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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Bernard Dhéran le docteur Valory Jean Pierre Andreani René Arnal Lucien Baroux Mr Geodesias François Borel Abel Morin Madeleine Lambert Madeleine Morin Maurice Risch Ricard Giselle Pascal Madeleine Hazelaire Hélène Tossy Aurelle Michel Creton Giroux René Bouloc Durieux Jean Paul Tribout Lardin Joël Monteilhet Boquet Marie Salemata Caroline
Document sans nom
Résumé : Pièce de Lucien Descaves (membre de l'Académie Goncourt), créée en 1926, mise en scène pour la télévision par Abder Isker. De jeunes étudiants de province venus à Paris préparer les concours d'entrées dans les grandes écoles logent dans une paisible pension de famille. Un jour, une séduisante jeune veuve fait son apparition, semant le trouble dans le coeur de ces jeunes gens. La déclaration de guerre mettra un terme à cette belle et amère aventure qui n'aura duré qu'un printemps. Désormais les garçons de vingt ans, après avoir éprouvé les délices et les affres d'un premier amour, ne vont plus penser qu'à la mort. Un des personnages de "Coeur ébloui", le vieux professeur anarchiste et misanthrope Geodesias est le reflet fidèle de l'auteur. Mots clés : pièce de théâtre (Le Coeur ébloui) ; Paris ; pension de famille ; étudiant ; amour (premier) ; jeune homme (20 ans) ; veuf (veuve) ; professeur (anarchiste) ; mort
Note : Première apparition sur un écran de Michel Creton et de Jean-Paul Tribout
Critique de Guillaume Hanoteau, télé 7 jours N°230, 15/08/64 :
Une réussite Certes, la pièce que nous vîmes samedi, « Le Cœur ébloui », de Lucien Descaves, n'appartient pas au théâtre d'aujourd'hui. Elle porte les marques d'un autre temps. Et, cependant, nous avons pris plaisir à la regarder et à l'écouter, et nous avons eu la conviction que ce plaisir était partagé par de très nombreux spectateurs. L'histoire qui formait la trame de ce « Cœur ébloui » était simple. Elle n'avait pas recours à une psychologie très poussée. Depuis, on a écrit des choses autrement profondes sur l'adolescence. Mais, pour être fruste, son métal n'en était pas moins franc, sans paille et sans complaisance. Et puis, il y a des thèmes qui nous toucheront toujours. La découverte de l'amour par des êtres très jeunes est un de ceux-ci. Thème d'autant plus émouvant que, dans « Le Cœur ébloui », cette jeunesse était, dès les premières images, menacée par la mort et vouée aux tueries de 1914. Ce genre de pièce, plus que d'autres, joue sa réussite sur la qualité de sa distribution. « Le Cœur ébloui », mis en scène par Abder Isker, a gagné la partie grâce à Gisèle Pascal qui sut être, pour éblouir quelques collégiens, plus belle encore qu'elle ne le fût aux pleins feux de sa beauté, à Jean-Pierre Andréani, un des éblouis, et à Lucien Baroux, toujours charmant dans les rôles d'hurluberlu. Mais grondons Jacques Chabannes, qui fit l'adaptation et qui laissa dans la bouche de M. Geodesias, le vieux professeur libertaire : « Je suis sorti de Normale Supérieure dans un mauvais rang. » Jacques Chabannes sait bien qu'à Normale il n'y a ni concours ni classement de sortie.
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Bernard Dhéran le docteur Valory Jean Pierre Andreani René Arnal Lucien Baroux Mr Geodesias François Borel Abel Morin Madeleine Lambert Madeleine Morin Maurice Risch Ricard Giselle Pascal Madeleine Hazelaire Hélène Tossy Aurelle Michel Creton Giroux René Bouloc Durieux Jean Paul Tribout Lardin Joël Monteilhet Boquet Marie Salemata Caroline
Résumé : Pièce de Lucien Descaves (membre de l'Académie Goncourt), créée en 1926, mise en scène pour la télévision par Abder Isker. De jeunes étudiants de province venus à Paris préparer les concours d'entrées dans les grandes écoles logent dans une paisible pension de famille. Un jour, une séduisante jeune veuve fait son apparition, semant le trouble dans le coeur de ces jeunes gens. La déclaration de guerre mettra un terme à cette belle et amère aventure qui n'aura duré qu'un printemps. Désormais les garçons de vingt ans, après avoir éprouvé les délices et les affres d'un premier amour, ne vont plus penser qu'à la mort. Un des personnages de "Coeur ébloui", le vieux professeur anarchiste et misanthrope Geodesias est le reflet fidèle de l'auteur. Mots clés : pièce de théâtre (Le Coeur ébloui) ; Paris ; pension de famille ; étudiant ; amour (premier) ; jeune homme (20 ans) ; veuf (veuve) ; professeur (anarchiste) ; mort
Note : Première apparition sur un écran de Michel Creton et de Jean-Paul Tribout
Critique de Guillaume Hanoteau, télé 7 jours N°230, 15/08/64 :
Une réussite Certes, la pièce que nous vîmes samedi, « Le Cœur ébloui », de Lucien Descaves, n'appartient pas au théâtre d'aujourd'hui. Elle porte les marques d'un autre temps. Et, cependant, nous avons pris plaisir à la regarder et à l'écouter, et nous avons eu la conviction que ce plaisir était partagé par de très nombreux spectateurs. L'histoire qui formait la trame de ce « Cœur ébloui » était simple. Elle n'avait pas recours à une psychologie très poussée. Depuis, on a écrit des choses autrement profondes sur l'adolescence. Mais, pour être fruste, son métal n'en était pas moins franc, sans paille et sans complaisance. Et puis, il y a des thèmes qui nous toucheront toujours. La découverte de l'amour par des êtres très jeunes est un de ceux-ci. Thème d'autant plus émouvant que, dans « Le Cœur ébloui », cette jeunesse était, dès les premières images, menacée par la mort et vouée aux tueries de 1914. Ce genre de pièce, plus que d'autres, joue sa réussite sur la qualité de sa distribution. « Le Cœur ébloui », mis en scène par Abder Isker, a gagné la partie grâce à Gisèle Pascal qui sut être, pour éblouir quelques collégiens, plus belle encore qu'elle ne le fût aux pleins feux de sa beauté, à Jean-Pierre Andréani, un des éblouis, et à Lucien Baroux, toujours charmant dans les rôles d'hurluberlu. Mais grondons Jacques Chabannes, qui fit l'adaptation et qui laissa dans la bouche de M. Geodesias, le vieux professeur libertaire : « Je suis sorti de Normale Supérieure dans un mauvais rang. » Jacques Chabannes sait bien qu'à Normale il n'y a ni concours ni classement de sortie.
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