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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Édith Jéhanne Elizabeth Tarakanova / Soeur Dosithée Paule Andral Catherine II Olaf Fjord Comte Orloff Rudolf Klein-Rogge Comte Chouvalof Camille Bert Amiral Griegh Charles Lamy Prince Charles Radziwill Antonin Artaud le tzigane Ernest Ferny Comte Potemkine Andrew Brunelle Kansow
Document sans nom
SCENARIO Raymond Bernard, André Lang et Ladislas Vajda ; IMAGES Jules Kruger et Georges Lucas ; DECORS Jean Perrier et Atthalin ; COSTUMES Boris Billinsky ; MUSIQUE arrangements d’Henri Rabaud d’après Borrodine, Moussorgski et Rimski-Korsakov ; ASSISTANTS REALISATEURS Jean Hémard ; PRODUCTION Franco-Films ; Tournage aux studios de la Victorine et dans la région niçoise de janvier à juillet 1929 ; Sonorisation supervisée par Josef Ermolieff ; Chanson « La Bohémienne » écrite par Raymond Bernard sur une musique d’André Roubaud ; Première au Théâtre de Pigalle le 3 juin 1930. Sortie publique le 26 septembre 1930 au cinéma Aubert-Palace ; Durée 122 min.
En Russie, au XVIIIe siècle. Tombé en disgrâce, le comte Chouvalof cherche à se venger de Catherine II dont la légitimité est contestée par beaucoup. Il va recherché une fille de la défunte impératrice Elisabeth pour la convaincre de prendre la tête des opposants à la souveraine honnie. Mais celle-ci à pris le voile sous le nom de sœur Dosithée et ne veut se mêler en rien aux affaires du monde. Le hasard met sur la route de l’intrigant une jeune bohémienne dont la ressemblance avec Élisabeth et Dosithée est proprement stupéfiante. Chouvalof parvient à convaincre la jeune fille, qui ignore tout de ses origines, qu’elle est bel et bien princesse de sang et qu’elle peut prétendre au trône de Russie…
NOTE(S) :
Achevé à un moment où le cinéma muet perd la faveur du public, le film doit être sommairement sonorisé avant de pouvoir sortir en salle. Des coupures sont faites, une partition musicale envahissante est ajoutée. L’héroïne, quant à elle, doit pousser la chansonnette…
Raymond Bernard écrit dans Échos de naguère : « Ma Tarakanova, aux personnages muets, ne pouvait plus surprendre ni satisfaire complètement les foules… Pourquoi, malgré cette carence technique, ai-je toujours gardé une sorte de tendresse à ce film ? Sans doute pour de nombreuses et confuses raisons… Et si cette réalisation ne me demanda ni plus ni moins d‘efforts que d‘autres, n‘ai-je pas donné à celle-là un peu plus de mon cœur ? Edith Jehanne qui, dans LE JOUEUR D’ECHECS, avait été la bouleversante jeune Polonaise, l’égérie des partisans, fut notre Tarakanova. Extraordinaire de poésie et d‘émotion, elle s‘y montra sans aucun doute l‘égale des plus grandes comédiennes du cinéma de cette époque ; et pourtant, ce fut-là sa dernière apparition. La parlant l‘effraya, elle ne pensait pas avoir une formation qui lui permît de l‘aborder. Et sa santé déclinait. Jamais plus je ne la revis et elle ne tarda pas à quitter ce monde ».
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Antonin Artaud et Edith Jehanne
Edith Jehanne et Edith Jehanne
Rudolf Klein Rogge et Edith Jehanne
Édith Jéhanne Elizabeth Tarakanova / Soeur Dosithée Paule Andral Catherine II Olaf Fjord Comte Orloff Rudolf Klein-Rogge Comte Chouvalof Camille Bert Amiral Griegh Charles Lamy Prince Charles Radziwill Antonin Artaud le tzigane Ernest Ferny Comte Potemkine Andrew Brunelle Kansow
SCENARIO Raymond Bernard, André Lang et Ladislas Vajda ; IMAGES Jules Kruger et Georges Lucas ; DECORS Jean Perrier et Atthalin ; COSTUMES Boris Billinsky ; MUSIQUE arrangements d’Henri Rabaud d’après Borrodine, Moussorgski et Rimski-Korsakov ; ASSISTANTS REALISATEURS Jean Hémard ; PRODUCTION Franco-Films ; Tournage aux studios de la Victorine et dans la région niçoise de janvier à juillet 1929 ; Sonorisation supervisée par Josef Ermolieff ; Chanson « La Bohémienne » écrite par Raymond Bernard sur une musique d’André Roubaud ; Première au Théâtre de Pigalle le 3 juin 1930. Sortie publique le 26 septembre 1930 au cinéma Aubert-Palace ; Durée 122 min.
En Russie, au XVIIIe siècle. Tombé en disgrâce, le comte Chouvalof cherche à se venger de Catherine II dont la légitimité est contestée par beaucoup. Il va recherché une fille de la défunte impératrice Elisabeth pour la convaincre de prendre la tête des opposants à la souveraine honnie. Mais celle-ci à pris le voile sous le nom de sœur Dosithée et ne veut se mêler en rien aux affaires du monde. Le hasard met sur la route de l’intrigant une jeune bohémienne dont la ressemblance avec Élisabeth et Dosithée est proprement stupéfiante. Chouvalof parvient à convaincre la jeune fille, qui ignore tout de ses origines, qu’elle est bel et bien princesse de sang et qu’elle peut prétendre au trône de Russie…
NOTE(S) :
Achevé à un moment où le cinéma muet perd la faveur du public, le film doit être sommairement sonorisé avant de pouvoir sortir en salle. Des coupures sont faites, une partition musicale envahissante est ajoutée. L’héroïne, quant à elle, doit pousser la chansonnette…
Raymond Bernard écrit dans Échos de naguère : « Ma Tarakanova, aux personnages muets, ne pouvait plus surprendre ni satisfaire complètement les foules… Pourquoi, malgré cette carence technique, ai-je toujours gardé une sorte de tendresse à ce film ? Sans doute pour de nombreuses et confuses raisons… Et si cette réalisation ne me demanda ni plus ni moins d‘efforts que d‘autres, n‘ai-je pas donné à celle-là un peu plus de mon cœur ? Edith Jehanne qui, dans LE JOUEUR D’ECHECS, avait été la bouleversante jeune Polonaise, l’égérie des partisans, fut notre Tarakanova. Extraordinaire de poésie et d‘émotion, elle s‘y montra sans aucun doute l‘égale des plus grandes comédiennes du cinéma de cette époque ; et pourtant, ce fut-là sa dernière apparition. La parlant l‘effraya, elle ne pensait pas avoir une formation qui lui permît de l‘aborder. Et sa santé déclinait. Jamais plus je ne la revis et elle ne tarda pas à quitter ce monde ».
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