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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Pierre Vaneck Sylvio Ivan Desny Grégory Robert Etcheverry Bronsky Henri Jacques Huet Alexandre Nicolas Bataille l'officier Diane Drieux Natacha
Document sans nom
Adaptation de la nouvelle éponyme d'Alexandre Pouchkine, écrite en 1830, traduite en français par Prosper Mérimée en 1856. En garnison dans une petite ville, un officier de l'armée impériale russe rencontre Silvio, ancien soldat et tireur exceptionnel. Celui-ci fait forte impression sur lui, jusqu'au jour où il refuse, suite à un affront, de se battre en duel. Silvio explique qu'il ne s'agit pas de lâcheté de sa part. Il avait jadis défié un homme qui, parfaitement indifférent à la mort, mangeait des cerises en attendant qu'il tire. Voyant ceci, Silvio avait annoncé qu'il préférait réserver son coup de pistolet pour un moment où son adversaire tiendrait plus à la vie. Depuis ce jour, il attendait le moment propice, sans pouvoir mettre sa propre existence en danger. Peu après cette explication, Silvio disparaît sans laisser de traces. Quelques années plus tard, le narrateur rend visite à l'un de ses voisins auquel les hasards de la conversation l'amènent à parler de Silvio. Le voisin révèle alors qu'il est le fameux adversaire « aux cerises » et que, si Silvio avait disparu de la petite ville de garnison, c'était pour se rendre chez lui. Ayant appris le mariage de son adversaire, Silvio avait en effet jugé venue l'heure de tirer son coup de pistolet. Lors du duel, Silvio offre à son adversaire la possibilité de tirer une nouvelle fois. Il manque Silvio qui le met alors en joue et, voyant sa peur, se considère comme satisfait. En partant, il prouve par un tir exceptionnel qu'il aurait pu le tuer s'il l'avait voulu. Dans les dernières lignes de la nouvelle, le narrateur révèle la mort héroïque de Silvio, lors de la guerre d'indépendance grecque. Mots clés : adaptation d'oeuvre ; nouvelle littéraire (Le Coup de pistolet) ; duel ; pistolet ; courage ; tireur (d'élite)
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Ivan Desny
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Pierre Vaneck
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Pierre Vaneck
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Pierre Vaneck
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Pierre Vaneck
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Robert Etcheverry
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Robert Etcheverry
Pierre Vaneck Sylvio Ivan Desny Grégory Robert Etcheverry Bronsky Henri Jacques Huet Alexandre Nicolas Bataille l'officier Diane Drieux Natacha
Adaptation de la nouvelle éponyme d'Alexandre Pouchkine, écrite en 1830, traduite en français par Prosper Mérimée en 1856. En garnison dans une petite ville, un officier de l'armée impériale russe rencontre Silvio, ancien soldat et tireur exceptionnel. Celui-ci fait forte impression sur lui, jusqu'au jour où il refuse, suite à un affront, de se battre en duel. Silvio explique qu'il ne s'agit pas de lâcheté de sa part. Il avait jadis défié un homme qui, parfaitement indifférent à la mort, mangeait des cerises en attendant qu'il tire. Voyant ceci, Silvio avait annoncé qu'il préférait réserver son coup de pistolet pour un moment où son adversaire tiendrait plus à la vie. Depuis ce jour, il attendait le moment propice, sans pouvoir mettre sa propre existence en danger. Peu après cette explication, Silvio disparaît sans laisser de traces. Quelques années plus tard, le narrateur rend visite à l'un de ses voisins auquel les hasards de la conversation l'amènent à parler de Silvio. Le voisin révèle alors qu'il est le fameux adversaire « aux cerises » et que, si Silvio avait disparu de la petite ville de garnison, c'était pour se rendre chez lui. Ayant appris le mariage de son adversaire, Silvio avait en effet jugé venue l'heure de tirer son coup de pistolet. Lors du duel, Silvio offre à son adversaire la possibilité de tirer une nouvelle fois. Il manque Silvio qui le met alors en joue et, voyant sa peur, se considère comme satisfait. En partant, il prouve par un tir exceptionnel qu'il aurait pu le tuer s'il l'avait voulu. Dans les dernières lignes de la nouvelle, le narrateur révèle la mort héroïque de Silvio, lors de la guerre d'indépendance grecque. Mots clés : adaptation d'oeuvre ; nouvelle littéraire (Le Coup de pistolet) ; duel ; pistolet ; courage ; tireur (d'élite)
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