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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Valentine Petit Augustine Edmund Breon Pierre Emile Keppens Jacques René Navarre
Document sans nom
Réalisation : Léonce Perret
Scénario : Léonce Perret
Image : Georges Specht
Production : Société des établissements Léon Gaumont
Distribution : Comptoir-Ciné-Location
Durée : 14 minutes
Sortie le 30 août 1912
Deux amis cheminots, Pierre et Jacques, sont épris de la même femme. Augustine accepte d’épouser Pierre. Fou de jalousie, Jacques décide de se débarrasser de son rival. Il enivre Pierre et l'abondonne inconscient sur les rails laissant au premier train le soin d’achever son plan.
COMMENTAIRE(S) :
« Nous sommes à Niort, dans les heures mêmes où Léonce Perret y achève son EXPRESS MATRIMONIAL, mais, versatilité obligatoire des cinéastes d’alors en butte aux frais de déplacement, la réalisation de ce drame des plus sombres succède à une aimable bagatelle. Valentine Petit troque la vêture élégante de la voyageuse du wagon-restaurant pour le sarrau de l’aubergiste prise entre deux cheminots aspirant à ses grâces. La gare de triage niortaise annonce les noirceurs de LA BETE HUMAINE de Jean Renoir. Les noces tragiques du chemin de fer et du cinéma n’auront dès lors plus de fin. » Présentation du film, coffret Gaumont - Le Cinéma premier 1897-1913, Gaumont vidéo, 2008
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017
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Edmond Breon et Emile Keppens
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Edmond Breon et Valentine Petit
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Emile Keppens
Emile Keppens et Edmond Breon
Emile Keppens et Valentine Petit
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Sur les rails
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Sur les rails
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Sur les rails
Valentine Petit
Valentine Petit Augustine Edmund Breon Pierre Emile Keppens Jacques René Navarre
Réalisation : Léonce Perret
Scénario : Léonce Perret
Image : Georges Specht
Production : Société des établissements Léon Gaumont
Distribution : Comptoir-Ciné-Location
Durée : 14 minutes
Sortie le 30 août 1912
Deux amis cheminots, Pierre et Jacques, sont épris de la même femme. Augustine accepte d’épouser Pierre. Fou de jalousie, Jacques décide de se débarrasser de son rival. Il enivre Pierre et l'abondonne inconscient sur les rails laissant au premier train le soin d’achever son plan.
COMMENTAIRE(S) :
« Nous sommes à Niort, dans les heures mêmes où Léonce Perret y achève son EXPRESS MATRIMONIAL, mais, versatilité obligatoire des cinéastes d’alors en butte aux frais de déplacement, la réalisation de ce drame des plus sombres succède à une aimable bagatelle. Valentine Petit troque la vêture élégante de la voyageuse du wagon-restaurant pour le sarrau de l’aubergiste prise entre deux cheminots aspirant à ses grâces. La gare de triage niortaise annonce les noirceurs de LA BETE HUMAINE de Jean Renoir. Les noces tragiques du chemin de fer et du cinéma n’auront dès lors plus de fin. » Présentation du film, coffret Gaumont - Le Cinéma premier 1897-1913, Gaumont vidéo, 2008
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017
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