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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Pierre Michael Toby Tartas, dit Tob Paul Muller Dino Darcelli Marilù Tolo Lia Darcelli Albert Médina Charlie Casal Mario David Arnaud Alos Christine Roux Céline Cécile Surbled Christine Gil Vidal Didier, le fils de bonne famille Christian Barbier Commissaire Beuil Robert Dadies Paco Edmond Beauchamp Ramon Jean Renou le valet Jean-Pierre Helbert le maître d’hôtel
Document sans nom
Les Malfaisants
Réalisation : Jean Kerchbron (1975)
Adaptation & dialogues : Jean Kerchbron
D’après le roman de Fred Noro
Directeur de la photographie : Christian Pétard (couleurs)
Prises de vues : René Versini
Assistant prise de vues : Roger Wrona
Bruitage : André Naudin
Musique : Guy Scornik
Orchestre : Michel Bernhol
Prise de son : Jean Pantaloni
Assistant son : Georges Perbet
Montage : Jean-Claude Huguet
: Dominique Debor
Décors : Marie-Claire Musson
Costumes : Jérôme Tramini
Premier assistant réalisateur : Bernard Saint-Jacques
Second assistant réalisateur : Alain Devaux
Scripte : Denise Martin
Production ; Evelyne Madec & Jacques Pol
Diffusion : 22/01/1975
L'histoire d'une vengeance. Tob était un partenaire de Dino en Amérique du sud, à la tête d'une société de transports. Il était l'amant de Lia. Les deux hommes acceptent de faire traverser la frontière à un opposant politique. Sur la route, ce dernier meurt d'épuisement. Dino et Tob découvrent sur lui 500 millions de francs en diamants à se partager. Mais Tob est bientôt accusé à tort d'un meurtre. Les autorités veulent un coupable et le condamnent à mort. Dino refuse de lui servir d'alibi et Lia n'intervient pas davantage. Il est condamné à mort. Quatre ans plus tard, Tob, qui fut peu après libéré, surgit en plein Paris pour régler ses comptes. Il tisse une toile complexe autour de ses anciens complices qui le croyaient mort. Un tueur est chargé de l'abattre. Tob est persuadé d'une seule chose: "Un salaud reste un salaud. Il n'y a pas d'exception." Ce à quoi, le commissaire chargé de démêler ce réglement de comptes lui répond: "On ne sait jamais, Hitler aimait bien son chien."
Fred Noro fut un prolifique romancier du Fleuve Noir. "Les Malfaisants" fut publié dans la collection "Spécial Police" en 1968, sous le n° 639. L'intrigue ne brille pas vraiment par son originalité. Un conte de Monte-Cristo à la sauce polar, une morale pessimiste sur la nature humaine (un salaud est toujours un salaud), un commissaire compréhensif, une machination. Il faut signaler le personnage risible du tueur, interprété par Mario David. Son flingue s'enraille au moment d'abattre Tob ! Quel rebondissement! Sinon, il n'y avait plus d'histoire, plus de vengeance à accomplir. Ce tueur était présenté comme l'un des meilleurs de sa catégorie, un coriace. Mais les flingues de la S.F.P., faut vraiment s'en méfier. Seul point satisfaisant de cette dramatique , tournée à l'économie, sa distribution convaincante, dominé par le tourmenté Paul Muller, la viscosité d'Albert Medina et le charme (un peu sacrifié) de Marilù Tolo.
Fiche entièrement réalisée par Christophe Bier, novembre 2016
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robert dadies & edmond beauchamp
Pierre Michael Toby Tartas, dit Tob Paul Muller Dino Darcelli Marilù Tolo Lia Darcelli Albert Médina Charlie Casal Mario David Arnaud Alos Christine Roux Céline Cécile Surbled Christine Gil Vidal Didier, le fils de bonne famille Christian Barbier Commissaire Beuil Robert Dadies Paco Edmond Beauchamp Ramon Jean Renou le valet Jean-Pierre Helbert le maître d’hôtel
Les Malfaisants
Réalisation : Jean Kerchbron (1975)
Adaptation & dialogues : Jean Kerchbron
D’après le roman de Fred Noro
Directeur de la photographie : Christian Pétard (couleurs)
Prises de vues : René Versini
Assistant prise de vues : Roger Wrona
Bruitage : André Naudin
Musique : Guy Scornik
Orchestre : Michel Bernhol
Prise de son : Jean Pantaloni
Assistant son : Georges Perbet
Montage : Jean-Claude Huguet
: Dominique Debor
Décors : Marie-Claire Musson
Costumes : Jérôme Tramini
Premier assistant réalisateur : Bernard Saint-Jacques
Second assistant réalisateur : Alain Devaux
Scripte : Denise Martin
Production ; Evelyne Madec & Jacques Pol
Diffusion : 22/01/1975
L'histoire d'une vengeance. Tob était un partenaire de Dino en Amérique du sud, à la tête d'une société de transports. Il était l'amant de Lia. Les deux hommes acceptent de faire traverser la frontière à un opposant politique. Sur la route, ce dernier meurt d'épuisement. Dino et Tob découvrent sur lui 500 millions de francs en diamants à se partager. Mais Tob est bientôt accusé à tort d'un meurtre. Les autorités veulent un coupable et le condamnent à mort. Dino refuse de lui servir d'alibi et Lia n'intervient pas davantage. Il est condamné à mort. Quatre ans plus tard, Tob, qui fut peu après libéré, surgit en plein Paris pour régler ses comptes. Il tisse une toile complexe autour de ses anciens complices qui le croyaient mort. Un tueur est chargé de l'abattre. Tob est persuadé d'une seule chose: "Un salaud reste un salaud. Il n'y a pas d'exception." Ce à quoi, le commissaire chargé de démêler ce réglement de comptes lui répond: "On ne sait jamais, Hitler aimait bien son chien."
Fred Noro fut un prolifique romancier du Fleuve Noir. "Les Malfaisants" fut publié dans la collection "Spécial Police" en 1968, sous le n° 639. L'intrigue ne brille pas vraiment par son originalité. Un conte de Monte-Cristo à la sauce polar, une morale pessimiste sur la nature humaine (un salaud est toujours un salaud), un commissaire compréhensif, une machination. Il faut signaler le personnage risible du tueur, interprété par Mario David. Son flingue s'enraille au moment d'abattre Tob ! Quel rebondissement! Sinon, il n'y avait plus d'histoire, plus de vengeance à accomplir. Ce tueur était présenté comme l'un des meilleurs de sa catégorie, un coriace. Mais les flingues de la S.F.P., faut vraiment s'en méfier. Seul point satisfaisant de cette dramatique , tournée à l'économie, sa distribution convaincante, dominé par le tourmenté Paul Muller, la viscosité d'Albert Medina et le charme (un peu sacrifié) de Marilù Tolo.
Fiche entièrement réalisée par Christophe Bier, novembre 2016
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