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Christine Schwarz et Elisabeth Bure
Christine Schwarz et Elisabeth Bure
Elisabeth Bure et Christine Schwarz
Gabriel Pontello et Dominique Saint Claire
Helene Shirley et Richard Allan
Laura Clair Alain Plumey X1 et X2
Christina Schwartz Patricia Élisabeth Buré Jeannette Claude Loir Vincent Guy Royer Albert Richard Allan Victor Dominique Saint Claire Judith Hélène Shirley Élisabeth Mika une invitée Hubert Géral Bernard Dominique Aveline Bertrand Cathy Stewart Julie Nadine Roussial Françoise Gabriel Pontello Jean-Louis Laura Clair une invitée Alain Plumey un invité Piotr Stanislas un invité
Réalisation : Claude Bernard-Aubert (comme Burd Tranbaree)
Scénario et dialogues : Claude Bernard-Aubert
Chef opérateur : Pierre Fatori
Montage : Gabriel Rongier
Musique : Alain Goraguer (comme Paul Vernon)
Assistante réalisateur : Philippe Attal
Directeur de production : René Demoulin
Production : Claude Bernard-Aubert - Shangrila Productions / Francis Mischkind - FFCM
Distribution : Alpha France
Sortie le 17 juin 1981
Pour parfaire son éducation, la jeune Patricia est confié par sa mère à Vincent, châtelain raffiné et fétichiste amoureux des dessous noirs. En plus des bonnes manières, Patricia se voit inculquer, par le moyen d’un ingénieux dispositif voyeuriste, le goût de la séduction et du libertinage.
CRITIQUE(S) :
« Le discours sadien de cette nouvelle PHILOSOPHIE DANS LE BOUDOIR est, comme l’on pouvait s’y attendre, malencontreusement perverti et affadi par les modalités de l’expression propre à Burd Tranbaree. D’un film pavé de bonnes intentions, il ne reste que quelques éclairs de dialogues (…). Quand à l’héroïne, sa transformation reste trop peu étudiée, malgré l’insistance sur quelques points de détail (…). Allan, pour une fois remarquablement sobre, est obligé de profiter des partouzes de ses maîtres pour détourner au passage une coupe de champagne ou faire quelques pas de menuet irrésistibles avec un autre domestique. Mais l’afféterie de l’ensemble ne cache-t-elle pas plutôt une certaine limitation cinématographique ? » - Pascal Martinet, La Saison cinématographique 1981.
« (...) Tempérée par une ironie constante (le jeu de Richard Allan et de Piotr Stanislas, assez surprenant) cette invitation au voyage vers le temple de Cythère est servie par une photo, des décors, une musique et une réalisation dont l’homogénéité aboutit à un parfait exemple du produit Alpha France standard appartenant à l’une des deux veines déterminées par son directeur : le rêve. Il est interprété par la majorité des stars féminines de l’époque : beau casting, luxueux (…). » - Francis Moury, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques, 2011.
« Un des plus gros succès commerciaux du X français, et aussi un des derniers avant l’expansion fulgurante de la vidéo. A quoi peut-on attribuer cet impact ? Probablement à la conjonction de quatre éléments : Le thème de l’initiation, qui à fait ses preuves dans le domaine de l’érotique (…) Le fétichisme, annoncé par un excellent titre, suggestif à souhait (…) Enfin Tranbaree théorise la philosophie de l’échangisme qui prend son essor dans les années 70 (…) Ajoutons-y les atouts collatéraux qui tiennent essentiellement au soin de la mise en scène (…)au supplément d’humour (…) à la personnalité de Christina Schwartz, à son naturel gouailleur (...). » - Gérard Lenne, Le cinéma X, La Musardine, 2012
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017