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Daniel Clerice et Paulette Dubost
Jean Tissier et Christiane Sertilange
Jean Tissier et Paulette Dubost
Noelle Norman et Paulette Dubost
Pauline Carton et Jean Tissier
Daniel Clérice Francis Arvel, le 3ème barbu Noëlle Norman Sylvette de Vignolles Jean Tissier Léonard de Vignolles Paulette Dubost Irène Fortuny, l'amie de Sylvette Pauline Carton Ursule, la bonne Jacques Dynam Gilbert Savignac, le 1er barbu Jean-Jacques Charley, le second barbu Christiane Sertilange Loulou, la campeuse Grillon Le camionneur
Juin 1946, la belle Sylvette de Vignoles , épouse d’un peintre volage et riche , raconte à son amie Irène, qu’elle n’a jamais eu d’amant, mais que cela a failli arriver une fois, pendant la guerre, sauvée par un bel inconnu (qui avait la particularité physique d’avoir un fin collier de barbe ) elle avait failli se donner à lui, mais un chef avait appelé le soldat avec cette formule « Descendez, on vous demande », expression que la jeune femme utilise souvent. Les événements avaient eu lieu un jour de la Saint-Jean , et la belle avait promis à l’homme que si elle vient la chercher un autre jour de Saint-Jean, elle partirait avec lui. Or justement, le film se passe un 24 juin, et un inconnu barbu se présente chez la jeune femme.
Cependant, le temps ayant passé, d’une part elle ne reconnait pas de façon certaine l’individu, d’autre part elle lui explique qu’elle est marié et qu’elle ne peut pas tenir une promesse de jeune fille. Elle le met provisoirement à l’écart car un autre homme barbu se présente et raconte la même histoire. Quand un troisième barbu arrive, c’est sur le ton de la plaisanterie qu’est accueillie sa 3 ème version de l’histoire du sauvetage sous les bombardements. En fait, on apprendra que c’est ce 3ème homme le bon, mais qu’il avait eu l’imprudence de raconter l’histoire à deux de son compagnons d’emprisonnement pendant la guerre. Après plusieurs péripéties, tout se terminera bien, le mari partira en voyage à Paris avec une campeuse rencontrée sur son terrain. Le « bon » barbu deviendra son associé, ainsi il pourra s’occuper de sa femme pendant son absence…
Alain S., Septembre 2017