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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Jean-Pierre Armand Max Richard Bigotini Manu Lydie Colette Agnès Lemercier Rose, la bonne Monique Carrère Fernande, la première veuve Karine Gambier Eve, la seconde veuve Geneviève Hue la femme cambriolée Gérard Grégory le charbonnier / un homme aux condoléances Pierre B. Reinhard un homme aux condoléances
Document sans nom
Titre original : LECHE-MOI PARTOUT
Titre vidéo : LA SERVANTE PERVERSE
Réalisation : Francis Leroi
Scénario et dialogues : Francis Leroi
Image : François About
Assistant opérateur : Thierry Arbogast
Montage : Alain Deruelle
Son : Dominique Levert
Musique : Jean-Pierre Pourret, Dany Darras
Maquillage : Eric Pierre
Assistant réalisation : Pierre B. Reinhard
Chef machiniste : Nacer Saber
Chef électricien : Eric Guadagnin
Directeur de production : Richard Bigotini
Production : Les Films de Palais Royal
Tournage : 1977
Extérieurs : Château de la Bûcherie, Saint-Cyr-en-Arthies (95)
Distribution : Alpha France
Sortie le 8 mars 1978
Un cambriolage tourne mal. Alors qu’il visite un appartement, Max est surpris par la maîtresse des lieux qui, revolver au poing, le contraint à assouvir ses appétits. Coup rude pour Max qui décide de trouver un emploi plus tranquille. Il répond à une petite annonce recherchant un chauffeur de maître. Contrat en poche, et flanqué de son compère Manu, Max arrive dans une maison en grand deuil. Le défunt manque déjà beaucoup à ses veuves, Fernande et Eve ainsi qu‘à Rose, la bonne, et ces dames insistent pour que Max honore son engagement. Pour vaincre ses réticences elles offrent à Manu un emploi de jardinier. Voilà Max parti pour six mois d’un service très actif. D’autant que Colette, la fille de Fernande, a elle aussi ses exigences.
CRITIQUE(S):
« Trait caractéristique de ce film : son héros… Boy-scout (« toujours prêt ! ») ou Superman du sexe, Max est un donneur infatigable malgré les exigences renouvelées de ses nombreuses partenaires… L’excès peut-être une forme d’humour : ce n’est pas le cas ici. » - Jacques Chevalier, La Saison cinématographique 1978
« Un des meilleurs films de Leroi. Sans doute parce qu’ici, il sert simplement un sujet au lieu de prétendre à l’esthétisme ou à l’intellectualisme. La comédie vulgaire est transcendée et un étrange climat s’installe dans plusieurs séquences, renforcée par le soin apporté à la photographie. Ainsi la scène où Jenny Feeling se « masturbe devant » puis « s’empale sur » Jean-Pierre Armand endormi tourne-t-elle à l’onirisme le plus pur (…) une des plus belles scènes pornographique jamais filmée. Le scénario accumule les occasions subversives (…) cela change un peu de l’ambiance inquisitoire et policière qui s’est abattue sur la sexualité française à la fin du XXe siècle, en partie provoquée par l’obscénité forcenée et mercantile des mass-média actuels (…) » - Francis Moury, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, Serious Publishing, 2011.
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017
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Gerard Gregory et Agnes Lemercier
Karine Gambier et Jean Pierre Armand
Jean-Pierre Armand Max Richard Bigotini Manu Lydie Colette Agnès Lemercier Rose, la bonne Monique Carrère Fernande, la première veuve Karine Gambier Eve, la seconde veuve Geneviève Hue la femme cambriolée Gérard Grégory le charbonnier / un homme aux condoléances Pierre B. Reinhard un homme aux condoléances
Titre original : LECHE-MOI PARTOUT
Titre vidéo : LA SERVANTE PERVERSE
Réalisation : Francis Leroi
Scénario et dialogues : Francis Leroi
Image : François About
Assistant opérateur : Thierry Arbogast
Montage : Alain Deruelle
Son : Dominique Levert
Musique : Jean-Pierre Pourret, Dany Darras
Maquillage : Eric Pierre
Assistant réalisation : Pierre B. Reinhard
Chef machiniste : Nacer Saber
Chef électricien : Eric Guadagnin
Directeur de production : Richard Bigotini
Production : Les Films de Palais Royal
Tournage : 1977
Extérieurs : Château de la Bûcherie, Saint-Cyr-en-Arthies (95)
Distribution : Alpha France
Sortie le 8 mars 1978
Un cambriolage tourne mal. Alors qu’il visite un appartement, Max est surpris par la maîtresse des lieux qui, revolver au poing, le contraint à assouvir ses appétits. Coup rude pour Max qui décide de trouver un emploi plus tranquille. Il répond à une petite annonce recherchant un chauffeur de maître. Contrat en poche, et flanqué de son compère Manu, Max arrive dans une maison en grand deuil. Le défunt manque déjà beaucoup à ses veuves, Fernande et Eve ainsi qu‘à Rose, la bonne, et ces dames insistent pour que Max honore son engagement. Pour vaincre ses réticences elles offrent à Manu un emploi de jardinier. Voilà Max parti pour six mois d’un service très actif. D’autant que Colette, la fille de Fernande, a elle aussi ses exigences.
CRITIQUE(S):
« Trait caractéristique de ce film : son héros… Boy-scout (« toujours prêt ! ») ou Superman du sexe, Max est un donneur infatigable malgré les exigences renouvelées de ses nombreuses partenaires… L’excès peut-être une forme d’humour : ce n’est pas le cas ici. » - Jacques Chevalier, La Saison cinématographique 1978
« Un des meilleurs films de Leroi. Sans doute parce qu’ici, il sert simplement un sujet au lieu de prétendre à l’esthétisme ou à l’intellectualisme. La comédie vulgaire est transcendée et un étrange climat s’installe dans plusieurs séquences, renforcée par le soin apporté à la photographie. Ainsi la scène où Jenny Feeling se « masturbe devant » puis « s’empale sur » Jean-Pierre Armand endormi tourne-t-elle à l’onirisme le plus pur (…) une des plus belles scènes pornographique jamais filmée. Le scénario accumule les occasions subversives (…) cela change un peu de l’ambiance inquisitoire et policière qui s’est abattue sur la sexualité française à la fin du XXe siècle, en partie provoquée par l’obscénité forcenée et mercantile des mass-média actuels (…) » - Francis Moury, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, Serious Publishing, 2011.
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017
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