Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
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Anne de Chabaneix
Beatrice Costantini
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Bernadette Lafont
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Bernadette Lafont
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Bernadette lafont et Jean Pierre Leaud
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Bernadette lafont et Jean Pierre Leaud
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Cecile Decugis
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Cecile Decugis
Charlet Recors a gauche
Christian Van Cau
David Medveczky
Jean Pierre Kalfon et Bernadette Lafont
Jean Pierre Leaud et Bernadette Lafont
Jean-Claude Castelli
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Kate Manheim
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Kate Manheim
Lise Beaulieu
M Arbousset a gauche
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Paul
Philippe Rousselot
Stephane Kurc a gauche
X le cousin et Francoise Aubier
Bernadette Lafont Jean-Pierre Léaud Jean-Pierre Kalfon Béatrice Costantini Christian Van Cau Léonie Lousseau Kate Manheim
Réalisation : Diourka Medveczky
Scénario : Diourka Medveczky
Image : Charlet Recors
Assistant opérateur : Philippe Rousselot
Montage : Diourka Medveczky
Musique : Smetana, Michel Puig, Jean-Pierre Drouet
Assistants réalisateurs : Stéphane Kurc, Pierre Geller
Électricien : Jean Merel
Scripte : Martine Kalfon
Durée : 92 minutes
Présentation au rencontres d’ Hyères en avril 1969
Paul fuit sa famille bourgeoise et parcours la France. Il séjourne chez son cousin qui s‘adonne à la drogue, puis se lie avec le « pèlerin » et son groupe, des sages qui fuient eux aussi la société mais n’ont pas chassé en eux les démons du mal. Paul vit avec eux jusqu’au jour où leur chef trahit les préceptes qu’il inculque. Il fuit alors avec Marianne, la femme de celui-ci. Tous deux s’installent sur une île déserte, mais un escadron d’entrepreneurs débarque… - Résumé coffret Diourka-Laffont - Filmedia, par Bernard Bastide, 2012
CRITIQUE(S):
« PAUL de Dourka Medveczky, apologie « gauchiste » de l’ascétisme végétarien opposé lui aussi, encore et toujours à la « société de consommation » (on ne parle jamais de notre société comme d’une société de sous-consommation ou de non consommation pour le plus grand nombre), dont l’argument nous paraît très contestable, mais dont la beauté formelle traduit une sincérité, une émotion indéniable, un écho d’insatisfaction écorchée qu’il faut entendre (…) . » - Albert Cervoni, L’Humanité, 30 avril 1969
« Il s‘agit d‘une œuvre tout à fait originale, à la fois pamphlet rageur d‘une intransigeance inouïe contre une société corrompue, et poème quasi biblique prônant un retour à la nature (un thème d‘actualité qui inspire de nombreux cinéastes), essai convaincant et convaincant d‘autodestruction par soif d‘absolu. » - Jean-Louis Passek, Les Nouvelles littéraires, 2 mai 1969
« L‘œuvre de Medveczky saisit d‘abord par sa beauté formelle, sorte d‘incantation mystique (…). Lourd de résonances symboliques et atteignant parfois une dimension métaphysique, PAUL est un film unique qui, malgré quelques imperfections, notamment une première demi-heure un peu laborieuse, révèle un tempérament d‘artiste particulièrement doué. » - Jean A. Gili, Cinéma 69 n°137, juin 1969
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017
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