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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Bernard Noël (François Vidocq) Geneviève Fontanel (Annette) Jacqueline Danno (Justine) Yvon Sarray (Le maire) Jean-Pierre Rambal (Emile, le garde champêtre) Michel Salina (M. de Charbeaux) Bernard Musson (Le notaire Bardoux) Robert Porte (M. de Flochereau) Roger Trapp (Le paysan) Jacques Seiler (Henri Desfossés) Alain Mottet (Flambart) Bernard La Jarrige (Le cocher)
Document sans nom
Résumé: Dans leur fuite de Bicêtre, Vidocq, Annette et Desfossés sont poursuivis par Flambard. Vidocq saute du fiacre afin d'entrainer le policier. Vidocq se bat avec le policier, le ligote à un arbre, lui prend ses papiers et son véhicule.
Un peu plus tard, il est arrêté par un garde-champêtre qui lui demande ses papiers. Un crime a eu lieu dans l'auberge de la mule noire. Vidocq va donc mener l'enquête en se faisant passer pour Flambard. Tout accuse la bonne du lieu, Justine, qui crie son innocence...
Note : Le nom de Bruno Balp figure dans le générique, mais c'est une erreur il s'agit de Roger Trapp.
Lettre d'une téléspectatrice dans le numéro 359 de télé 7 jours du 4 février 1967 :
Vive Vidocq ! « Toute la ville », je puis le dire, attend impatiemment la fin des Actualités Télévisées du samedi soir pour assister aux aventures de « Vidocq ». Quel merveilleux feuilleton, passionnant et drôle, souvent émouvant et toujours plein de « suspense ». Et puis, quelle interprétation ! Bernard Noël et fous les acteurs sont si étonnamment « intégrés » à leurs personnages que, vraiment, nous y croyons. Vive Vidocq ! De M. VÀLMARY, Montauban.
La critique de Guillaume Hanoteau dans le numéro 359 de télé 7 jours du 4 février 1967 :
Depuis plus d'un mois déjà, nos fins de semaine sont revigorées par un feuilleton, un des meilleurs qu'il nous ait été donné de voir à la Télévision, dans la grande tradition française du roman populaire. Nous devons ce plaisir hebdomadaire à Georges Neveux, qui a ressuscité pour nous le célèbre Vidocq. Car, avant d'inspirer à Balzac, Vautrin et à Hugo, Jean Valjean, ce bagnard évadé et devenu en 1809 un chef de la police, a existé. Il a même, avant de mourir, confié le soin à deux hommes de lettres de rédiger les quatre volumes de ses Mémoires.
Neveux y a puisé modérément. Il a préféré se fier à son imagination, et il a eu raison. Les aventures qu'il a prêtées à son héros, aventures qui " auraient pu" et qui, même "auraient dû arriver à Vidocq", ont beaucoup plus de mouvement et de rythme que les histoires plus ou moins véridiques advenues à l'argousin qui tourna mal, puisqu'il finit par se faire chasser de la Sûreté pour vol.
Marcel Bluwal et Claude Loursais illustrent à tour de rôle ce récit en y ajoutant un attrait, celui de découvrir le nom du réalisateur à la fin de chaque épisode. Etait-ce le style de Bluwal ou celui de Loursais ? Un excellent concours qui pourrait même servir d'examen d'entrée à l'I.D.H.E.C.
Bernard Noël, lui, est permanent. I1 est Vidocq ou, plutôt, il est le Vidocq 1967 revu et corrigé par Neveux, le Vidocq authentique de 1809 étant beaucoup moins sympathique et moins beau garçon. I1 a, du moins, de sa tombe, fait une bonne action. Il a enfin offert à l'excellent comédien Bernard Noël le rôle que celui-ci attendait depuis longtemps et qui va faire de lui une vedette à part entière, demain réclamée par le cinéma. Quant à son « ennemi », Alain Mottet-Flambart, il confirme une nouvelle fois sa classe.
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Genevieve Fontanel et Bernard Noel
Jacqueline Danno et Bernard Noel
Michel Salina et Bernard Musson
Bernard Noël (François Vidocq) Geneviève Fontanel (Annette) Jacqueline Danno (Justine) Yvon Sarray (Le maire) Jean-Pierre Rambal (Emile, le garde champêtre) Michel Salina (M. de Charbeaux) Bernard Musson (Le notaire Bardoux) Robert Porte (M. de Flochereau) Roger Trapp (Le paysan) Jacques Seiler (Henri Desfossés) Alain Mottet (Flambart) Bernard La Jarrige (Le cocher)
Résumé: Dans leur fuite de Bicêtre, Vidocq, Annette et Desfossés sont poursuivis par Flambard. Vidocq saute du fiacre afin d'entrainer le policier. Vidocq se bat avec le policier, le ligote à un arbre, lui prend ses papiers et son véhicule.
Un peu plus tard, il est arrêté par un garde-champêtre qui lui demande ses papiers. Un crime a eu lieu dans l'auberge de la mule noire. Vidocq va donc mener l'enquête en se faisant passer pour Flambard. Tout accuse la bonne du lieu, Justine, qui crie son innocence...
Note : Le nom de Bruno Balp figure dans le générique, mais c'est une erreur il s'agit de Roger Trapp.
Lettre d'une téléspectatrice dans le numéro 359 de télé 7 jours du 4 février 1967 :
Vive Vidocq ! « Toute la ville », je puis le dire, attend impatiemment la fin des Actualités Télévisées du samedi soir pour assister aux aventures de « Vidocq ». Quel merveilleux feuilleton, passionnant et drôle, souvent émouvant et toujours plein de « suspense ». Et puis, quelle interprétation ! Bernard Noël et fous les acteurs sont si étonnamment « intégrés » à leurs personnages que, vraiment, nous y croyons. Vive Vidocq ! De M. VÀLMARY, Montauban.
La critique de Guillaume Hanoteau dans le numéro 359 de télé 7 jours du 4 février 1967 :
Depuis plus d'un mois déjà, nos fins de semaine sont revigorées par un feuilleton, un des meilleurs qu'il nous ait été donné de voir à la Télévision, dans la grande tradition française du roman populaire. Nous devons ce plaisir hebdomadaire à Georges Neveux, qui a ressuscité pour nous le célèbre Vidocq. Car, avant d'inspirer à Balzac, Vautrin et à Hugo, Jean Valjean, ce bagnard évadé et devenu en 1809 un chef de la police, a existé. Il a même, avant de mourir, confié le soin à deux hommes de lettres de rédiger les quatre volumes de ses Mémoires.
Neveux y a puisé modérément. Il a préféré se fier à son imagination, et il a eu raison. Les aventures qu'il a prêtées à son héros, aventures qui " auraient pu" et qui, même "auraient dû arriver à Vidocq", ont beaucoup plus de mouvement et de rythme que les histoires plus ou moins véridiques advenues à l'argousin qui tourna mal, puisqu'il finit par se faire chasser de la Sûreté pour vol.
Marcel Bluwal et Claude Loursais illustrent à tour de rôle ce récit en y ajoutant un attrait, celui de découvrir le nom du réalisateur à la fin de chaque épisode. Etait-ce le style de Bluwal ou celui de Loursais ? Un excellent concours qui pourrait même servir d'examen d'entrée à l'I.D.H.E.C.
Bernard Noël, lui, est permanent. I1 est Vidocq ou, plutôt, il est le Vidocq 1967 revu et corrigé par Neveux, le Vidocq authentique de 1809 étant beaucoup moins sympathique et moins beau garçon. I1 a, du moins, de sa tombe, fait une bonne action. Il a enfin offert à l'excellent comédien Bernard Noël le rôle que celui-ci attendait depuis longtemps et qui va faire de lui une vedette à part entière, demain réclamée par le cinéma. Quant à son « ennemi », Alain Mottet-Flambart, il confirme une nouvelle fois sa classe.
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