Wallman et Natalie Perrey ; IMAGE Claude Bécognée ; SON Robert Deraedt ; MONTAGE Olivier Grégoire ; SCRIPTE Natalie Perrey ; PRODUCTION Lionel Wallman (Nordia Films) et Josette Trachsler (CTI) ;
Valérie invite son amie Sophie à partager le grand appartement que lui a prêté son cousin parti en Amérique. Alors que Valérie est endormie, deux jeunes femmes s'introduisent dans l'appartement et enlèvent Sophie...
Tourné à l'économie, le film devient un franc succès d'exploitation après que son distributeur Jacques Orth ait pris l'initiative de le ressortir sous le titre plus accrocheur de "Bacchanales sexuelles".
« (...) On peut avancer avec prudence que l'auteur traite son sujet au niveau du deuxième degré rigolard. Son intention est malheureusement trahie par une mise en scène des plus insignifiante et le jeu déplorable des acteurs dont l'amateurisme éclate à chaque réplique. Rien n'est plus monotone que cette succession de tableautins galants qui ne s'élèvent jamais au-dessus du scopitone égrillard. Le metteur en scène a tout simplement oublié de raconter une histoire. » - Jacques Zimmer, La saison cinématographique, 1975
« (...) Troisième et dernière incursion hélas de Joëlle Coeur dans l'univers rollinien, (...) le film n'est pas un chef-d'oeuvre mais se voit sans ennui grâce entre autre à la présence de la belle. (...) c'est surtout la générosité de Brigitte Borghèse en grande sectatrice qui envahit le film (...) » - Edgard Baltzer, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques, 2011.
« (...) Jean Rollin utilise son pseudo : Michel Gentil. Pourtant, son style et sa marque de fabrique éclate à chaque plan. En dehors du château, des plans interminables mais esthétiques, on retrouve l'univers des anciens feuilletons français, à tel point que l'on s'attend à voir apparaître Musidora à chaque glissement de tentures. » - Monster bis : Jean Rollin
« Claude Bécognée (...) m'avait obligé à rester pendant qu'il filmait les scènes osées avec Joëlle Coeur. D'habitude, j'allais prendre un café au bistrot du coin. Mais là, je n'avais pas pu me défiler, et je dus assister aux scènes le rouge au front car j'étais extrêmement pudique et coincé à cette époque. D'autant plus que le film se tournait dans notre appartement, que ma femme nous regardait de temps en temps sans la moindre gêne (...) » - Jean Rollin, MoteurCoupez ; mémoires d'un cinéaste singulier, 2008
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