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Christine Aurel et Alban Ceray
Christine Aurel et Caroline Sanson
Christine Aurel et Max Montavon
Dominique Aveline et Nicole Velna
Jean Louis Vattier et Caroline Sanson
Jean Louis Vattier et Danielle Troger
Nadine Pascal et Celine Gallone
Nicole Velna et Celine Gallone
Raoul Curet et Christine Aurel
Christine Aurel comtesse Bérénice de Touffenlair Raoul Curet Aristide Pait-Sec, le maire Danielle Troger Mlle Potiche, l'institutrice Jean-Louis Vattier Tarin, le pharmacien Max Montavon Maître Plumard Caroline Sanson Claudette, une campeuse Nadine Pascal une campeuse Céline Gallone une campeuse Nicole Velna Mariette, la servante Alban Ceray Firmin, le chauffeur Dominique Aveline Flamberge, le garde-champêtre
Autre titre : FEMMES EN DELIRE (version soft)
Réalisation : Jean-Claude Roy (comme Patrick Aubin)
Scénario : Jean-Claude Roy
Image : Robert Millie (comme Pierre Robes)
Musique : Philippe Bréjean (comme Gary Sandeur)
Montage : Zoé Durouchoux
Générique : Ateliers Michel François
Production : Jean-Claude Roy - Tanagra Productions / Francis Mischkind - F.F.C.M.
Distribution : Alpha France
Tournage : 1977
Sortie le 22 mars 1978
Trois ravissantes campeuses viennent planter leur tente dans le charmant petit village de Bitembois. Le pays est en émoi. La châtelaine des lieux, Bérénice de Touffenlair doit, pour empocher un héritage conséquent, prouver sa moralité et retrouver sa fille illégitime. Quand aux hommes du pays, les voici bientôt victimes d’une épidémie surprenante. A la suite d ‘une maladresse du nouveau pharmacien, leurs sexes sont devenus musicaux et manifestent leurs bonnes dispositions au son d’un jazz-band, d’une fanfare militaire ou d’un grand orchestre…
COMMENTAIRE(S) :
« Un porno aux champs avec, pour remplacer le matelas de la garçonnière, l’herbe du pré ou la paille de la grange. Pour le reste, les images habituelles du genre, agrémentées d’un gag unique (les « zizis à zinzin » comme dit l’un des protagonistes du film et auteur de ce gag) et de quelques facéties qui, à défaut de provoquer le rire des spectateurs, déclenche celui des personnages du film. Une innovation : un générique soigné, réalisé en dessin animé. » - Jacques Chevallier, La saison cinématographique 78.
« Comique égrillard, doté de (très relatifs) moyens, rempli de gags éculés et douteux, mais atteignant parfois un certain délire dans l’abêtissement. (…) Le montage est parfois hésitant entre le soft et le hard, mais une certaine vitalité vaguement méprisante et anarchiste subsiste dans cet anachronisme volontaire (…) Caroline Sanson ne harde pas et Christine Aurel non plus (dommage !). La chanson-ritournelle du générique et le discours en vers de l’adjoint au maire valent aussi le détour. » - Francis Moury, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques, 2011.
Redisons le : Caroline Sanson et Christine Aurel ne hardent pas. Précisons encore : Raoul Curet et Max Montavon non plus !
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017