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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Michel de Ré (Le commandant X) Philippe Lemaire (Roger) Jacques Alric (Stéphane Strogol) Colette Teissèdre (Colette) Louis Bugette (Dessinateur le maquignon) Michel Morano (Le voyageur à l'ampoule) Jacques Ebner (Le voyageur à la valise) Silvia Solar (Bella) Raymonde Vattier (L'Anglaise) Jacques Champreux (Le maître d'hôtel de la boîte de nuit) Suzanne Gossen (Une employée) Henri Shkerane (Le dessinateur) Gaston Voignez (Le voyageur corpulent) Henri Jouf (L'homme du compartiment 2) Pierval (Le patron de la FRAM) Jean-Michel Molé (Le petit homme)
Document sans nom
Résumé : L'action de ce dixième et dernier épisode de la série, une chasse à l'espion, se situe en 1964, dans le train rapide international "Edelweiss" qui va de Zürich à Amsterdam, avec des retours en arrière dans une boîte à Pigalle en 1960, un atelier de dessin à la F.R.A.M., un salon de thé de l'île Saint Louis, l'appartement de Roger... Pourquoi le commandant X est-il monté dans ce train ? Ce n'est sans doute pas pour le seul plaisir d'y rencontrer, installé dans un des compartiments, un de ses vieux camarades de lycée. Depuis vingt ans, le commandant n'a revu Roger que deux fois, dans des circonstances étrangement opposées : la première fois, Roger semblait fort satisfait mais il s'est révélé que sa situation était moins que brillante ; la seconde fois, au contraire il jouissait apparemment de confortables revenus, mais il était visiblement inquiet. De là à rendre Roger plus que suspect, il n'y a qu'un pas. Mais le voyage se révèle mouvementé. D'inquiétants personnages rôdent dans les couloirs et lorsque les deux amis s'en vont fêter, verre en main, leur rencontre au wagon-restaurant, une mystérieuse poudre est découverte dans l'un des verres... Si le commandant X s'intéresse tant aux activités de Roger, est-ce parce qu'il le suspecte ou au contraire parce qu'il cherche à le protéger ? Le dénouement fournira la clef de l'énigme de cette affaire d'espionnage déclenchée par un vol de documents secrets au ministère de l'Air. Mots clés : 1964 ; espionnage ; enquête de police ; train (Zürich Amsterdam) ; vol-infraction (documents secrets) ; suspense ; amitié ; boîte de nuit ; Paris ; quartier (Pigalle)
L'analyse d'Alain B :
Un épisode très intéressant pour finir: L'insecte (Philippe Lemaire) est dans la toile de l'araignée (Michel de Ré). Il a beau se défendre; il est irrémédiablement entraîné vers le centre de la toile où il va se faire dévorer. Il faut dire que Michel de Ré n'a que des complices dans ce train qui vont l'aider dans sa démarche. Et en plus Philippe Lemaire va croire jusqu'au bout que Michel de Ré est son ami alors que celui-ci va tout faire pour qu'il soit condamné au maximum
Commandant X est donc une bonne série même si elle n'a pas eu les moyens qu'une série britannique de très bon niveau avec un espion comme héros: "Danger man" en français "Destination danger" qui se déroulait dans les mêmes années avec un Patrick Mac Goohan plus virevoltant que notre bedonnant Michel de Ré.
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Commandant X Le dossier Edelweiss
Colette Teissedre Philippe Lemaire
Louis Bugette Raymonde Vattier
Michel de Ré (Le commandant X) Philippe Lemaire (Roger) Jacques Alric (Stéphane Strogol) Colette Teissèdre (Colette) Louis Bugette (Dessinateur le maquignon) Michel Morano (Le voyageur à l'ampoule) Jacques Ebner (Le voyageur à la valise) Silvia Solar (Bella) Raymonde Vattier (L'Anglaise) Jacques Champreux (Le maître d'hôtel de la boîte de nuit) Suzanne Gossen (Une employée) Henri Shkerane (Le dessinateur) Gaston Voignez (Le voyageur corpulent) Henri Jouf (L'homme du compartiment 2) Pierval (Le patron de la FRAM) Jean-Michel Molé (Le petit homme)
Résumé : L'action de ce dixième et dernier épisode de la série, une chasse à l'espion, se situe en 1964, dans le train rapide international "Edelweiss" qui va de Zürich à Amsterdam, avec des retours en arrière dans une boîte à Pigalle en 1960, un atelier de dessin à la F.R.A.M., un salon de thé de l'île Saint Louis, l'appartement de Roger... Pourquoi le commandant X est-il monté dans ce train ? Ce n'est sans doute pas pour le seul plaisir d'y rencontrer, installé dans un des compartiments, un de ses vieux camarades de lycée. Depuis vingt ans, le commandant n'a revu Roger que deux fois, dans des circonstances étrangement opposées : la première fois, Roger semblait fort satisfait mais il s'est révélé que sa situation était moins que brillante ; la seconde fois, au contraire il jouissait apparemment de confortables revenus, mais il était visiblement inquiet. De là à rendre Roger plus que suspect, il n'y a qu'un pas. Mais le voyage se révèle mouvementé. D'inquiétants personnages rôdent dans les couloirs et lorsque les deux amis s'en vont fêter, verre en main, leur rencontre au wagon-restaurant, une mystérieuse poudre est découverte dans l'un des verres... Si le commandant X s'intéresse tant aux activités de Roger, est-ce parce qu'il le suspecte ou au contraire parce qu'il cherche à le protéger ? Le dénouement fournira la clef de l'énigme de cette affaire d'espionnage déclenchée par un vol de documents secrets au ministère de l'Air. Mots clés : 1964 ; espionnage ; enquête de police ; train (Zürich Amsterdam) ; vol-infraction (documents secrets) ; suspense ; amitié ; boîte de nuit ; Paris ; quartier (Pigalle)
L'analyse d'Alain B :
Un épisode très intéressant pour finir: L'insecte (Philippe Lemaire) est dans la toile de l'araignée (Michel de Ré). Il a beau se défendre; il est irrémédiablement entraîné vers le centre de la toile où il va se faire dévorer. Il faut dire que Michel de Ré n'a que des complices dans ce train qui vont l'aider dans sa démarche. Et en plus Philippe Lemaire va croire jusqu'au bout que Michel de Ré est son ami alors que celui-ci va tout faire pour qu'il soit condamné au maximum
Commandant X est donc une bonne série même si elle n'a pas eu les moyens qu'une série britannique de très bon niveau avec un espion comme héros: "Danger man" en français "Destination danger" qui se déroulait dans les mêmes années avec un Patrick Mac Goohan plus virevoltant que notre bedonnant Michel de Ré.
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