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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Sandra Julien Carole Janine Reynaud Murielle Yves Vincent le prêtre Patrick Verde Michel Michel Lemoine Hugo Alain Hitier Eric Michel Vocoret Olivier Richard Saint-Bris le père de Carole France-Noëlle la mère de Carole Michel Charrel un forain Bob Ingarao un forain André Chazel le psychanaliste Colette Mareuil la sexologue Antoinette Martin Lucie, la secrétaire Hélène Tossy Mme François Denis Seurat le jeune homme Odile Astie Jacques Anton Patrice Dubois Max Pécas l'homme de la vitrine
Document sans nom
SCENARIO Max Pécas et Claude Mulot ; IMAGE Robert Lefebvre ; MONTAGE Michel Pécas ; PRODUCTION Max Pécas - Les films du Griffon
Résumé Éditions LCJ : Carole, jeune secrétaire de Menton, vit encore chez ses parents. Son éducation rigide lui fait refuser les avances de son fiancé Éric, jusqu‘au jour où la demoiselle tombe malencontreusement dans l‘ascenseur. Le choc est brutal. Carole est devenue nymphomane. Ne contrôlant plus ses sens, la jeune femme devient rapidement la victime de ses propres désirs. Surprise nue à son travail avec le neveu de son patron, Carole perd son fiancé, son emploi et finit répudiée par son père. Devenue persona non grata, Carole quitte sa Provence pour Paris où un poste de vendeuse lui est proposé dans la boutique d‘un couple de libertins…
« D‘une stupidité insigne et réactionnaire, interprété par des acteurs n‘ayant visiblement pas eu le temps d‘apprendre leur texte. Ce qui n‘est d‘ailleurs que peu d‘importance, le dialoguiste n‘ayant pas pris celui de l‘écrire. Si l‘on en croit la publicité, un certain Max Pécas aurait réalisé une sorte de mise en scène pour cette chose. » - François Chevassu, La saison cinématographique 1972
« Beaucoup moins anodin que la banale « pécasserie » à laquelle on l‘a souvent assimilé, JE SUIS UNE NYMPHOMANE se situe aux confluents du film noir et du cinéma érotique, les deux grandes inspirations du cinéaste, avant la comédie (…) La psychanalyse est sans doute de comptoir, mais elle a au moins le mérite d‘être convoquée et abordée avec un sérieux papal (…) se ressent ici, au-delà des artifices et des ficelles propres à la série B, un réel et indiscutable plaisir à faire du cinéma, et à le monter.» - Grégory Alexandre, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques, 2011
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Alain Hitier et Antoinette Martin
France Noelle et Sandra Julien
Patrick Verde et Sandra Julien
X3 a gauche une auto stoppeuse
Sandra Julien Carole Janine Reynaud Murielle Yves Vincent le prêtre Patrick Verde Michel Michel Lemoine Hugo Alain Hitier Eric Michel Vocoret Olivier Richard Saint-Bris le père de Carole France-Noëlle la mère de Carole Michel Charrel un forain Bob Ingarao un forain André Chazel le psychanaliste Colette Mareuil la sexologue Antoinette Martin Lucie, la secrétaire Hélène Tossy Mme François Denis Seurat le jeune homme Odile Astie Jacques Anton Patrice Dubois Max Pécas l'homme de la vitrine
SCENARIO Max Pécas et Claude Mulot ; IMAGE Robert Lefebvre ; MONTAGE Michel Pécas ; PRODUCTION Max Pécas - Les films du Griffon
Résumé Éditions LCJ : Carole, jeune secrétaire de Menton, vit encore chez ses parents. Son éducation rigide lui fait refuser les avances de son fiancé Éric, jusqu‘au jour où la demoiselle tombe malencontreusement dans l‘ascenseur. Le choc est brutal. Carole est devenue nymphomane. Ne contrôlant plus ses sens, la jeune femme devient rapidement la victime de ses propres désirs. Surprise nue à son travail avec le neveu de son patron, Carole perd son fiancé, son emploi et finit répudiée par son père. Devenue persona non grata, Carole quitte sa Provence pour Paris où un poste de vendeuse lui est proposé dans la boutique d‘un couple de libertins…
« D‘une stupidité insigne et réactionnaire, interprété par des acteurs n‘ayant visiblement pas eu le temps d‘apprendre leur texte. Ce qui n‘est d‘ailleurs que peu d‘importance, le dialoguiste n‘ayant pas pris celui de l‘écrire. Si l‘on en croit la publicité, un certain Max Pécas aurait réalisé une sorte de mise en scène pour cette chose. » - François Chevassu, La saison cinématographique 1972
« Beaucoup moins anodin que la banale « pécasserie » à laquelle on l‘a souvent assimilé, JE SUIS UNE NYMPHOMANE se situe aux confluents du film noir et du cinéma érotique, les deux grandes inspirations du cinéaste, avant la comédie (…) La psychanalyse est sans doute de comptoir, mais elle a au moins le mérite d‘être convoquée et abordée avec un sérieux papal (…) se ressent ici, au-delà des artifices et des ficelles propres à la série B, un réel et indiscutable plaisir à faire du cinéma, et à le monter.» - Grégory Alexandre, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques, 2011
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