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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Katia Tchenko Monique Nadia Samir Iréne Béatrice Cardon Gisèle Valérie Boisgel Mariette Édith Ploquin Thérèse Michel Dacquin Aldo Liane Marelli Sylvia Adrien Cayla-Legrand Fifi l'enjôleur France Durin la Call-girl Marc Dudicourt le tenancier de la maison close Christian Forges l'hôtelier Noëlle Hussenot la repentie Fabienne Arel une prostituée Adaly Bayle une prostituée Sonia Sariel la jeune fille corrompue Anne-Marie Coffinet la patrone du deuxième bordel Pierre Londiche un enquêteur Catherine Coussot l'assistante sociale Adelita Requena la danseuse espagnole Nathalie Dalyan une fille de luxe Nicole Isimat une fille de luxe Jacky Foucault la fille en moto Philippe Gasté un inspecteur Jacques Dhéry un inspecteur Yves Afonso le placeur Stéphane Macha un trafiquant Martin Trévières un trafiquant Johnny Wessler un trafiquant César Torres un trafiquant Jean-Marie Arnoux un client Roger Trapp un client Bernard Salvage un client Guy Verda le client voleur Line Arnel la bonne Betty Berr Claudine Delvaux Janine Dill Barbara Doumer Anna Fisherova Elisabeth Gauttier Georges Gracias Michèle Krust Mélina Marco Régine Renoult Simone Rivault Ginette Rolland Corinne Saint-Laurent Marie Sirago Sophie Sydney Jacques Taris Armand Teruel Pascal Vidal Micheline Welter Yanky Michel Charrel Robert Darame Jean-Philippe Ancelle le balayeur Marthe Richard elle-même Dominique Paturel le narrateur (voix)
Document sans nom
Film qui se veut un état des lieux de la prostitution dans le monde et en particulier en France en 1970.
Le film est construit comme un documentaire, mais ce n’en est pas un, les prostitués sont toutes jouées par des actrices plus ou moins connues. Il y a quand même une partie réaliste avec une étonnante interview de Marthe Richard.
Malheureusement le film ne dénonce rien, il accable plutôt les femmes qui se prostituent plutôt que de les défendre. Le pire est la partie réservé aux proxénètes, d’une part elle est très courte, d’autre part c’est là qu’on aurait aimé une vraie enquête pour comprendre l’odieux trafic dont se livre ces sous-hommes qui ne devraient pas avoir leur place sur Terre ! Il n’en est rien dans ce film complaisant, voir méprisant par moment pour les femmes obligées à se livrer à cet horrible commerce.-BDFF-Août 2015
« La volonté de J.C. Roy de « reconstituer » (tournage avec des acteurs et actrices, prises de vues en studios) est, en soi, louable. Car cela permet de « dominer son sujet » comme on dit. Mais il y a un problème de limites : À partir de quel moment le simple constat ne suffit-il plus ? À partir de quel moment au contraire, une fiction, une « dramatisation » s’impose-t-elle ? La reconstitution de J.C. Roy à des fins de concision, donc de style, s’impose à nous comme une autre, une simple réalité. N’aurait-elle pas dû s’imposer, au contraire, comme une véritable fiction « objectivement » reconstituée (c’est-à-dire sans âme) (…) les documentaires (…) devraient « retourner » les gens, leur faire prendre conscience ne serait-ce que de leur environnent. Or on sait bien que ce n’est pas le cas. (…) Croyez-vous que les gens soient assez libres, assez « sains », dans le cadre de cette société, pour pouvoir recevoir et assimiler un document, une enquête dite objective ? Faut-il être objectif ? » - Alain Laguarda, La Saison cinématographique 1970.
« Le chef-d‘œuvre de Jean-Claude Roy avec MASSACRES (1989), qui présente avec rigueur (Marthe Richard apporte physiquement sa caution) les éléments les plus variés sur la prostitution. Sur le fond, aucun reproche d’exagération ou de fictionnalisation ne peut être adressé à Roy. Le mérite de Roy, c’est d’avoir montré du vrai, mais un vrai si aberrant et fantasmatique en lui-même, dans sa vérité totale et de bout en bout, que le film atteint aisément une dimension surréaliste alors qu’il visait le documentaire et qu’il y réussit à la perfection. (…) Il est constitué d’une mosaïque de petites séquences dont chacune forme un tout. (..) elles sont pour la plupart hallucinantes et restent fixées dans les mémoires. (…) Roy est un cinéaste injustement méprisé par la critique. » - Francis Moury, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques, 2011.
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X6 une fille du salon de massage
Katia Tchenko Monique Nadia Samir Iréne Béatrice Cardon Gisèle Valérie Boisgel Mariette Édith Ploquin Thérèse Michel Dacquin Aldo Liane Marelli Sylvia Adrien Cayla-Legrand Fifi l'enjôleur France Durin la Call-girl Marc Dudicourt le tenancier de la maison close Christian Forges l'hôtelier Noëlle Hussenot la repentie Fabienne Arel une prostituée Adaly Bayle une prostituée Sonia Sariel la jeune fille corrompue Anne-Marie Coffinet la patrone du deuxième bordel Pierre Londiche un enquêteur Catherine Coussot l'assistante sociale Adelita Requena la danseuse espagnole Nathalie Dalyan une fille de luxe Nicole Isimat une fille de luxe Jacky Foucault la fille en moto Philippe Gasté un inspecteur Jacques Dhéry un inspecteur Yves Afonso le placeur Stéphane Macha un trafiquant Martin Trévières un trafiquant Johnny Wessler un trafiquant César Torres un trafiquant Jean-Marie Arnoux un client Roger Trapp un client Bernard Salvage un client Guy Verda le client voleur Line Arnel la bonne Betty Berr Claudine Delvaux Janine Dill Barbara Doumer Anna Fisherova Elisabeth Gauttier Georges Gracias Michèle Krust Mélina Marco Régine Renoult Simone Rivault Ginette Rolland Corinne Saint-Laurent Marie Sirago Sophie Sydney Jacques Taris Armand Teruel Pascal Vidal Micheline Welter Yanky Michel Charrel Robert Darame Jean-Philippe Ancelle le balayeur Marthe Richard elle-même Dominique Paturel le narrateur (voix)
Film qui se veut un état des lieux de la prostitution dans le monde et en particulier en France en 1970.
Le film est construit comme un documentaire, mais ce n’en est pas un, les prostitués sont toutes jouées par des actrices plus ou moins connues. Il y a quand même une partie réaliste avec une étonnante interview de Marthe Richard.
Malheureusement le film ne dénonce rien, il accable plutôt les femmes qui se prostituent plutôt que de les défendre. Le pire est la partie réservé aux proxénètes, d’une part elle est très courte, d’autre part c’est là qu’on aurait aimé une vraie enquête pour comprendre l’odieux trafic dont se livre ces sous-hommes qui ne devraient pas avoir leur place sur Terre ! Il n’en est rien dans ce film complaisant, voir méprisant par moment pour les femmes obligées à se livrer à cet horrible commerce.-BDFF-Août 2015
« La volonté de J.C. Roy de « reconstituer » (tournage avec des acteurs et actrices, prises de vues en studios) est, en soi, louable. Car cela permet de « dominer son sujet » comme on dit. Mais il y a un problème de limites : À partir de quel moment le simple constat ne suffit-il plus ? À partir de quel moment au contraire, une fiction, une « dramatisation » s’impose-t-elle ? La reconstitution de J.C. Roy à des fins de concision, donc de style, s’impose à nous comme une autre, une simple réalité. N’aurait-elle pas dû s’imposer, au contraire, comme une véritable fiction « objectivement » reconstituée (c’est-à-dire sans âme) (…) les documentaires (…) devraient « retourner » les gens, leur faire prendre conscience ne serait-ce que de leur environnent. Or on sait bien que ce n’est pas le cas. (…) Croyez-vous que les gens soient assez libres, assez « sains », dans le cadre de cette société, pour pouvoir recevoir et assimiler un document, une enquête dite objective ? Faut-il être objectif ? » - Alain Laguarda, La Saison cinématographique 1970.
« Le chef-d‘œuvre de Jean-Claude Roy avec MASSACRES (1989), qui présente avec rigueur (Marthe Richard apporte physiquement sa caution) les éléments les plus variés sur la prostitution. Sur le fond, aucun reproche d’exagération ou de fictionnalisation ne peut être adressé à Roy. Le mérite de Roy, c’est d’avoir montré du vrai, mais un vrai si aberrant et fantasmatique en lui-même, dans sa vérité totale et de bout en bout, que le film atteint aisément une dimension surréaliste alors qu’il visait le documentaire et qu’il y réussit à la perfection. (…) Il est constitué d’une mosaïque de petites séquences dont chacune forme un tout. (..) elles sont pour la plupart hallucinantes et restent fixées dans les mémoires. (…) Roy est un cinéaste injustement méprisé par la critique. » - Francis Moury, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques, 2011.
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