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Gilda Arancio X et Catherine Laurent
Johnny Wessler et Antonia Lotito
Magda Mundari et Raymond Schettino
Olivier Mathot et Sandra Julien
Olivier Mathot Mario Santini et Claude Boisson
Raymond Schettino et Magda Mundari
SYGMA 3 Mario Lanfranchi au centre
SYGMA 3 Silvia Solar et Armando Calvo
Sandra Julien Magda Silvia Solar Silvia Magda Mundari Yvette Olivier Mathot Rasky Gillian Gill Madame Zozo Raymond Schettino M. Gaston Evelyne Scott une captive Gilda Arancio une captive Antonia Lotito Mimie, une captive Catherine Laurent Suzanne, une captive Chantal Broquet une captive Jean Roville Dupré, le directeur d'interpol Claude Boisson un homme de main de Silvia Johnny Wessler un homme de main de Mme Zozo Mario Santini Calvet François Marcignac André Cambrésy Claude Sendron M. Henri Jack Taylor Jack - extraits de Sygma 3 Remo De Angelis Georgie - extraits de Sygma 3 Mia Genberg Angelique - extraits de Sygma 3 Armando Calvo extraits de Sygma 3 Mario Lanfranchi extraits de Sygma 3
Réalisation : Pierre Chevalier (comme Peter Knight), Gian Paolo Callegari (pour les extraits de Sygma 3, agent spécial)
Scénario : Marius Lesoeur (comme A. L. Mariaux), Pierre Chevalier, Gian Franco Riccioni
Dialogues : Marius Lesoeur
Image : Gérard Brissaud
Caméra : Etienne Rosenfeld
Montage : Luigi Batzella
Son : Pierre Goumy
Musique : Daniel Whit
Maquillage : Ultimo Peruzzi
Assistant réalisateur : Tiziano Cortini
Script : M. Ciafre
Régie : Madeleine Quisquandon
Directeur de production : Marius Lesoeur
Producteur délégué : Daniel Lesoeur
Production : Marius Lesoeur - Eurociné (France) / Remo Angioli - CRC (Italie)
Tournage : septembre 1973
Sortie le 21 août 1974
M. Gaston, un client amoureux, aide Yvette à s'échapper du bordel où elle était retenue. Au commissariat de police, la jeune femme décrit les circonstances de son enlèvement et comment elle s'est retrouvée prisonnière de « La Maison des filles perdues » tenue d'une main de fer par Madame Zozo. Sur ces renseignements, Interpol lance ses agents sur la piste d’un réseau de traite des blanches dirigé par la redoutable Silvia...
CRITIQUE(S):
« Ce film de Peter Knight, (…) s’apparente davantage au genre « policier sexy » d’il y a vingt ans qu’à la production érotique actuelle. Bref, c’est une histoire de « traite des blanches » comme on pourrait en lire dans « Détective » , où tous les stéréotypes sont au rendez-vous (…) quant au séquences « érotiques », elles sont si peu nécessaires au récit (assez rondement mené, convenons-en) et si artificielles, qu’on les croirait rajoutées après coup pour permettre une meilleure exploitation du film. » - Yves Enogat, La Saison cinématographique 1975
« Dans les années 60, Eurociné abuse de séquences additionnelles pour érotiser des films espagnols qui ne l’étaient pas du tout (…). Parfois le procédé est plus ambitieux : les inserts deviennent de vraies scènes qui modifient l’intrigue même du film (…) Cette MAISON DES FILLES PERDUES reprend ce périlleux exercice, détournant une bonne quarantaine de minutes d’un film d ‘espionnage italo-espagnol SIGMA 3, AGENT SPECIAL (Paolo Callegari, 1966) en polar sexy sur un réseau de traite des Blanches. Les raccords sot toujours décelables et Silvia Solar, commune aux deux films, n’a pas la même coiffure.(…) La série B trépidante, dans laquelle Jack se démène à coups de poings, d’accélérateur et de flingue, se mue alors en série Z indolente dans laquelle Sandra gambade en jupe ultra courte et se laisse caresser les seins (…) Ce patchwork peu digeste servira à son tour à la fabrication de L’OASIS DES FILLES PERDUES. Avec Eurociné, rien ne se perd… » - Christophe Bier, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, Serious Publishing, 2011.
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017