Quand la liberté venait du ciel :
Les miliciens
Marcel Moussy - 1967
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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Geneviève Grad (Hélène) Pierre Richard (1° milicien) Jean-Pierre Garcia (2° milicien) James Ince (Le jeune américain) Jean-Pierre Ducos (Le petit basque) Marius Laurey (L’homme taxi) Jerry Brouer (Un policier allemand) Henri Khun (Un policier allemand) Jean Valmont (Albert) Paul Crauchet (Henri) Michel Dacquin (L’officier allemand) Bruce Johansen (Mike Roberts) Alain Sens-Cazenave (Le traitre) André Nader (François)
Document sans nom
Résumé : Henry, qui a failli être capturé, n’est pas au rendez-vous fixé avec Hélène. Celle-ci se retrouve bloquée, en compagnie d’un jeune aviateur américain, à la gare d’Oloron Ste-Marie. Elle dessine un plan afin que l’américain retrouve le chemin d’une cache et part à la recherche d’Albert et d’Henry.
L’américain rencontre un jeune basque qui, après lui avoir jeté son plan, le conduit chez ses parents. Sa mère refusant de l’héberger, il part dans la montagne avec l’américain.
Hélène, de son côté, se voit aborder par des miliciens dont l’un d’eux la drague. Après les avoir semée, elle rejoint l’endroit où se trouvaient Albert et Henry mais ils ne sont plus là. Elle va finalement aller à l’hôtel où une chambre lui est réservée. Elle retrouve Albert et passe la nuit avec lui. Au petit matin, les miliciens débarquent et celui qui la draguait est tout près de la violer. Elle est sauvée par l’arrivée des soldats allemands qui chassent les miliciens.
Albert et Hélène, maintenant prisonniers, sont interrogés par l’officier allemand. Afin de ne pas parler, Albert se jette par la fenêtre. Dans la confusion qui s’en suit, Hélène s’échappe et s’enfuit en courant.
L'analyse d'Alain B :
Cela va de plus en plus mal pour nos résistants: le chef (Jean Valmont) va sortir du jeu.
L'épisode est surtout centré sur Hélène. A une époque où pouvoir communiquer avec les autres n'était pas facile, beaucoup de marche pour souvent pas grand chose.
Si Hélène retrouve Albert; elle n'aura comme Germaine (épisode Défense d'aimer) qu'une nuit d'amour avant la chute de son couple.
Geneviève Grad est très lumineuse dans cet épisode bien sombre où Pierre Richard a, pour une fois, un rôle de vrai salopard.
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Jean Pierre Garcia et Pierre Richard
Geneviève Grad (Hélène) Pierre Richard (1° milicien) Jean-Pierre Garcia (2° milicien) James Ince (Le jeune américain) Jean-Pierre Ducos (Le petit basque) Marius Laurey (L’homme taxi) Jerry Brouer (Un policier allemand) Henri Khun (Un policier allemand) Jean Valmont (Albert) Paul Crauchet (Henri) Michel Dacquin (L’officier allemand) Bruce Johansen (Mike Roberts) Alain Sens-Cazenave (Le traitre) André Nader (François)
Résumé : Henry, qui a failli être capturé, n’est pas au rendez-vous fixé avec Hélène. Celle-ci se retrouve bloquée, en compagnie d’un jeune aviateur américain, à la gare d’Oloron Ste-Marie. Elle dessine un plan afin que l’américain retrouve le chemin d’une cache et part à la recherche d’Albert et d’Henry.
L’américain rencontre un jeune basque qui, après lui avoir jeté son plan, le conduit chez ses parents. Sa mère refusant de l’héberger, il part dans la montagne avec l’américain.
Hélène, de son côté, se voit aborder par des miliciens dont l’un d’eux la drague. Après les avoir semée, elle rejoint l’endroit où se trouvaient Albert et Henry mais ils ne sont plus là. Elle va finalement aller à l’hôtel où une chambre lui est réservée. Elle retrouve Albert et passe la nuit avec lui. Au petit matin, les miliciens débarquent et celui qui la draguait est tout près de la violer. Elle est sauvée par l’arrivée des soldats allemands qui chassent les miliciens.
Albert et Hélène, maintenant prisonniers, sont interrogés par l’officier allemand. Afin de ne pas parler, Albert se jette par la fenêtre. Dans la confusion qui s’en suit, Hélène s’échappe et s’enfuit en courant.
L'analyse d'Alain B :
Cela va de plus en plus mal pour nos résistants: le chef (Jean Valmont) va sortir du jeu.
L'épisode est surtout centré sur Hélène. A une époque où pouvoir communiquer avec les autres n'était pas facile, beaucoup de marche pour souvent pas grand chose.
Si Hélène retrouve Albert; elle n'aura comme Germaine (épisode Défense d'aimer) qu'une nuit d'amour avant la chute de son couple.
Geneviève Grad est très lumineuse dans cet épisode bien sombre où Pierre Richard a, pour une fois, un rôle de vrai salopard.
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