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La chatte sort ses griffes
Anne Tonietti et Francoise Arnoul
Anne Tonietti
Bernard Lajarrige et Jacques Fabbri
Chris Van Loosen
France Asselin et Francoise Arnoul
Francois Guerin
Francoise Arnoul et Francois Guerin
Francoise Arnoul et Harold Kay
Francoise Arnoul
Georges Atlas
Gerard Darrieu et Francoise Spira
Ginette Pigeon et Horst Frank
Harold Kay
Horst Frank
Jacques Fabbri et Francoise Spira
Jacques Fabbri et Harold Kay
Jacques Fabbri
Jean Pierre Zola
LA CHATTE SORT SES GRIFFES
Robert Berri
Werner Peters
Françoise ARNOUL Cora, "La Chatte" Horst FRANK Major Von Hollwitz Harold KAY Charles Jacques FABBRI Gustave, chef du réseau sud François GUÉRIN Louis, un résistant Anne TONIETTI Maud, femme de Louis Bernard LAJARRIGE Dalmier, dit Athos Françoise SPIRA Marie-José, fille de Gustave Gérard DARRIEU Jean-Lou, gendre de Gustave Michel JOURDAN Tonio, l'opérateur radio Werner PETERS le général allemand Jean-Pierre ZOLA un officier allemand Ginette PIGEON l'infirmière allemande Chris VAN LOOSEN Clara Anna GAYLOR Mlle Lepage, l'assistante sociale Robert LE FORT un cheminot Albert MICHEL un cheminot Jean BERTON le cheminot résistant Gabriel GOBIN le conducteur de la locomotive Robert BERRI le chauffeur du camion Albert MÉDINA le patron du restaurant France ASSELIN Mme Buisson Georges ATLAS le barman Liliane PATRICK la secrétaire de Dalmier
Le succès de « La Chatte » en 1958 entraîna dès l’année suivante la mise en œuvre d’une suite, « La Chatte sort ses griffes », où l’on retrouve Jacques Rémy au scénario, Henri Decoin à la réalisation et bien entendu Françoise Arnoul, même si l’actrice n’était pas vraiment convaincue par le bien-fondé de cette démarche. Quant aux spectateurs du premier film, ils jugeaient l’idée d’une suite totalement improbable. Pour rendre le scénario crédible, la dernière scène de « La Chatte » ne fut pas utilisée mais tournée de nouveau.
De la distribution d’origine, ne reste que Michel Jourdan mais dans un nouveau personnage. Dans une interview de 2004, présente en bonus de l’édition DVD, Françoise Arnoul regrette le manque de moyens de la production, particulièrement évident lors d’un dénouement qui se voulait spectaculaire. Certes moins réussi que le premier film, cet opus demeure malgré tout intéressant et la distribution d’ensemble est bonne : cette fois, côté allemand, on ne retrouve pas l’inquiétant Kurt Meisel mais Jacques Fabbri et Bernard Lajarrige en chefs de la Résistance sont très crédibles.
A noter que si le titre choisi est amusant, il ne cadre pas du tout avec le contenu du film !
Jean-Paul Briant, Février 2023
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