Aucune vidéo à voir ou à télécharger sur ce site dont l'unique objet est de rendre hommage aux comédiens français, le lien Amazon permettant de se procurer légalement les oeuvres que je présente ici uniquement en photo
Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Jean Forest Jean Amsler Arlette Peyran Arlette Dutois Pierrette Houyez Pierrette Amsler Rachel Devirys Jeanne Dutois Victor Vina Pierre Amsler Jeanne Marie-Laurent la domestique Henri Duval le cantonier Suzy Vernon la mère de Jean Charles Barrois F. Greffin P. Lecoq Arturo Porchet le prêtre
Document sans nom
REALISATION Jacques Feyder ; SCENARIO Jacques Feyder, Françoise Rosay et Dimitri de Zoubaloff ; IMAGES Léonce-Henry Burel et Paul Parguel ; MUSIQUE Antonio Coppola ; PRODUCTION Mundus Film / Société Zoubaloff et Porchet (Suisse) / Société des Grands Films indépendants (France) ; Tournage en Suisse en 1923 ; Sortie le 24 Janvier 1925 ; DUREE 117 min (version restauré de 2004).
Dans un petit village du Haut-Vallais. La femme de Pierre Amsler meurt, le laissant désemparé avec ses deux enfants, Jean et la petite Pierrette. Il se remarie avec Jeanne Dutois, elle-même veuve et mère d’une petite fille, Arlette. Jean, inconsolable, ne parvient pas à accepter qu’une autre vienne prendre la place de sa mère et rejette les nouvelles venues. Il mène la vie dure à Arlette. Les enfants finissent par se détester…
« S'il me fallait retenir un seul film de toute la production française des années 20, c'est assurément VISAGES D'ENFANTS que je retiendrais... » - Jean Mitry
« (...) remarquable par sa sobriété, sa simplicité qui contraste violemment avec les recherches formelles de l’avant-garde française. Son originalité principale provient de ce que le récit est situé au niveau des enfants et en particulier du héros, le petit Jean. Ce point de vue se maintient sans artifice tout au long de l’intrigue et s’appuie sur une connaissance profonde de l’âme, de la psychologie et des comportements enfantins. Dramatiquement, stylistiquement, Feyder se met quelque peu dans les traces de Griffith : il s’attache à lier des péripéties de caractère mélodramatique à une description saisissante des éléments naturels. Mais la comparaison s’arrête là. Car la simplicité chez Feyder équivaut toujours à une certaine rigidité, à une sécheresse de ton (qui a ses mérites), à un refus du lyrisme et encore plus du délire. Pour toutes ces raisons, le film, dans les limites qu’il s’est lui-même fixées, est à son époque très représentatif du « goût français » au sens large, un goût que les « avant-gardistes » (Gance, L’Herbier, Epstein) avaient passablement malmené. (…) Admiré par la critique, le film fut néanmoins à sa sortie un fiasco complet (…) » - Jacques Lourcelles, Dictionnaire du cinéma ; Les Films. Coll. Bouquins, 1992
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Arlette Peyran et Pierrette Houyez
Pierrette Houyez et Jean Forest
Jean Forest Jean Amsler Arlette Peyran Arlette Dutois Pierrette Houyez Pierrette Amsler Rachel Devirys Jeanne Dutois Victor Vina Pierre Amsler Jeanne Marie-Laurent la domestique Henri Duval le cantonier Suzy Vernon la mère de Jean Charles Barrois F. Greffin P. Lecoq Arturo Porchet le prêtre
REALISATION Jacques Feyder ; SCENARIO Jacques Feyder, Françoise Rosay et Dimitri de Zoubaloff ; IMAGES Léonce-Henry Burel et Paul Parguel ; MUSIQUE Antonio Coppola ; PRODUCTION Mundus Film / Société Zoubaloff et Porchet (Suisse) / Société des Grands Films indépendants (France) ; Tournage en Suisse en 1923 ; Sortie le 24 Janvier 1925 ; DUREE 117 min (version restauré de 2004).
Dans un petit village du Haut-Vallais. La femme de Pierre Amsler meurt, le laissant désemparé avec ses deux enfants, Jean et la petite Pierrette. Il se remarie avec Jeanne Dutois, elle-même veuve et mère d’une petite fille, Arlette. Jean, inconsolable, ne parvient pas à accepter qu’une autre vienne prendre la place de sa mère et rejette les nouvelles venues. Il mène la vie dure à Arlette. Les enfants finissent par se détester…
« S'il me fallait retenir un seul film de toute la production française des années 20, c'est assurément VISAGES D'ENFANTS que je retiendrais... » - Jean Mitry
« (...) remarquable par sa sobriété, sa simplicité qui contraste violemment avec les recherches formelles de l’avant-garde française. Son originalité principale provient de ce que le récit est situé au niveau des enfants et en particulier du héros, le petit Jean. Ce point de vue se maintient sans artifice tout au long de l’intrigue et s’appuie sur une connaissance profonde de l’âme, de la psychologie et des comportements enfantins. Dramatiquement, stylistiquement, Feyder se met quelque peu dans les traces de Griffith : il s’attache à lier des péripéties de caractère mélodramatique à une description saisissante des éléments naturels. Mais la comparaison s’arrête là. Car la simplicité chez Feyder équivaut toujours à une certaine rigidité, à une sécheresse de ton (qui a ses mérites), à un refus du lyrisme et encore plus du délire. Pour toutes ces raisons, le film, dans les limites qu’il s’est lui-même fixées, est à son époque très représentatif du « goût français » au sens large, un goût que les « avant-gardistes » (Gance, L’Herbier, Epstein) avaient passablement malmené. (…) Admiré par la critique, le film fut néanmoins à sa sortie un fiasco complet (…) » - Jacques Lourcelles, Dictionnaire du cinéma ; Les Films. Coll. Bouquins, 1992
Vous pouvez déposer un commentaire :