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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Gérard Lecaillon l'Innocent Henri Nassiet Francet Mamaï Louise Conte Rose Mamaï Charles Vanel Balthazar Paul Barge Frederi Armand Meffre patron Marc Francine Olivier Vivette Berthe Bovy mère Renaud Pierre Hatet Mitifio Valérie Boisgel la servante Michel Ferrand le premier valet Roger Mars le deuxième valet Jean Negroni voix off Jean Galtat cascadeur
Document sans nom
Adaptation de l'oeuvre éponyme d'Alphonse Daudet, nouvelle parue en 1869 dans le recueil "Les Lettres de mon Moulin" et pièce de théâtre tirée trois ans plus tard par l'auteur lui-même de cette nouvelle. Frédéri aime l'Arlésienne (qui n'apparaît jamais sur scène) et la demande en mariage, dédaignant l'amour de Vivette. Mais l'Arlésienne appartient à un autre : un gardien de chevaux peut prouver qu'elle est sa maîtresse. Désespéré, Frédéri repousse obstinément la pauvre Vivette. Pour le voir heureux, sa mère irait jusqu'à accueillir chez elle la femme perdue. Alors Frédéri, ému, se ravise et décide d'épouser Vivette pour donner à sa mère une bru digne d'elle. Toutefois son amour n'est pas éteint : à peine apprend-il que le gardien de chevaux, jaloux a décidé d'enlever l'Arlésienne qu'il sent renaître sa passion et Vivette l'empêche à grand-peine d'abattre son rival. Incapable de dominer sa folle jalousie, Frédéri se tue. Cette douloureuse aventure d'amour est aussi une évocation de la vie provençale. Mots clés : adaptation d'oeuvre ; nouvelle littéraire (L'Arlésienne) ; pièce de théâtre (L'Arlésienne) ; amour (malheureux) ; passion ; jeunesse ; suicide ; mariage (de raison) ; jalousie ; Provence ; Camargue
Date de 1re diffusion : dimanche 01/01/1967
Durée : 01:35:00
Note : Sans doute l'un des tout premiers téléfilms français enregistré en couleur.
La critique de Guillaume Hanoteau, télé 7 jours N°355 du 7 janvier 1967
La cruelle et invisible « Arlésienne » — que nous avons vue en projection privée — a déjà fait beaucoup sangloter la France. A ce capital humide sont certainement venues se joindre les larmes que les amateurs de Télévision n'ont pas dû manquer de verser, le soir du 1er janvier. L'histoire du pauvre Frédéri nous a été racontée avec goût dans d'admirables paysages de Provence et dans la maison même où le drame se déroula. Ces paysages, j'ai eu le privilège de les voir en couleurs et sur le grand écran. Ils ajoutaient, c'est certain, une dimension nouvelle à la tragédie d'amour. En noir et blanc, ont-ils perdu un peu de leurs sortilèges ? Je le crains, mais l'œuvre populaire d'Alphonse Daudet est assez robuste pour ne pas avoir souffert de ce soleil supprimé. J'ai regretté, aussi, que la célèbre tirade de Rose Mamaï : « Etre mère, c'est l'enfer », ait été dite en voix intérieure. C'était priver Louise Conte d'un grand cheval de bataille.
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Charles Vanel et Henri Nassiet
Henri Nassiet et Valerie Boisgel
Louise Conte et Valerie Boisgel
Gérard Lecaillon l'Innocent Henri Nassiet Francet Mamaï Louise Conte Rose Mamaï Charles Vanel Balthazar Paul Barge Frederi Armand Meffre patron Marc Francine Olivier Vivette Berthe Bovy mère Renaud Pierre Hatet Mitifio Valérie Boisgel la servante Michel Ferrand le premier valet Roger Mars le deuxième valet Jean Negroni voix off Jean Galtat cascadeur
Adaptation de l'oeuvre éponyme d'Alphonse Daudet, nouvelle parue en 1869 dans le recueil "Les Lettres de mon Moulin" et pièce de théâtre tirée trois ans plus tard par l'auteur lui-même de cette nouvelle. Frédéri aime l'Arlésienne (qui n'apparaît jamais sur scène) et la demande en mariage, dédaignant l'amour de Vivette. Mais l'Arlésienne appartient à un autre : un gardien de chevaux peut prouver qu'elle est sa maîtresse. Désespéré, Frédéri repousse obstinément la pauvre Vivette. Pour le voir heureux, sa mère irait jusqu'à accueillir chez elle la femme perdue. Alors Frédéri, ému, se ravise et décide d'épouser Vivette pour donner à sa mère une bru digne d'elle. Toutefois son amour n'est pas éteint : à peine apprend-il que le gardien de chevaux, jaloux a décidé d'enlever l'Arlésienne qu'il sent renaître sa passion et Vivette l'empêche à grand-peine d'abattre son rival. Incapable de dominer sa folle jalousie, Frédéri se tue. Cette douloureuse aventure d'amour est aussi une évocation de la vie provençale. Mots clés : adaptation d'oeuvre ; nouvelle littéraire (L'Arlésienne) ; pièce de théâtre (L'Arlésienne) ; amour (malheureux) ; passion ; jeunesse ; suicide ; mariage (de raison) ; jalousie ; Provence ; Camargue
Date de 1re diffusion : dimanche 01/01/1967
Durée : 01:35:00
Note : Sans doute l'un des tout premiers téléfilms français enregistré en couleur.
La critique de Guillaume Hanoteau, télé 7 jours N°355 du 7 janvier 1967
La cruelle et invisible « Arlésienne » — que nous avons vue en projection privée — a déjà fait beaucoup sangloter la France. A ce capital humide sont certainement venues se joindre les larmes que les amateurs de Télévision n'ont pas dû manquer de verser, le soir du 1er janvier. L'histoire du pauvre Frédéri nous a été racontée avec goût dans d'admirables paysages de Provence et dans la maison même où le drame se déroula. Ces paysages, j'ai eu le privilège de les voir en couleurs et sur le grand écran. Ils ajoutaient, c'est certain, une dimension nouvelle à la tragédie d'amour. En noir et blanc, ont-ils perdu un peu de leurs sortilèges ? Je le crains, mais l'œuvre populaire d'Alphonse Daudet est assez robuste pour ne pas avoir souffert de ce soleil supprimé. J'ai regretté, aussi, que la célèbre tirade de Rose Mamaï : « Etre mère, c'est l'enfer », ait été dite en voix intérieure. C'était priver Louise Conte d'un grand cheval de bataille.
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