Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Claudia Zante et Yves Collignon
Joelle Coeur et Roland Charbaux
Maurice Illouz et Monique Vita
Monique Vita et Maurice Illouz
Pierre Danny et Liliane Ponzio
Sarah Sterling Yves Collignon Jean Luisi
Valerie Boisgel et Henri Genes
Valerie Boisgel et Michel Vocoret
Anne Libert Sylvie Pierre Danny André Valérie Boisgel Martine Michel Vocoret Patrick Monique Vita Maryse Maurice Illouz Etienne Serge Davri le comte Gabriel de Lachaune Annie Belle la jeune femme Yves Collignon le jeune homme Henri Genès le paysan Joëlle Coeur Vicky, la manucure Sarah Sterling Mme Maréchal,l'épicière nymphomane Jean Luisi Maréchal, l'épicier Bernard Musson le majordome Jacqueline Doyen Soeur Angélique Richard Darbois le groom France Quennie la soubrette Liliane Ponzio l'épicière effrayée Roland Charbaux le receptionniste Marie-France Morel une participante au rallye Albert Begards un participant au rallye Claudia Zante une invitée à la soirée Jeanne Duval Marc Siles Marcel Richard un invité à la soirée Marie-Noelle Louvet Carmelo Petix des invités à la soirée - insert hard
Réalisation : Serge Korber (Alain Nauroy crédité)
Scénario et dialogues : Michel Vocoret
Image : Claude Bécognée
Montage : Marie-Claire Korber, assistée de Dartey et Nadizae
Son : Antoine Bonfanti
Musique : Alain Goraguer
Maquillage : Maguy Vernadet
Chef électricien : Georges Chardon
Chef machiniste : René Péquignot
Assistants réalisateurs : Bernard Guillou et Alain Nauroy
Script : Danièle Giacomini
Régie : Jean-Pierre Sammut
Directeur de production : Henri Baum
Production : Serge Korber - Colombus Productions
Distribution : Lusofrance
Tournage : 1974
Sortie le 6 novembre 1974
Le comte de Lachaune, hôtelier richissime et libertin organise un rallye érotique. Un phallus d’or d’une valeur de cinquante mille francs sera attribué au couple justifiant du plus grand nombre de relations sexuelles. Cinq couples sont en lice pour s’adjuger le précieux trophée…
CRITIQUE(S) :
« LE RALLYE DES JOYEUSES pulvérise avec aisance les records de vulgarité et les limites du supportable. Cette interminable course en sexe constitue l’apothéose du plus détestable esprit gaulois. Livrés à eux-mêmes, les malheureux acteurs font n’importe quoi : le pauvre Henri Genès enlève son pantalon, les traditionnelles Joëlle Cœur et Anne Libert exécutent leur numéro habituel (…) et les techniciens, pressés d’en finir, accumulent les mauvaises prises. L’auteur, peut-être vaguement honteux d’un tel ratage, se dissimule sous un pseudonyme. Il est des films bâclés, mais sympathiques, celui-ci allie la prétention à la stupidité. » - Raymond Lefèvre, La Saison cinématographique 1975.
« (…) Que cette comédie soit débile, passe encore, pour peu qu’elle le soit tellement que cela nous amène au-delà du miroir. Mais elle est seulement terne, lugubre, interminable et pas érotique du tout (…) Monique Vita assume avec une énergie méritoire l’idiotie de l’action (…) » - Edgard Baltzer, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, Serious Publishing, 2011.
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017